Thème « mer »
Réchauffement climatique ? Été particulièrement torride ? Absence d’arbres ?
En tout cas, ce qui est sûr, c’est que ce petit pingouin meurt de chaud et cherche un coin d’ombre. Ouf ! En voilà un. Oui, mais ce coin d’ombre est un phoque qui veut bouger pour chercher, lui aussi, un coin d’ombre plus grand… Et ainsi de suite, jusqu’à ce que l’éléphant ne trouve plus de grande ombre à sa taille. Il propose alors une autre solution à toute la troupe, enthousiaste : « À l’eau ! »
C’est un magnifique château qu’Émile a passé la matinée à construire. Le plus beau de toute la plage, et le plus gros. Tellement beau que tout le monde le convoite et veut y habiter. Il suffit qu’Émile ait le dos tourné et parte se baigner pour qu’une famille de bigorneaux, puis un jeune crabe déboulent, entrent et prétendent être les rois du château… Évidemment, Émile n’est pas d’accord. Le roi, c’est lui. Mais il lui faudra apprendre que, sur la plage, tout près des vagues, les monarchies ne sont pas très durables…
Par cette belle nuit de lune, voici trois petits chatons qui ont envie de tout... sauf de dormir. Envie de sortir, de ramasser des bâtons dans la forêt, de monter dans une barque, de prendre la mer, d’escalader le Piton-Pointu de l’île déserte, de braver tous les dangers ! Et leur maman, que dit-elle de tout cela ? Rien. Elle veille. De l’autre côté de la porte de la chambre, elle se tient prête à bondir. En cas de besoin.
Quand Adrien reçoit une carte postale de Bretagne avec une petite algue collée sur l'enveloppe, il remarque tout de suite que sa lettre a un parfum particulier. Un parfum plutôt agréable. Il se souvient alors de toutes les odeurs qu'il connaît : de celles qu'il aime, mais aussi de celles qu'il déteste. Son amie Alex a aussi un parfum préféré, mais elle refuse de lui dire lequel. Plus Adrien y pense et plus il a envie de savoir ce que c'est.
Lucie et sa maman viennent d'arriver pour les vacances sur l'île de Kounié, en Nouvelle-Calédonie, au coeur de l'océan Pacifique. La famille de Mahi-Mahi les accueille et leur a préparé un festin de poisson, de légumes, de racines savoureuses et de fruits. Pour l'instant, Lucie se contente d'admirer les poissons exotiques sur la tablette, mais elle a très envie de les voir pour de vrai. Comment les observer sans danger quand on est encore petite et qu'on ne sait pas nager ? Mahi-Mahi a la solution !
Edgar aime s’asseoir sur un banc après l’école et scruter l’océan. Là , au moins, il est tranquille. Un jour, un oiseau se pose près de lui et se met à lui parler. Ce n’est pas n’importe qui : c’est Krol, un fou de Bassan. Krol aussi aime le calme, et rester à l’écart de son clan. Or il a un service très important et très spécial à demander à Edgar. Mais rendre service à un fou, est-ce bien raisonnable ?
Krol, le fou de Bassan, n'a pas réussi à attraper son 988e hareng. Au moment de plonger, son aile gauche l'a lâché. Ne plus voler, c'est ce qui peut arriver de pire à un fou. À part se faire manger, bien sûr. Alors qu'il a échoué sur le rivage, une petite fille aux bottes jaunes approche en sautillant. Elle a quelque chose qui rappelle les pirates. Et Krol se souvient des récits de son grand-père : « Les pirates mangeaient parfois les fous : un coup de sabre et à la broche ! »
Oona et son grand-père emmènent Krol blessé chez eux, dans leur maison loin de tout. Un piège ou une chance ?
Dans la famille de Jean, on est corsaire de père en fils et l'on écume les mers au service du roi. C'est plus dangereux que d'aller à l'école. A neuf ans, Jean embarque comme mousse et l'aventure commence : poursuites canonnades et abordages. « Mort aux Anglais ! » crie Jean avec ses compagnons d'armes. Mais un jour, il rentrera chez lui à Saint-Malo, où l'attend Toinette, la « fille des fées », qui lui a juré un amour éternel. Et ils se marieront. Et il ne sera plus question de faire la guerre.
Vive les vacances ! Les petits poulets, Yvette et Jules, partent pour la première fois de leur vie au bord de la mer. Sur la plage, ils ne doivent pas s’éloigner. Mais Yvette et Jules vont sur les rochers, ramassent des coquillages.
Puis ils sont un peu fatigués, ils s’allongent, ils s’endorment. Malheur !
Quand ils se réveillent, la mer les a encerclés…
Une nouvelle aventure d’Yvette et de Jules.
Sous la mer comme sur terre, il y a des écoles et des écoliers. À la demande de Mme Mérou, leur institutrice, Roger le poisson rouge, Toni le calamar et Eugénie la seiche doivent préparer un exposé sur un vaste sujet : le cœur.
Eugénie, qui craint secrètement d’être née sans cœur, souhaite interroger un docteur. Mais Toni préfère aller voir sa grand-mère, qui est, paraît-il, un vrai cœur d’artichaut. Ils vont aussi croiser une huître très fermée et un bernard-l’hermite qui n’a plus le cœur à rien.
Leur enquête progresse… Mais ce qu’ils ignoraient tous trois, c’est qu’elle pourrait soudain s’avérer dangereuse.
Pour la classe d'Olga, le voyage de fin d'année va se faire à la mer… et les déguisements sont autorisés ! L'excitation est à son comble ! Sauf qu'après avoir erré dans les rayons du Super-Market et même essayé de se fabriquer un costume toute seule, c'est l'échec. Le jour du départ, Olga se retrouve déguisée en rien du tout. La honte… Mais l'aventure ne fait que commencer !
Son père le lui avait bien dit : « Il ne faut pas sortir en mer quand le ciel est noir. » Mais comme il n’est plus là pour le lui interdire, le petit garçon part pêcher sous les nuages. Soudain, quelque chose se prend dans son filet. Alors qu’il tire, la tempête se déchaîne. Et voilà que sa prise apparaît. Horreur ! C’est un squelette qui se dresse devant lui. Il a beau fuir, pagayer de toutes ses forces, puis s’évanouir, le petit garçon ne se débarrassera pas du squelette avant d’avoir compris ce que celui-ci est venu lui enseigner…
Il y a huit ans que Chen Jiang Hong a eu l’idée de cet album, intrigué par un dessin traditionnel chinois du VIIe siècle sur lequel un squelette manipule une marionnette d’enfant-squelette devant un petit garçon qui les regarde paisiblement, tandis que, derrière lui, sa mère est terrifiée. Peu à peu, nourri aussi par des contes, il a trouvé son histoire qui illustre de façon profonde cette grande vérité de la philosophie chinoise : la vie et la mort sont comme les deux côtés de la même main. Les enfants, qui sont de grands sages, acceptent bien plus volontiers cette idée que les adultes…
Finn et Clara habitent un village de pêcheurs, sur une île en mer d’Irlande. Leur père leur a fait une belle surprise : il a construit pour eux un curragh, une petite barque traditionnelle. Ils peuvent y naviguer, à condition de se tenir à distance de l’Île aux Brumes, un endroit maudit dont personne n’est jamais revenu… Ce n’est pas qu’ils veulent désobéir… mais, un jour d’épais brouillard, Finn et Clara sont entraînés à la dérive et échouent sur l’Île aux Brumes. Que faire ? L’explorer, bien sûr !
Les hommes font rêver les sirènes, c’est bien connu. Leurs villes sont belles, lumineuses. Ils sont bons, généreux, hospitaliers… Pourquoi ne pas vivre parmi eux, plutôt qu’au fond des mers glacées ? C’est ainsi qu’une sirène qui portait un enfant décida de le mettre au monde une nuit, en cachette, au pied d’un petit temple, afin qu’il soit recueilli par des humains et qu’il grandisse dans la joie. Si elle avait pu imaginer quel sort attendait sa fille, jamais elle ne l’aurait abandonnée…