Thème « montagne »
Nos deux marmottes trouvent, comme par hasard, toujours quelque chose de passionnant à faire au moment d'aller au lit... Ce soir, elles font la course, mais Mariette tombe dans un trou !
Retrouvez Mariette et Soupir dans « Mariette et Soupir vont cueillir des myrtilles », « Mariette et Soupir cherchent une maison »
Mariette et Soupir, les deux marmottes, courent ici deux grands dangers, mais elles échappent de justesse aux crocs du renard et aux serres de l'aigle.
Aujourd'hui, c'est jour de la toilette. Maman lave et brosse Mariette et Soupir, sans oublier les oreilles... Mais nos deux amies marmottes sauront-elles rester propres ?
C'est l'été. Et pourtant, il neige. De la neige en été ? Comme c'est bizarre. « C'est comme ça à la montagne », dit Maman en faisant la grimace. Maman n'aime pas la neige. Mais Maman n'a pas de goût. La neige, c'est merveilleux ! C'est comme une grande page blanche sur laquelle on peut imprimer la trace de son pied, la trace de son corps tout entier. Bientôt, les pentes sont décorées de dizaines de silhouettes de Mariette et Soupir. L'une avec son panier, l'autre avec son chiffon. Mais c'est plus drôle avec un panier. Les soeurs marmottes se disputent le précieux accessoire qui leur échappe et glisse, glisse sur la neige pour disparaître à tout jamais. À tout jamais ? Peut-être pas.
Biscotte la marmotte ne tient pas en place. Elle veut tout voir, tout apprendre, tout savoir ! Rien ne l’arrêtera. Sauf l’hiver, peut-être ? Quand arrive le grand froid, c’est l’heure d’hiberner pour les marmottes. Quoi ? Six mois à dormir dans ce trou ? Ah, ça non !
Yéti vit seul et heureux dans sa belle montagne, jusqu’au jour où il découvre, en même temps qu’une jolie petite botte, que la solitude commence à lui peser. Alors il saute sur l’occasion pour chercher... chaussure à son pied !
Un jour la chevrette apprit à compter. Elle se regarda dans une flaque d'eau : « Ça fait un », compta-t-elle.
Un veau, qui passait par là , lui demanda : « Qu'est-ce que tu fais ? »
« Je compte », répondit la chevrette. « Veux-tu que je te compte aussi ? »
Le jour où Sann est né, son village a été enseveli sous les éboulis : la montagne s’est écroulée. Tous les habitants ont fui. Tous, sauf sa famille. La mère de Sann l’emmène souvent quand elle va travailler dur dans les petits champs restés cultivables. Que de souffrance ! Sann décide de l’aider en débarrassant son village des grosses pierres, l’une après l’autre. Un jour, Sann rencontre un vieil ermite et lui confie son projet. Sa détermination est si grande que, sans ricaner, sans se moquer, l’ermite décide de l’aider.