Thème « ours »
Ourson et Pinson sont les meilleurs amis du monde ! Même s’ils ne se comprennent pas toujours, ils sont tous les deux d’accord : tout ce qu’ils veulent, c’est rendre l’autre heureux. Ainsi, lorsque Ourson engloutit le gâteau surprise que Pinson a préparé pour lui, Pinson rit à gorge déployée. Et quand Pinson se perd complètement après s’être assis sur un caillou qui avance tout seul, Ourson vient à sa rescousse, sur un caillou qui marche lui aussi...
Ourson et Pinson sont les meilleurs amis du monde. Quand Pinson est malade, Ourson a plein d'idées pour qu'il aille mieux. Quand un des deux tombe dans un trou en se promenant, l'autre l'aide à en sortir. Et quand ils font la connaissance de Taupe, les meilleurs meilleurs amis se lancent dans un concours de blague et même dans une aventure en bateau
Il y a bien longtemps, j’habitais tout en bas de la montagne ; et tout en haut, il y avait un petit village où vivait la plus belle ourse du monde ! Un soir, pour la retrouver, j’empruntai le minuscule chemin qui serpentait, à peine visible à travers les buissons et les herbes de montagne. Le ciel changea brusquement… et les premiers flocons tombèrent.
Petit-Bond emmène Petit-Ours à une chasse au trésor. Il creuse, creuse, creuse. Le trou est si profond qu'on ne voit plus Petit-Bond. Petit-Ours se penche et tombe. Il fait tout noir au fond du trou. Les deux amis se demandent comment ils vont sortir de là...
C’est une princesse nulle en tout. Au bal, elle a tendance à écraser les orteils de ses prétendants. À cheval, elle finit toujours par tomber de sa selle. Quand elle parle, elle met souvent un mot à la place d’un autre et, à son âge, elle ne sait toujours pas se servir d’une machine à laver ! Qui voudrait épouser une princesse aussi nulle ? La reine, excédée, a ordonné à sa fille de se trouver un mari coûte que coûte et l’a flanquée dehors. Heureusement, être nulle en tout n’empêche pas de se faire des amis. Comme cet ours tombé du ciel, qui n’a pas l’air de la trouver si nulle que ça, la jolie princesse.
L’ours et le lapin sont voisins. Parfois, l’ours demande au lapin de baisser un peu la radio. Ou bien, le lapin vient chercher un peu de miel chez l’ours. À part ça, ils ne se parlent pas tellement. Un jour où l’ours s’ennuie, il propose au lapin d’aller se promener avec lui, mais ils n’ont toujours pas grand-chose à se raconter.
L’ours ne peut quand même pas dire à son voisin qu’il aime manger du lapin.
L’arrivée impromptue d’un éléphant au milieu de la forêt va tout changer…
Une belle journée d’été commençait. Tout était calme dans la forêt. C’est alors que je les ai entendus : « Ours ! Où es-tu ? » criaient-ils. Je suis sorti de ma tanière, vite rejoint par les autres animaux dérangés par le raffut matinal. Un groupe de jeunes cavaliers nous cherchaient avec leur matériel de petits naturalistes, à l’affut de toutes nos traces. Alors nous aussi, on s’est mis à les suivre.
« Est-ce qu'on est seul dans la vie ou pas ? » se demandait Fleur. Chaque matin, elle regardait sa forêt par la fenêtre. Elle savait que c'était une forêt immense. Elle pensa que si elle la traversait, elle aurait la réponse. Elle se dit : « J'ai sept ans. C'est le moment d'y aller. »
Pépito, l'ours, appartient à la grande famille du cirque. Depuis que son ami le clown lui a donné une guitare, Pépito s'exerce tous les jours. Mais Nestor, son papa, lui dit toujours que musicien ça n'est pas un métier d'ours : « Tu seras funambule, comme moi ! ».
Barzolo et Barzolino se promènent dans la montagne, dans les grandes prairies d'herbes hautes. Les deux oursons se souviennent qu'ici, « avant », ils venaient pêcher, faire du ski, se baigner, s'amuser avec Grand-Papa. Mais, depuis, les deux oursons ont reçus une lettre leur disant que Grand-Papa s'était endormi pour toujours. Maintenant rien n'est plus pareil dans la montagne...
« – Jenny ?
– Oui, dit la moule.
Deux petits yeux noirs le regardent.
– Je suis le voisin de ton cousin Dédé, dit Waldo, ému.
– Non ! Ce n’est pas possible !
– Je suis arrivé hier soir. J’ai passé la nuit dans la cabane avec la vilaine table.
– Mon Dieu ! dit Jenny. Elle n’a pas été trop méchante ? Cette table est une sorcière qui s’est changée elle-même en table par accident. Quand elle était sorcière, elle terrorisait toute la région.
– Ah bon ? !
– Oui. C’est elle qui m’a changée en moule.
Waldo se demande s’il a bien entendu.
– Elle t’a changée en moule ? Et qu’est-ce que tu étais, avant ?
– Une lapine.
Waldo n’en revient pas. Tout s’explique… »
L’ours Waldo doit absolument trouver un prince charmant pour délivrer la moule Jenny du mauvais sort.
C'est l'automne. Un petit ours et sa mère sont en quête de nourriture afin de préparer les longs mois d'hiver. Ils grimpent sur un arbre et se régalent de raisin sauvage. Au loin il y a une rivière. C'est l'occasion pour le jeune ourson d'essayer d'attraper son premier saumon.
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
« Papa ! Papa Ours ! Papours ! » Pour Papa, ces cris de joie sont les plus beaux cris qui soient. Car ce sont ceux de ses deux petits : Paul et Fanny. Il ne les voit pas tous les jours depuis qu'il a quitté Maman Ours, mais quand il les voit c'est pour deux jours et deux nuits. Deux jours et deux nuits à faire les fous, à manger des pizzas ou du hachis parmentier, à regarder les couchers de soleil et à faire des puzzles avec le bleu du ciel. C'est un Papa qui aime ses enfants plus que tout au monde... tout simplement.
Je suis un ours. Je sais, ça n’existe pas, un ours qui vit dans la rue, au milieu des hommes.
J’ai mis du temps à l’admettre, moi aussi. J’ai d’abord pensé que j’étais comme tout le monde : j’allais rentrer chez moi le soir pour le dîner et m’endormir paisiblement dans un lit bien douillet. Mais on m’a vite fait comprendre que cette vie-là n’était pas pour nous, les ours. C‘est pourquoi je dors ici, sur ces cartons, dans la rue.
Mano a traversé la grand'route et il a disparu. Huma le cherche en vain. Le temps passe. Maman Ours garde un espoir : le phare qui, chaque soir, s'allume sur le fleuve. Si son petit voit la lumière, il pourra retrouver le chemin de la caverne...















