Thème « métiers divers »
D’où vient le lait ? De la vache. Mais comment le lait arrive à la table du petit déjeuner ? Et comment fait-on le pain de la tartine du petit déjeuner ? Et le miel ? Des questions naturelles expliquées dans ce livre bien pratique pour les parents qui doivent y répondre tous les jours !
Quel métier fait Baptiste quand il fait klung ! klong ! ? Ou Édith quand elle fait Pin ! Pon! Pin ! ? Et qui fait Touf ! Touf ! Touf ?
Les métiers présentés par des animaux en poésie et en onomatopées !
Andy est le petit dernier castor de la famille. Tout le monde est très occupé à scier des arbres, creuser dans la boue, pour fabriquer un barrage sur la rivière. Andy aimerait bien y participer mais il est encore trop jeune et dérange tout le monde. Heureusement il va bientôt aller à l’école, et pouvoir apprendre plein de choses. Mais à l’école, il faut rester sur sa chaise sans bouger ce qui n’est pas le fort d’Andy…
Pour les petits, voici les différentes étapes de la construction d'une maison, présentées d'une manière à la fois vivante et simple.
Sam nous présente sa voiture : « Il faut beaucoup de choses pour faire une voiture : un moteur, des roues, un volant...»
Des couleurs vives, des contours très nets, des dessins d'une lisibilité parfaite, des personnages très expressifs, Byron Barton est l'un des tout premiers à avoir su captiver le regard des petits, et même des tout-petits. Il leur raconte des choses qui les passionnent, en transportant la réalité dans l'univers du jeu.
Le vélo de Tom est vert, flambant neuf, magnifique. Pour l’enfourcher, Tom met son casque et son sac à dos, et le voilà parti. À l’école ? À l’école buissonnière ? En vacances ? Pas du tout. Tom prend son vélo vert pour se rendre à son travail. Et comme, quelquefois, la vie est très bien faite, après avoir doublé beaucoup de monde, des voitures, des piétons, mais aussi des singes, des lions et des acrobates, Tom se gare, se met en tenue de travail et… change de vélo ! Pourquoi ?
Quand j’étais un ours, j’étais très occupé à dompter un animal féroce, à être un grand pâtissier, à peindre, à voler dans l’espace, quelle vie excitante ! Mais très fatigante aussi !
Hé, les gars ! Mettons-nous au travail. Démolissons cet immeuble. Creusons cette route. Chargeons ce camion. Déchargeons ces gravats. Mélangeons ce ciment. Quelle journée...
C'était en 1903, j'avais neuf ans. Un soir, ma tante Arthémise était venue dîner et, comme c'était l'anniversaire de mon frère, elle lui avait offert un appareil photographique. « Ma chère Aurore, ne sois pas jalouse ! » Ma tante me taquinait. « J'ai aussi un cadeau pour toi ! Demain et pendant trois jours, je t'emmène chez Monsieur Méliès pour faire du cinématographe ! ». « Le cinématographe ? Qu'est-ce que c'est que cette invention ? » demanda mon papa en regardant sa sœur de travers. Je n'avais pas vu le temps passer, rêvant de ma rencontre avec Monsieur Méliès, le créateur des spectacles cinématographiques. C'était un grand magicien qui savait tout faire, aussi bien inventer des trucages géniaux, que de fabriquer sa première caméra... Et qui créa tous ces films féériques, mystérieux et drôlatiques dont j'ai encore la nostalgie. Pourquoi ces films ont-ils disparu ? J'aimerais tant les revoir !
Un cavalier solitaire et silencieux visite l'Europe des légendes, des traditions, des coutumes... Sans paroles.
Paul et son ami Édouard rapportaient un trésor : des cristaux de quartz trouvés dans une faille, au pied de la Dent du Requin, au-delà de la mer de Glace.
Mais une glissade en pleine tempête, et le sac s’est perdu… Les deux jeunes montagnards rentrent blessés et bredouilles. Joséphine, la soeur de Paul, rêve de partir à son tour explorer les fours.
« Toi ? ! Les filles seront cristalliers quand les vaches auront des ailes ! » se moque Paul. Qu’à cela ne tienne ! Joséphine a trois amies aussi courageuses qu’elle. Les voilà qui s’encordent et partent à l’assaut : à la fois de la montagne et des préjugés masculins…
De l'atelier où il a été fabriqué, à sa première propriétaire, en passant par un drôle de petit monsieur à lunettes et à manteau vert, voici l'histoire d'un petit tabouret qui a failli entrer dans l'Histoire...
En Chine, pour un enfant, aller au marché est toujours une grande fête. On y rencontre une foule de gens, on y voit toutes sortes de choses, on s'y amuse et surtout on s'y régale. Bïn Bïn court de stand en stand : le vendeur de délicieuses nouilles, la troupe des chanteurs d'opéras, le monsieur qui fabrique des figurines en sucre soufflé et aussi... mais Bïn Bïn ne retrouve plus ses parents dans tout ce monde. Que faire tout seul au milieu du grand marché ?
Printemps 1829, dans un village des bords du Rhône, entre Lyon et Valence. Jean attend le retour de son père, un patron marinier respecté de tous. À bord de son bateau halé par des chevaux le long des berges, il transporte toutes sortes de marchandises : blé, charbon, étoffes, sel, sucre, savon, tonneaux de vin, barils d’anchois… Il transmet aussi des messages aux riverains. Jean rêve de faire la « décize », la descente du Rhône, avec lui. Pendant son absence, il a sculpté un beau calvaire en bois. Admiratif et pour le récompenser, son père l’embarque plus tôt que prévu. Direction : Lyon. Là-bas, une surprise attend Jean…
À l'époque de la construction de la statue de la Liberté, cadeau des républicains français aux États-Unis d'Amérique pour fêter le centenaire de leur indépendance, très peu d'enfants allaient à l'école. La plupart travaillaient aux champs, dans les magasins, les mines, les usines ou les ateliers. Léo, Fanch, Ben et Angus, les quatre jeunes héros de cette histoire, ont personnellement participé à ce chantier extraordinaire, qui s'ouvre en France en 1875 et s'achève onze ans plus tard de l'autre côté de l'Atlantique. Chacun à sa manière a contribué à ce qu'aujourd'hui encore la Liberté éclaire le monde. Une histoire documentaire et un dossier pour en savoir plus sur les étapes de la fabrication de la statue.
Lisbonne, en 1502 ? Une ville captivante ! Les richesses du monde entier y arrivent et s’y négocient. Tiago se régale en se promenant sur le port, mais aussi en dessinant pour son amie Ana dans l’atelier de son père : dom Joaquim est l’auteur de la carte la plus précise jamais réalisée, le Padrão Real. Très convoitée, car elle contient des secrets d’État. Justement, un cartographe rival arrive du sud de l’Afrique. Et l’atelier de dom Joaquim compte un traître prêt à tout pour faire fortune avec une copie de la précieuse carte. Même à enlever Tiago ! Heureusement, Ana veille et elle va être aidée dans sa lutte pour sauver son ami et le travail des cartographes par… un rhinocéros !















