Thème « maladie, docteur »
Comme Carole, j'ai fait la rougeole. Comme Philémon, j'ai fait les oreillons. Comme Duduche, j'ai fait la coqueluche...
Aujourd’hui, Angèle n’est pas venue à l’école. Elle a attrapé une méchante maladie et on a dû la conduire à l’hôpital. Les journées sont longues pour Angèle. Lucas décide de la «désennuyer». C’est ainsi que les jours suivants, on voit Lucas courir à travers les prés ou le long du ruisseau en tenant un bocal bien haut, au-dessus de sa tête. Et lorsqu’il va voir Angèle, il dépose les bocaux en souriant : «Tiens, ouvre celui-là !»
Rien ne va aujourd'hui ! Ours s'endort tout le temps, Lapin a les oreilles qui tombent et Ecureuil a Hérissonne coincée dans sa queue... Le chant du violoncelle et de la flûte résonne dans la forêt. C'est le docteur Pépita qui vit là-haut sur la montagne avec son petit chien. Elle accueille les animaux dans son jardin de fleurs et soigne les maux et les cœurs de chacun, même celui du loup !
Adélaïde, le jour où j’ai croisé ton chemin, nom de tonnerre : quel coup de foudre ! J’étais le plus heureux des kangourous. Nous avons eu une belle vie, remplie de voyages. Et puis, le jour où tu as préparé de la soupe aux roses, je me suis rendu compte que quelque chose clochait…
« Comme il fait beau aujourd’hui ! Et si on allait pique-niquer ? » dit Monsieur Macaroni aux animaux. En voiture, les amis ! Et les voilà partis pour une aventure joyeuse et inattendue. Car trouver l’endroit idéal n’est pas une mince affaire…
C'est l'histoire d'une tout petite fille qui s'appelle Yola. Chaque matin, quand elle se lève, elle remplit d'eau son arrosoir bleu et arrose Violette. Violette, c'est sa fleur. C'est une violette. Et Yola, ça veut dire « Violette » aussi.
Mais un soir, un mal affreux, comme une lance, lui transperce la tête et semble lui écraser les joues...
Asha parle hindi avec ses parents. Mais depuis toujours, les animaux parlent à Asha et elle leur répond. Un jour, une étrange maladie envahit la ville de Chandigarh. Elle vient d’une race inconnue de moustiques. Rien ne peut guérir de ce poison. Le maharadjah s’est fait piquer. Et voilà que vient le tour du père d’Asha. « Je le jure : je te guérirai, Papa. Je trouverai ce remède, les animaux m’aideront. »
Petite Mort se désole : les gens qu'elle emmène au royaume de la Mort sont tristes. Ils soupirent, ils ont froid. Jamais personne ne lui parle... Jusqu'au soir où Petite Mort vient chercher Elsewise. La fillette l'accueille avec joie : « Enfin, vous êtes là ! » s'écrie-t-elle en souriant.
Toudoum… Toudoum… Chaque matin, Sisanda commence par compter les battements de son cœur et le nombre de jours qu’elle a vécus depuis sa naissance.
Puis, elle regarde sa mère se glisser hors de la case pour aller courir dans les collines : Maswala, sa Mamantilope, cavale pour le plaisir pendant des heures, pieds nus, là où même les bergers ne vont pas avec leurs troupeaux.
Sisanda, elle, ne peut pas courir. Ni sauter, ni jouer avec les autres, ni rien, à cause de son petit cœur imbécile et de sa maladie idiote. Le médecin lui a dit qu’elle avait beaucoup de chance d’être encore en vie. Vraiment beaucoup. Ici, il ne peut rien faire, il faudrait opérer Sisanda dans un hôpital spécialisé à l’étranger. Et ça coûte cher… Un million de kels ! Elle a compté qu’il faudrait à ses parents trente-huit ans, trois mois et vingt jours pour réunir autant d’argent…
Mais tous ces calculs sont faussés lorsqu’elle découvre que Maswala pourrait gagner la même somme en courant aussi vite qu’une antilope…
Il y a souvent une histoire vraie à l’origine d’un roman de Xavier-Laurent Petit. Ce dévoreur de journaux a découvert l’existence de Chemokil Chilapong dans un article de Courrier international qui racontait comment cette simple fermière avait pu financer la scolarité de ses enfants grâce à sa victoire au marathon de Nairobi. Il n’en fallait pas plus pour que son imagination s’emballe et nous entraîne dans les foulées de Maswala, la mamantilope d’une petite fille au cœur malade…