Thème « ours en peluche »
Quand Petit Ours se promène seul dans la forêt, il emporte toujours son crayon magique. Au moindre danger, hop ! il retourne la situation.
Cet hymne à l’imagination est aussi une magistrale introduction à l’oeuvre d’Anthony Browne.
À qui sont ces traces de pas ? Il y en a des bleues, des brunes et des rouges qui sont plus petites. Qui a posé son sac là, et pourquoi ? Qui est sorti dans le jardin le premier ? Où mènent les traces du chat ? Et celles de l'écureuil ? Qui ne prend jamais le même chemin que tout le monde ? Qui a joué à cache-cache ? Qui a construit une cabane ? Qui a caché l'ours Teddy ? Et qui l'a retrouvé ? Une histoire sans paroles mais semée d'indices, pour tous les lecteurs curieux et les détectives en herbe.
La nuit est déjà tombée. Bébé Eléphant pleure sans parvenir à s'endormir : il a perdu son nounours ! Elmer, l'éléphant bariolé, décide de lui prêter le sien, le temps de retrouver le nounours de Bébé Eléphant.
Ton ours en peluche. Ta mamie près de toi. Et la délicieuse odeur... de la mousse au chocolat. Un petit garçon partage un moment de complicité avec sa grand-mère autour de la préparation de sa première mousse au chocolat. Sous l’œil amusé et intrigué de son doudou. Miam !
Je suis juste un petit ours en peluche jaune, tout seul. Et je voudrais que tu m'aimes. Tu me choisiras au milieu des autres ours. Tu me diras des mots gentils. Tu me feras un gros câlin. Je serai ton doudou.
Quand Petit Ours se promène seul dans la forêt, il emporte toujours son crayon magique. Au moindre danger, hop ! il retourne la situation.
Cet hymne à l’imagination est aussi une magistrale introduction à l’oeuvre d’Anthony Browne.
« Bien sûr, Teddy, qu’il y a des tigres et des lions dans la forêt. Et des éléphants aussi, de très gros. Mais n’aie pas peur ! Moi, je te protègerai des bêtes sauvages. Je ne les laisserai pas te faire du mal.»
Orson est un ours tellement grand et tellement effrayant que tous les animaux de la forêt le craignent. Il n'a pas d'amis et se sent triste et solitaire. Il n'est heureux qu'à la fin de l'automne, quand il peut hiberner et tout oublier. Mais un printemps, en sortant de sa grotte, il trouve un petit ours oublié au pied d'un arbre...
« J’ai un ours en peluche qui s’appelle Bruno. Je l’aime tendrement, il est doux. Il dort dans mon lit la nuit et, pendant la journée, il vient partout avec moi. »
Robert se redresse dans son lit, Crac ! « D'où vient ce bruit ? C'est sûrement l'armoire. »
Agrippé à la couverture, Robert regarde l'armoire. Il la regarde encore, et peu à peu l'armoire se transforme.
Tout seul sur son île, Petit Ours s'ennuie. Il a envie de quelque chose pour jouer. La mer apporte un bâton. Petit Ours le ramasse et dessine sur le sable. Puis la mer apporte quelque chose de grand avec des taches : un véritable ami pour Petit Ours ! Le lendemain, des dizaines de choses flottent sur l'eau...
Quand on a rien à faire et qu'il fait beau sur la terrasse, on peut cueillir de l'herbe avec ses orteils, faire un lapin avec ses doigts ou faire une bulle avec sa bouche. Ou, comme Nours, on peut aussi rester là, au soleil, tranquillement, profiter de la vie qui coule doucement... C'est déjà beaucoup de ne rien faire...
Aujourd'hui, au marché, un petit ours en peluche tout jaune est posé près d'une cafetière. Il ne sait pas d'où il vient. Il attend, il ne sait quoi. Tout à coup, voilà qu'il pleut et qu'on l'oublie.
Un chien compatissant le remarque. « Tu dois être un petit de la cane », dit-il. « Ils sont tout jaunes aussi.» Mais la cane ne le reconnaît pas.
« Il est jaune comme un pissenlit », dit alors une chèvre. Mais ce n'est pas facile, pour un ours en peluche de faire le pissenlit...
Papa est très embêté : il a oublié d'acheter le cadeau d'anniversaire de Louis. Louis voulait un ours, un ours plus grand que celui de Benjamin. Malheureusement, ceux du grand magasin sont petits et ne ressemblent pas à de vrais ours. Armé d'un pot de miel, Papa part en quête d'un très très gros ours...
Quand on est un petit ours en peluche habitué à la vitrine d'un magasin, c'est un terrible choc de se retrouver seul et perdu dans une forêt. Mais peu à peu, on découvre ses secrets, ses habitants en peluche et « en vrai ». Et « en vrai », il y a parfois des loups...
« Je suis parti parce que plus personne ne m’aimait. Les jours où l’on me désignait roi ou tout simplement ours n’étaient que vieux souvenirs. Les nuits où l’on me confiait secrets, joies et chagrins étaient devenues muettes. Le temps des ours était terminé. »
Petit Ours quitte alors le jardin des hommes, marche droit devant lui et dialogue avec les fleurs, les nuages, les pierres et la rivière.