Thème « ours en peluche »
C'est Noël. Même le petit ours en peluche le sait. Il a vu que tout le monde avait mis ses chaussures sous le sapin. Il voit la maman préparer un plateau avec du café pour le Père Noël. Il voit le papa déposer devant le sapin un sac de pommes de terre, avec un petit mot, pour les rennes du Père Noël. Le seul cadeau dont rêve le petit ours, c'est un voyage en traîneau dans le ciel pour admirer les étoiles et la Terre vue d'en haut, et entendre le vent siffler à ses oreilles. Alors le petit ours se cache dans le sac de pommes de terre. « Qu'est-ce que tu fais là, toi ? » demande le Père Noël. Mais le traîneau est déjà haut dans le ciel, et le petit ours a réalisé son rêve. Hélas, en se penchant un peu trop, voilà qu'il tombe et qu'il atterrit dans la plus sombre des forêts. Des centaines d'yeux jaunes le regardent fixement. Ce sont des loups. Eux aussi aimeraient bien un petit cadeau pour Noël...
Orson est un ours tellement grand et tellement effrayant que tous les animaux de la forêt le craignent. Il n'a pas d'amis et se sent triste et solitaire. Il n'est heureux qu'à la fin de l'automne, quand il peut hiberner et tout oublier. Mais un printemps, en sortant de sa grotte, il trouve un petit ours oublié au pied d'un arbre...
« J’ai un ours en peluche qui s’appelle Bruno. Je l’aime tendrement, il est doux. Il dort dans mon lit la nuit et, pendant la journée, il vient partout avec moi. »
Robert se redresse dans son lit, Crac ! « D'où vient ce bruit ? C'est sûrement l'armoire. »
Agrippé à la couverture, Robert regarde l'armoire. Il la regarde encore, et peu à peu l'armoire se transforme.
Tout seul sur son île, Petit Ours s'ennuie. Il a envie de quelque chose pour jouer. La mer apporte un bâton. Petit Ours le ramasse et dessine sur le sable. Puis la mer apporte quelque chose de grand avec des taches : un véritable ami pour Petit Ours ! Le lendemain, des dizaines de choses flottent sur l'eau...
Quand on a rien à faire et qu'il fait beau sur la terrasse, on peut cueillir de l'herbe avec ses orteils, faire un lapin avec ses doigts ou faire une bulle avec sa bouche. Ou, comme Nours, on peut aussi rester là, au soleil, tranquillement, profiter de la vie qui coule doucement... C'est déjà beaucoup de ne rien faire...
Aujourd'hui, au marché, un petit ours en peluche tout jaune est posé près d'une cafetière. Il ne sait pas d'où il vient. Il attend, il ne sait quoi. Tout à coup, voilà qu'il pleut et qu'on l'oublie.
Un chien compatissant le remarque. « Tu dois être un petit de la cane », dit-il. « Ils sont tout jaunes aussi.» Mais la cane ne le reconnaît pas.
« Il est jaune comme un pissenlit », dit alors une chèvre. Mais ce n'est pas facile, pour un ours en peluche de faire le pissenlit...
Depuis que Tom a grandi et quitté la maison, ses peluches s’ennuient : Pacha l’ours, Max le rouge, Tim le brun, Pinky le rose, Yann le jaune, Bob le noir, Philou le rouquin. Ils ne sont jamais d’accord. Chacun se considère, tour à tour, le plus fort ou le plus malin... Une chose cependant les rassemble : ils trouvent Pacha étrange avec sa fourrure de toutes les couleurs ! De son côté, Pacha pense : C’est ça, des amis ? Mieux vaut partir plutôt que d’être mal aimé. Ainsi démarre l’histoire de Pacha.
Papa est très embêté : il a oublié d'acheter le cadeau d'anniversaire de Louis. Louis voulait un ours, un ours plus grand que celui de Benjamin. Malheureusement, ceux du grand magasin sont petits et ne ressemblent pas à de vrais ours. Armé d'un pot de miel, Papa part en quête d'un très très gros ours...
Quand on est un petit ours en peluche habitué à la vitrine d'un magasin, c'est un terrible choc de se retrouver seul et perdu dans une forêt. Mais peu à peu, on découvre ses secrets, ses habitants en peluche et « en vrai ». Et « en vrai », il y a parfois des loups...
Violette vit avec tous ses ours dans sa chambre. Il y a Golo, Ourson, Oursonne et Petit-Ours. Il y a aussi Klodé le chien et Tamanoir qu'il faut moucher tous les soirs. Violette dort avec tous ses ours dans sa chambre et choisit ceux qui dorment avec elle chaque nuit, il faut changer pour ne pas faire de jaloux. Violette rêve avec tous ses ours dans sa chambre et elle allume une veilleuse bleue pour que personne ne fasse de cauchemars. Cette nuit, les ours de Violette ont décidé d'aller faire un pique-nique au parc... Violette ? Tu dors ?
« Je suis parti parce que plus personne ne m’aimait. Les jours où l’on me désignait roi ou tout simplement ours n’étaient que vieux souvenirs. Les nuits où l’on me confiait secrets, joies et chagrins étaient devenues muettes. Le temps des ours était terminé. »
Petit Ours quitte alors le jardin des hommes, marche droit devant lui et dialogue avec les fleurs, les nuages, les pierres et la rivière.
La valise de Papa est posée dans le couloir. Il part en voyage en Afrique. Tout à l’heure, Lola l’aidera à préparer ses bagages, mais pour l’instant elle a un grave mystère à résoudre : les ours en peluche ont disparu. Ils s’appellent Kika, Neige et Bibou. Ils ont longtemps habité sur une étagère où ils s’ennuyaient, jusqu’à ce que Lola vienne les délivrer, avec l’aide des fées. Ce sont des ours un peu vieux, et un peu fragiles, ils n’ont pas pu quitter l’appartement tout seuls. Lola se demande si les fées ont emmené les ours jouer sans elle. – Les fées n’existent pas, lui dit Tom, son frère. Bien sûr que les fées existent. Avril, la voisine, les a vues de ses yeux.
Mitch est l'ours en peluche de Barnabé. Un geste magique l'a tiré de son sommeil de jouet. Il vit alors une terrible aventure.
Meto habite avec sa famille dans un petit village de la savane. Un jour, une jeep amène des touristes. Parmi eux, une petite fille tient dans ses bras un ours en peluche. C'est un animal que Meto n'a jamais vu. Mais quand il s'aperçoit qu'il a été oublié par la petite fille, il court à travers la savane pour le restituer à sa propriétaire. Arrivera-t-il à temps ?
« J'ai compris que j'étais vieux le jour où je me suis retrouvé dans la vitrine d'un antiquaire. J'ai été fabriqué en Allemagne. Mes tout premiers souvenirs sont assez douloureux. J'étais dans un atelier et l'on me cousait les bras et les jambes pour m'assembler... »