Thème « nourriture »
Alex, le cochon gourmand, se penche pour cueillir des framboises lorsqu'il voit soudain une grande ombre derrière lui... Un monstre énorme l'attrape et s'apprête à le dévorer. « Monstre, ne me mange pas ! » crie Alex en tremblant. Le monstre ne l'écoute pas. Il regarde les fruits. « Des framboises ! dit-il. Je vais les déguster. Toi, le cochon, je te mangerai tout à l'heure. » Et le monstre met Alex dans sa poche.
« Tu as appris tes leçons ? Tu as fait tes devoirs ? Qu’est-ce que tu lis ? Tu as pensé à écrire à Mamie ? »
C’est marrant comme la vie de famille est pareille, et comme les pères débitent les mêmes phrases, qu’ils soient humains ou crocodiles, de part et d’autre d’un palier d’immeuble !
Dans cette histoire complètement loufoque mais à la symétrie parfaite, on apprend tout de même à distinguer les petites filles et les bébés crocodiles : la viande de l’un sent la vase, celle de l’autre est beaucoup trop sucrée…
Pierre ne veut toujours pas manger sa soupe... et pour cause : il a craché la sorcière Cornebidouille toute rétrécie dedans, la dernière fois ! Condamné à vider la soupière maudite dans les toilettes, Pierre va dormir tranquille. Mais voilà qu'au beau milieu de la nuit il est réveillé par une Cornebidouille en furie, bien décidée à lui infliger la pire souffrance de sa vie : lui voler son doudou !
L'ogre avait eu vent de l'existence de trois jeunes enfants qui vivaient seuls dans une petite maison près du delta du fleuve. Cherchant à s'y introduire, l'ogre fit le tour de la maison. Il descendit tout entier dans la cheminée puis se retrouva complètement bloqué. L'ogre était pris au piège...
« Ah ! non, c'est pas vrai ! » proteste Loustique. « Encore des carottes ! »
« Ça suffit ! Épluche ! » dit le loup qui, une fois de plus, est rentré bredouille de la chasse.
Il n'a pas de chance le loup. Il a un ogre pour voisin. Et quel ogre! Un qui attrape tout, les animaux, les enfants, les gentils, comme les méchants. Un vorace qui ne laisse rien, pas même les os. Chez les loups, c'est la famine...
Un petit pois n’est jamais seul. On le trouve en cosse, en bande, en boîte.
Parfois, pourtant, il y a un rebelle parmi les petits pois. Un original qui rêve de s’envoler par la fenêtre.
Mais comment faire ?
Un petit pois, ça ne vole pas. Ça tombe par terre et ça se dessèche.
Heureusement, dans les cuisines, les petits pois aventureux ont des alliés.
Une cuillère nommée Catapulte, par exemple…
Quand on est un vieux loup et que c'est l'hiver, que faire ? Le loup de notre histoire va de maison en maison avec dans son sac un caillou pour faire... de la soupe au caillou. Mais chacun a une recette différente : le cochon ajouterait bien des courgettes, le cheval et le canard suggèrent des poireaux. Et ainsi de suite... jusqu'à faire une vraie soupe ! Mais notre loup n'avait-il pas une autre idée derrière la tête ?
Pour l’anniversaire de son papa, Jojo veut préparer une surprise : un repas complet, de l’entrée au dessert ! Il sort tout ce qu’il trouve : poireaux, navets, carottes, câpres, moutarde, huile, farine, oignons, beurre, patates, sucre et trois yaourts à la cerise. Que faire avec ça ? Tous les ustensiles de cuisine et les appareils électroménagers se moquent de lui, sauf la poubelle. Elle, elle veut bien aider Jojo. Elle connaît des recettes. Mais ses drôles de conseils sont-ils totalement désintéressés ?
Jusqu'à présent, les souris ne volaient pas. Mais Pipioli, qui est une souris, et qui a vu un lapin voler, a dit : « Si un lapin vole, pourquoi une souris ne volerait-elle pas ? ».
Il a pris des leçons avec son ami Zigomar, le merle. C'est comme ça qu'ils se sont retrouvés prisonniers des légumes. Et on s'aperçoit que Zigomar a bien raison de ne pas aimer les légumes.
Manger est un plaisir. Encore faut-il que ce plaisir ne soit pas gâché par quelqu'un qui vous coupe l'appétit. Pour ne plus dégoûter vos voisins de table, voici le guide indispensable mis au point par l'illustre Professeur Paul Hitaisse, grand spécialiste international en la matière.
« Un manuel de savoir vivre à consulter de 7 mois à 107 ans.(...) Un chef-d'oeuvre de drôlerie et de raffinement. » Elle, M.Richier, 29/8/1988
Kiawak est fier : jamais il n'a pêché un poisson aussi gros. Mais quelque chose le tracasse : le poisson qu'il vient de tirer au bout de sa ligne lui sourit. « Comment ce poisson peut-il me sourire alors que que je l'emmène pour être tué, coupé en morceaux et mangé ? » se demande le jeune Inuit.
Des jours sans manger. Rien à cueillir. Les hommes sont à la chasse. Les petits se tiennent le ventre. Leur ventre est en colère. Ils me regardent tous. Moi, Ama. Vite, je me jette contre le mur. Je fais un cheval, le corps d’un cheval. Au-dessus du taureau, une antilope. Près de l’antilope, mon cheval. En regardant ma peinture, les enfants se voient hors de la grotte. Que la lune passe. Que la lumière passe tant qu’ils rêvent. Mais Attuk, mon fils, a disparu.











