Thème « oiseaux divers »
Au sommet d’une haute montagne, Krol découvre d’étranges œufs géants. Si le fou de Bassan est si loin de la mer, c’est pour son ami Edgar. Le petit garçon qui sait si bien scruter. Mais rien ne se passe comme prévu : le vautour qui vit là se moque de lui, Krol affamé se demande où trouver du poisson et Edgar n’est pas là. D’ailleurs, après tout ce temps, il a sûrement changé. Il l’a même peut-être oublié...
Un beau matin, un merle perché sur une branche entonne un chant. Un chant de paix, un chant d’espoir pour notre planète, afin d’apaiser le cœur des hommes et, surtout, y apporter la joie. Et son message va voyager tout autour du monde.
Dans les neiges de l’Arctique, Ptchékalguyn le petit oiseau a offert un magnifique cadeau à sa jeune épouse : une chanson dont jamais elle ne se lassera et qui jamais ne vieillira. La chanson apporte la joie dans le foyer des oiseaux mais elle attise aussi la jalousie des corbeaux…
Une inquiétante fumée est apparue au-dessus de la grande forêt d’Amazonie.
– Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que c’est ? répète le perroquet.
– C’est rien, c’est un nuage ! Pas de quoi s’affoler ! se moque le tamarin.
– Quoi ? ! Vous me dérangez pour ça ? râle le tatou.
Le serpent, lui, a beau écarquiller les yeux, il ne voit rien. Quant au paresseux, il se contente de bâiller. Seul le colibri est allé voir de plus près et revient alerter ses amis : il y a le feu ! Mais personne n’écoute ce petit oiseau-mouche de rien du tout.
Pour rien au monde, Corbelle ne voudrait quitter son peuplier. Elle peut y boire paisiblement son chocolat avec son amoureux, Corbillo, et plonger de toute sa hauteur pour gagner la terre, ses ailes grandes ouvertes. Un jour, une marque bleue est tracée sur leur arbre. Leur domicile conjugal va être abattu, et Corbelle et Corbillo doivent déménager. Adieu train-train, une nouvelle vie s'annonce. Chercher un nid d'amour n'est pas chose facile, surtout quand on a mauvais caractère, de nombreuses exigences et des regrets plein le coeur. Très vite, rien ne va plus. Heureusement, Corbelle et Corbillo ont des amis pour veiller sur eux.
Maman m’a dit : « Mon chéri, un jour tu seras tellement géant que les oiseaux te prendront pour un arbre. » Hier, ça m’est arrivé. D’abord j’ai ri, après j’ai compris. Ça chatouillait sous les cheveux. Les oiseaux ont fait un nid et se sont installés sur ma tête. Ils ont pondu trois œufs ! J’ai fait bien attention pour aller les montrer à mon copain qui habite à l’autre bout du quartier.
Comme Corbelle s'ennuie, Corbillo lui propose un voyage. Il est comme ça, Corbillo, pour elle, il est prêt à tout. À tout quitter, à partir à l'aventure. Ils s'imaginent déjà les soirées à la belle étoile et leurs sacs remplis de beaux souvenirs. L'amour, ça fait faire des folies, assurément. Il faut déjà trouver une destination, ni trop froide ni trop pluvieuse. Il faut se débarrasser des amis collants comme Corbek. Et enfin, on peut partir au hasard pour aller boire des citronnades et dormir dans les oliviers, les ailes dans les poches. Pas tout à fait dans les poches, car le danger guette. Heureusement le ciel est peuplé de gens épatants qui vous aident et vous donnent le goût des voyages...
Coco Corbeau et Lili Renard habitent dans la même forêt, ils ont le même âge, et ils aimeraient bien aller jouer ensemble, mais le grand-père de Coco Corbeau ne veut pas. C'est à cause d'une vieille histoire. Il paraît qu'il s'est disputé avec Grand-père Renard, il y a très longtemps. Il paraît que Grand-père Renard lui a volé un fromage et s'est moqué de lui. Tout le monde est au courant, c'est une dispute célèbre, elle a même été racontée dans un livre. La réconciliation est-elle possible ?
Le pommier où Tulip la mésange charbonnière a installé son nid, a été déraciné par une bourrasque ! Heureusement, ses voisins humains aiment les oiseaux et savent ce dont ils ont besoin. Grâce à eux, Tulip et Pitiou, son compagnon, vont manger à leur faim tout l’hiver et retrouver un abri solide pour y pondre leurs oeufs. Et si cette histoire nous inspirait d’aider les oiseaux de notre entourage ?
C'est l'été, les grandes vacances ; ces journées qui s'étirent, paresseuses. Anatole passe son temps à dessiner des machines volantes sur les pages blanches de ses cahiers d'écolier, sous l'oeil amusé de Mireille. Mireille, c'est son hirondelle. Un soir, un vieux monsieur emménage dans la maison d'à côté. Intrigué, un peu effrayé, le petit garçon observe cet étrange bonhomme déambuler parmi le bric-à-brac coloré qu'il a entassé dans son jardin. Jusqu'au jour où, dévoré par la curiosité, il part explorer ces fabuleux trésors. Il déniche tout ce qu'il faut pour construire la machine du siècle. En deux temps trois mouvements, La Dégomeuse de Piafs voit le jour ! Au volant de son bolide, Anatole pédale à en perde haleine quand soudain, il apparaît ; lui ; le vieux monsieur à l'air mystérieux.
Le chant de l'Oiseau est si beau : l'Oiselle l'a entendu de loin et n'a pas pu résister au plaisir de le rencontrer. Seulement l'Oiseau ne peut pas se promener avec elle, il est en cage. Alors l'Oiselle revient souvent lui rendre visite. Elle lui apporte de la nourriture et des histoires du dehors. Un jour, ils réussissent à ouvrir la cage : l'Oiseau est libre, ils vont enfin voyager à deux et partir vivre sur cette île lointaine...Mais l'Oiseau comprend vite que le monde est plein de dangers. Le chemin retour est-il possible ?
Cet après-midi, l’éléphant, le tigre et l’oiseau sont invités pour le goûter. Ils s’enfoncent dans la forêt. Quelques minutes plus tard… ils sont perdus. « On est foutus !» dit l’oiseau. Derrière un buisson d’épines, les amis découvrent Colette endormie.
« Et si on la mangeait ? » chuchote le tigre. Mais Colette a tout entendu : « Il vaut mieux ne pas me manger, car moi, je sais où nous sommes. Je viens souvent ici avec mon p’tit Coco ! (C’est mon doudou.) D’ailleurs, il est où ? »
Un seul vautour est vénéré dans tout le Mexique. C’est Orlando, et il le mérite. Savez-vous pourquoi ? Orlando est un vautour original. Quand ses semblables ne pensent qu’à dévorer les malheureux perdus dans le désert, lui n’écoute que son bon cœur. C’est ainsi que, un jour, il survola un chercheur d’or évanoui. Le pauvre homme avait sur lui des photos de sa famille. Aussitôt, Orlando décida de prévenir sa femme et son fils. Et pour cela, il fallut traverser un continent et braver bien des dangers…
C’est dans les années soixante, après Les aventures de la famille Mellops que Tomi Ungerer entreprend, à New York, une série d’albums en l’honneur des animaux jusque-là mal aimés ou carrément absents des livres pour les enfants : un boa constrictor, Crictor ; une pieuvre, Émile ; une chauve-souris, Rufus ; un kangourou, Adélaïde et un vautour, Orlando, que voici. Ils font mentir leur réputation, incarnent le bien, sauvent des vies, et se révèlent plus humains que ceux qui les avaient d’abord rejetés.
Dans ces quatre histoires, les deux amis jouent à s'échanger leurs objets préférés, apprennent à lire l'heure, se collent des feuilles sur la tête et refusent de se disputer à propos d'un bâton.
Dans leur tout premier livre, ils parlent à une fleur, partent en pique-nique, peignent des chefs-d’oeuvre (enfin, ils essaient...), et découvrent la plus merveilleuse couverture de tous les temps. Jarvis célèbre les petites aventures de l’amitié à travers quatre histoires tendres qui feront rire les apprentis lecteurs.
Ourson et Pinson sont les meilleurs amis du monde ! Même s’ils ne se comprennent pas toujours, ils sont tous les deux d’accord : tout ce qu’ils veulent, c’est rendre l’autre heureux. Ainsi, lorsque Ourson engloutit le gâteau surprise que Pinson a préparé pour lui, Pinson rit à gorge déployée. Et quand Pinson se perd complètement après s’être assis sur un caillou qui avance tout seul, Ourson vient à sa rescousse, sur un caillou qui marche lui aussi...















