Thème « ours en peluche »
Quand Petit Ours se promène seul dans la forêt, il emporte toujours son crayon magique. Au moindre danger, hop ! il retourne la situation.
Cet hymne à l’imagination est aussi une magistrale introduction à l’oeuvre d’Anthony Browne.
Ce qui est bien, à la plage, c'est quand on fait un pique-nique. Et justement, ce jour-là, Zoé et Balthazar ont des macarons. Ils se régaleront en rentrant de la pêche aux coquillages. Comme ils se méfient des voleurs, ils ont chargé Nounours de monter la garde. À peine sont-ils partis qu'un crabe gourmand s'approche. Il adore les macarons. Mais les macarons ne suffisent pas. Balthazar et Zoé courent pour sauver les restes du pique-nique. Trop tard, le crabe s'est emparé de Nounours et ne le rendra que lorsqu'on lui aura donné quelque chose à manger. Zoé cède son dernier gâteau et demande au crabe de lâcher Nounours en échange. Mais le crabe est décidément trop gourmand. Si gourmand qu'il le paiera. Car certaines mamans, en particulier celles qui préparent la bouillabaisse, n'ont pas peur des crabes, bien au contraire !
À qui sont ces traces de pas ? Il y en a des bleues, des brunes et des rouges qui sont plus petites. Qui a posé son sac là, et pourquoi ? Qui est sorti dans le jardin le premier ? Où mènent les traces du chat ? Et celles de l'écureuil ? Qui ne prend jamais le même chemin que tout le monde ? Qui a joué à cache-cache ? Qui a construit une cabane ? Qui a caché l'ours Teddy ? Et qui l'a retrouvé ? Une histoire sans paroles mais semée d'indices, pour tous les lecteurs curieux et les détectives en herbe.
La nuit est déjà tombée. Bébé Eléphant pleure sans parvenir à s'endormir : il a perdu son nounours ! Elmer, l'éléphant bariolé, décide de lui prêter le sien, le temps de retrouver le nounours de Bébé Eléphant.
Ton ours en peluche. Ta mamie près de toi. Et la délicieuse odeur... de la mousse au chocolat. Un petit garçon partage un moment de complicité avec sa grand-mère autour de la préparation de sa première mousse au chocolat. Sous l’œil amusé et intrigué de son doudou. Miam !
Je suis juste un petit ours en peluche jaune, tout seul. Et je voudrais que tu m'aimes. Tu me choisiras au milieu des autres ours. Tu me diras des mots gentils. Tu me feras un gros câlin. Je serai ton doudou.
Chaque jour, à l’heure de la sieste, Rose et Bonbon s’installent confortablement, complotent, font semblant de dormir pour rassurer les parents et… s’évadent. Le lit pousse comme un arbre, navigue jusqu’au potager, s’envole plus loin, dans la forêt… Mais ici, c’est trop sombre. Cherchons encore l’endroit rêvé… Ah, je crois que c’est ici, sur cette île peuplée de meubles qui sont à moitié des plantes !
Quand Petit Ours se promène seul dans la forêt, il emporte toujours son crayon magique. Au moindre danger, hop ! il retourne la situation.
Cet hymne à l’imagination est aussi une magistrale introduction à l’oeuvre d’Anthony Browne.
« Bien sûr, Teddy, qu’il y a des tigres et des lions dans la forêt. Et des éléphants aussi, de très gros. Mais n’aie pas peur ! Moi, je te protègerai des bêtes sauvages. Je ne les laisserai pas te faire du mal.»
C'est Noël. Même le petit ours en peluche le sait. Il a vu que tout le monde avait mis ses chaussures sous le sapin. Il voit la maman préparer un plateau avec du café pour le Père Noël. Il voit le papa déposer devant le sapin un sac de pommes de terre, avec un petit mot, pour les rennes du Père Noël. Le seul cadeau dont rêve le petit ours, c'est un voyage en traîneau dans le ciel pour admirer les étoiles et la Terre vue d'en haut, et entendre le vent siffler à ses oreilles. Alors le petit ours se cache dans le sac de pommes de terre. « Qu'est-ce que tu fais là, toi ? » demande le Père Noël. Mais le traîneau est déjà haut dans le ciel, et le petit ours a réalisé son rêve. Hélas, en se penchant un peu trop, voilà qu'il tombe et qu'il atterrit dans la plus sombre des forêts. Des centaines d'yeux jaunes le regardent fixement. Ce sont des loups. Eux aussi aimeraient bien un petit cadeau pour Noël...
Orson est un ours tellement grand et tellement effrayant que tous les animaux de la forêt le craignent. Il n'a pas d'amis et se sent triste et solitaire. Il n'est heureux qu'à la fin de l'automne, quand il peut hiberner et tout oublier. Mais un printemps, en sortant de sa grotte, il trouve un petit ours oublié au pied d'un arbre...
« J’ai un ours en peluche qui s’appelle Bruno. Je l’aime tendrement, il est doux. Il dort dans mon lit la nuit et, pendant la journée, il vient partout avec moi. »
Robert se redresse dans son lit, Crac ! « D'où vient ce bruit ? C'est sûrement l'armoire. »
Agrippé à la couverture, Robert regarde l'armoire. Il la regarde encore, et peu à peu l'armoire se transforme.
Tout seul sur son île, Petit Ours s'ennuie. Il a envie de quelque chose pour jouer. La mer apporte un bâton. Petit Ours le ramasse et dessine sur le sable. Puis la mer apporte quelque chose de grand avec des taches : un véritable ami pour Petit Ours ! Le lendemain, des dizaines de choses flottent sur l'eau...
Quand on a rien à faire et qu'il fait beau sur la terrasse, on peut cueillir de l'herbe avec ses orteils, faire un lapin avec ses doigts ou faire une bulle avec sa bouche. Ou, comme Nours, on peut aussi rester là, au soleil, tranquillement, profiter de la vie qui coule doucement... C'est déjà beaucoup de ne rien faire...
Aujourd'hui, au marché, un petit ours en peluche tout jaune est posé près d'une cafetière. Il ne sait pas d'où il vient. Il attend, il ne sait quoi. Tout à coup, voilà qu'il pleut et qu'on l'oublie.
Un chien compatissant le remarque. « Tu dois être un petit de la cane », dit-il. « Ils sont tout jaunes aussi.» Mais la cane ne le reconnaît pas.
« Il est jaune comme un pissenlit », dit alors une chèvre. Mais ce n'est pas facile, pour un ours en peluche de faire le pissenlit...