Thème « mer, marin »
Quand Adrien reçoit une carte postale de Bretagne avec une petite algue collée sur l'enveloppe, il remarque tout de suite que sa lettre a un parfum particulier. Un parfum plutôt agréable. Il se souvient alors de toutes les odeurs qu'il connaît : de celles qu'il aime, mais aussi de celles qu'il déteste. Son amie Alex a aussi un parfum préféré, mais elle refuse de lui dire lequel. Plus Adrien y pense et plus il a envie de savoir ce que c'est.
C’était un 20 mars, le jour du début du printemps. Ce jour-là, à la piscine, une chose terrible est arrivée à Carlotta et depuis, elle refuse de se baigner. Même quand la plage est jolie, que le sable est doux et que la mer scintille, Carlotta reste sur sa serviette et s’invente des histoires. Mais Martin veut que Carlotta vienne dans l’eau avec lui. Carlotta sent les larmes picoter ses yeux. Vite, il faut trouver quelque chose pour que ça passe et que Martin la laisse tranquille…
« Carlotta se bouche les oreilles pour ne pas entendre ces paroles qui l’avaient rendue triste. Pour oublier l’affreux souvenir, elle imagine que la serviette est un bateau, et qu’elle est en pleine mer…
Soudain, elle entend une petite voix :
– Petite fille, au secours !
Carlotta regarde autour d’elle, mais elle ne voit pas d’où vient la voix.
– Au secours, sauve-moi !
Ses yeux tombent enfin sur un tout petit poisson argenté qui se tortille dans le sable.»
Cet été, Bertille a décidé d'aller explorer le fond des océans. Elle a demandé à Jean-Marc Barr de les accompagner. Il a joué un plongeur dans un film, c'est forcément un spécialiste de la mer. Et son copain Younès, qui est super bricoleur, construit le sous-marin. Le cœur des abysses est plein de mystères et de créatures impressionnantes, comme le calamar géant, aussi grand qu'une maison. Mais bien vite apparaissent toutes sortes de difficultés, comme si quelqu'un essayait de saboter le projet...
L’été, il fait chaud, surtout quand on vit dans une poubelle. Chien Pourri et son fidèle ami Chaplapla rêvent de vacances sur la Côte d’Azur. Par miracle, il reste une place pour eux à la Colonie des oubliés. Au programme : ramassage de détritus, Club Biquet et glaces au sable. De formidables vacances pourries en perspective !
Laura pourrait passer toute son existence dans son hamac. C'est un endroit magique où elle peut lire, jouer, se balancer. Rien n'est plus délicieux au monde, le vert de son tilleul au-dessus de sa tête, le bercement régulier, et tout ce qui glisse autour, comme les formes des nuages. Il faut alors faire preuve d'une grande concentration pour ne rien faire pendant des heures. Tout le monde n'a pas la chance de savoir être paresseux, mais Laura, elle, a des prédispositions extraordinaires. Elle sait rêver, avoir des images dans sa tête, et attendre que le temps passe. Mais un jour, quelque chose d'étrange vient perturber son travail de repos. Des petits cailloux tracent un chemin, juste en dessous de son paradis à elle. Des petits cailloux blancs placés là pour lui faire découvrir quelque chose. Ou même mieux, quelqu'un.
Il paraît que je suis bizarre. C’est ce que pensent mon père, ma mère, la maîtresse, ma soeur et même mon chat. Il n’y a que Jean-Roger, l’épicier du village, que ça ne dérange pas. C’est vrai que j’ai une passion un peu spéciale : j’adore les coquillages. Pas les manger, non, juste les observer. Et justement, il m’est arrivé quelque chose d’incroyable avec une bernique, un de ces petits chapeaux chinois accrochés aux rochers sur la plage. Difficile à croire ? Et pourtant…
Dans mon petit village en bord de mer, je reprends mes habitudes avec mes amis Toufik et Charmant, une bernique et un éléphant. On est en septembre et les copains de vacances sont partis. La nouveauté, c’est que des Anglais se sont installés. Ils ont une fille. Le premier jour, je la remarque tout de suite. Et toute l’école le voit : « Albert est amoureux ! » Normalement, à la rentrée, j’ai un coup de blues. Cette année, j’ai un coup de foudre...
Ce matin, réveil en fanfare ! Ma mission : laver mon honneur et retrouver ma bernique qui a disparu. Je dois prouver à ma maîtresse que cette amitié avec Toufik n’a rien de « farfelu » comme elle aime le répéter devant toute la classe. Je n’ai rien inventé, tout est vrai et authentique. Équipé de tout mon matériel de fin limier, mon chapeau vissé sur la tête : je suis prêt. Mais quand j’ouvre la porte, BING ! Je me cogne contre quelque chose de gris qui bouche mon entrée. C’est poilu et ridé ! Je me pince le bras et OUILLE ! Non, je ne suis pas en train de rêver ! Une chose est sûre, c’est ma maîtresse qui risque de trouver ça vraiment TRES farfelu…
Ah ! que la vie est douce, quand on est au bord de la plage, loin du tumulte du monde, avec le bruit des vagues pour compagnie. Elle est comme ça, la vie de Mousse. Le matin, il sort se promener sur le sable. Il se baigne dans l’eau fraîche. Et il attend que la marée vienne lui apporter les petits trésors du jour. Mais aujourd’hui, c’est un drôle de visiteur qui débarque dans son salon. Un visiteur vraiment inattendu…
Edgar aime s’asseoir sur un banc après l’école et scruter l’océan. Là, au moins, il est tranquille. Un jour, un oiseau se pose près de lui et se met à lui parler. Ce n’est pas n’importe qui : c’est Krol, un fou de Bassan. Krol aussi aime le calme, et rester à l’écart de son clan. Or il a un service très important et très spécial à demander à Edgar. Mais rendre service à un fou, est-ce bien raisonnable ?
Krol, le fou de Bassan, n'a pas réussi à attraper son 988e hareng. Au moment de plonger, son aile gauche l'a lâché. Ne plus voler, c'est ce qui peut arriver de pire à un fou. À part se faire manger, bien sûr. Alors qu'il a échoué sur le rivage, une petite fille aux bottes jaunes approche en sautillant. Elle a quelque chose qui rappelle les pirates. Et Krol se souvient des récits de son grand-père : « Les pirates mangeaient parfois les fous : un coup de sabre et à la broche ! »
Oona et son grand-père emmènent Krol blessé chez eux, dans leur maison loin de tout. Un piège ou une chance ?
« Jonathan part en avant, à la conquête des crabes et des crevettes, mais ce n’est déjà plus lui que je vois, ce n’est plus lui que j’entends. Il y a quelque chose dans ma tête qui ne s’en va pas. Cette chose, à l’intérieur, c’est un souvenir. Le souvenir d’hier. »
Hier, c’était le premier jour des vacances, l’exaltation du départ, le coffre plein. Et puis il y a eu les embouteillages, l’ennui, l’envie de faire pipi, de boire, et là, Papa s’est énervé…
Dans la famille de Jean, on est corsaire de père en fils et l'on écume les mers au service du roi. C'est plus dangereux que d'aller à l'école. A neuf ans, Jean embarque comme mousse et l'aventure commence : poursuites canonnades et abordages. « Mort aux Anglais ! » crie Jean avec ses compagnons d'armes. Mais un jour, il rentrera chez lui à Saint-Malo, où l'attend Toinette, la « fille des fées », qui lui a juré un amour éternel. Et ils se marieront. Et il ne sera plus question de faire la guerre.
Lola passe ses vacances avec grand-mère et grand-père. Comme d'habitude, Lola et grand-père jouent aux dames. Comme d'habitude, grand-père, grand joueur de dames, est certain de gagner. Seulement cette fois, Lola gagne et grand-père se fâche. Il s'enfuit vers la mer. Il disparaît dans la nuit. Quelques minutes plus tard, une voix appelle au secours. La voix de grand-père ? Lola et grand-mère courent jusqu'à la falaise. La grande voile rouge d'un navire scintille sous la lune. Grand-mère semble penser que le mystérieux bateau a emmené grand-père. Commencent alors des vacances pas comme les autres...
Vive les vacances ! Les petits poulets, Yvette et Jules, partent pour la première fois de leur vie au bord de la mer. Sur la plage, ils ne doivent pas s’éloigner. Mais Yvette et Jules vont sur les rochers, ramassent des coquillages.
Puis ils sont un peu fatigués, ils s’allongent, ils s’endorment. Malheur !
Quand ils se réveillent, la mer les a encerclés…
Une nouvelle aventure d’Yvette et de Jules.
Le rêve d'Olga s'est réalisé : la voilà inscrite au club des Tritons. Elle va peut-être devenir championne de trampoline. Mais pour l'instant, pas question de faire des sauts périlleux. Il faut s'aligner au coup de sifflet d'Éric, un moniteur très musclé qui se prend pour Tarzan, et surtout, il faut se faire des amis, très vite. Si vous n'avez pas d'ami, qui vous prendra dans son équipe ? En cinq minutes, Olga a déjà une ennemie, une ennemie qui la veut dans son équipe. Au club des Tritons, la vie est d'un compliqué !
Retrouvez Olga dans d'autres histoires.