Thème « langage, jeux de mots »
Souvent, on n’ose pas dire tout haut ce qu’on pense tout bas : que ses enfants mangent comme des cochons, que la voisine est une vieille bique, qu’on regrette de s’être conduit comme un âne…
Dommage ! Car pour peu qu’un papa se laisse aller à pousser son cri de révolte quand ses trois enfants se battent à table à coups de yaourts : « Bande de cochons ! », aussitôt les voilà qui se transforment en une vraie bande de vrais petits cochons ! Grouiiiikk !
Et ce n’est pas fini. Ils filent vers la forêt où les attend le loup…
Il était une fois un petit lapin qui ne savait dire qu'une chose : CACA BOUDIN ! Du matin au soir et du soir au matin : CACA BOUDIN ! À l'heure de la soupe et à l'heure du bain : CACA BOUDIN ! Il manque un loup à cette histoire, le voilà, tiens : CACA BOUDIN !
Il existe beaucoup de verbes pour désigner ce que nous pouvons faire avec notre corps et nos cinq sens. Ils sont variés et nuancés. Est-ce qu’on peut caresser un cactus ? Voir, est-ce exactement pareil que regarder ? C’est normal de ne pas pouvoir sentir quelqu’un qui pue ? Si tu as un balai, tu préfères jouer aux sorcières ou travailler à enlever les saletés ? Avec son dernier album, Tomi Ungerer nous aide à distinguer.
Dédésolés, c’est dédécidé : dans ce résumé nous ne dédévoilerons rien du dédernier-né dédélirant de Matthieu Maudédet. Non, pas un seul dédétail. Ne soyez pas dédépités ni dédécouragés ! Sachez d’ores et dédéjà que cet album est plein de dédessins dédésopilants et qu’il parle de dédébrouillardise. Il va vous dédérider si vous avez la bonne idédée de le lire et si vous le dédestinez à quelqu’un, il fera dédés heureux.
Vous aimez jouer au memory ? Vous allez adorer y jouer avec les poussins de Claude Ponti. Découvrez les 31 paires de cartes à retourner, illustrée chacune par divers poussins, ainsi que le livret qui présente leurs portraits. Ils sont tous là : Blaise, l’exceptionnel poussin masqué, bien sûr. La bande des sauteurs de tout : Osalto, Lulutz, Doublaxel, Fosbure. Et tous les autres : Reunne-Gara, Libelov, Titou Teureu…
Un enfant regarde un gâteau avec une mine gourmande : voici l'illustration du verbe « attirer ». Un jardinier remarque une feuille morte qu'il n'a pas encore ramassée dans son sac ; la légende de cette image est « presque ».
Plus de 300 notions et nuances sont illustrées ainsi, avec une simplicité non dépourvue de malice. En faisant appel aux associations d'idées, à la merveilleuse logique enfantine, et au goût du jeu, Christoph Niemann signe un imagier très original où seules les couleurs sont primaires !