Thème « jeu, jouet »
Anuki, le petit Indien, s’ennuie ferme : il n’y a décidément rien à faire au village. Et voilà qu’au moment exact où il trouve enfin à tromper son ennui en s’amusant avec un grigri que lui a donné sa maman, les problèmes commencent… avec une bande de poules ! Des poules pas comme les autres, têtues et moqueuses, qui lui barrent le chemin sur le pont de la rivière, et sont bien décidées à ne pas se laisser marcher sur les plumes ! En voulant récupérer son grigri, coincé tout en haut du grand totem, Anuki va déclencher bien malgré lui toute une série de catastrophes… Et une chose est certaine, il ne faudra pas compter sur les poules pour lui donner un coup de patte, bien au contraire !
Pourquoi Maman fait-elle autant de mystères aujourd'hui ? Que va-t-elle faire des oiseaux en papier qu'elle fabrique ? Pourquoi n'a-t-elle rien dit à son fils qui lui avait désobéi en allant jouer près de la mare ?
Ils sont vingt-sept et habitent tous le même immeuble. Pères mères, oncles, tantes, cousins, cousines, sans oublier une grand-mère que les enfants baptisent Mammout. Or Mammout perd la boule. Elle ne retrouve plus son chemin, elle dit n’importe quoi, bref, elle ne peut plus rester seule. Et ça tombe mal parce que le président Martial annonce la venue d’un virus dangereux, la fermeture des écoles et la nécessité absolue de protéger les personnes âgées. Les adultes craquent. Qui va garder les enfants ? Qui va garder Mammout ?
Zoreilles ?… C’est le chien d’Adrien. Ressort ?… C’est le chat d’Adeline, et Galipette, c’est le hamster d’Antoine.
Mais Hyper ?… Hyper, c’est l’ami d’Arthur. Hyper est très gros, mais il sait aussi être très discret. Il est très lourd, mais personne ne nage aussi légèrement que lui. Il est terriblement fort, mais il sait se faire aimer de tout le monde. Il n’a que quatre dents, mais il adore les algues au chocolat.
Au début, bien sûr, tout le monde avait un peu peur de sa grosse voix, mais aujourd’hui, tout le monde veut être son copain, même les filles.
Certains soirs, Hyper est un peu triste, il aimerait bien retourner là -bas, dans son pays, en Afrique. Mais il ne partirait pas longtemps, c’est juré ! Il reviendrait vite voir son ami Arthur, qui a tant besoin de lui. Parce que, depuis qu’Hyper dort tout à côté de lui, Arthur n’a plus jamais peur du noir ni des cauchemars !
Une semaine tranquille avec des voisins sans histoires, c'est tout ce qu'Antoine espérait pour bien terminer les vacances. C'est raté ! Entre Lulie qui se casse le bras, madame Ferplon qui vocifère pour chasser les esprits, Jules qui a soudainement peur des fourchettes, sa tante féroce à qui il manque un doigt...La rue d'Antoine est comme possédée, ses habitants semblent ensorcelés. Par qui ? Par Quoi ? C'est à lui de le découvrir.
Jumanji est un jeu d'aventures dans la jungle qui ressemble à jeu de l'oie, à la différence près que le message de chaque case devient réalité - le lion attaque vraiment, des singes saccagent la cuisine, les pluies de la mousson inondent le salon... Une fois le jeu commencé, la seule issue est d'aller jusqu'au bout, de sortir de la jungle et d'atteindre Jumanji.
Le jeune Dong-Dong a du chagrin: il a perdu son cerf-volant. Pour le consoler, son grand-père lui raconte une histoire qu'il n'oubliera jamais. Elle est pleine de poésie et de sagesse. Elle lui apprend que l'amour est comme un fil solide entre ceux qui s'aiment, et qu'il les sauve parfois en les élevant très haut. Désormais, chaque fois que Dong-Dong verra voguer un cerf-volant dans le ciel de la Chine ou d'ailleurs, il songera à la belle Ying-Ying et à son amoureux Ming-Ming, dont l'ingéniosité aérienne triompha jadis des appétits de l'Empereur.
À Katmandou, capitale du Népal, Nan rêve de vaincre enfin son ennemi, le redoutable Chakku. Il ne s'agit ni de boxe, ni de lutte, mais d'un combat aérien au cours duquel les deux garçons vont s'affronter par cerfs-volants interposés. Et, pour prétendre sortir vainqueur de ce duel, il faut d'abord fabriquer le meilleur cerf-volant...
Toudoum… Toudoum… Chaque matin, Sisanda commence par compter les battements de son cœur et le nombre de jours qu’elle a vécus depuis sa naissance.
Puis, elle regarde sa mère se glisser hors de la case pour aller courir dans les collines : Maswala, sa Mamantilope, cavale pour le plaisir pendant des heures, pieds nus, là où même les bergers ne vont pas avec leurs troupeaux.
Sisanda, elle, ne peut pas courir. Ni sauter, ni jouer avec les autres, ni rien, à cause de son petit cœur imbécile et de sa maladie idiote. Le médecin lui a dit qu’elle avait beaucoup de chance d’être encore en vie. Vraiment beaucoup. Ici, il ne peut rien faire, il faudrait opérer Sisanda dans un hôpital spécialisé à l’étranger. Et ça coûte cher… Un million de kels ! Elle a compté qu’il faudrait à ses parents trente-huit ans, trois mois et vingt jours pour réunir autant d’argent…
Mais tous ces calculs sont faussés lorsqu’elle découvre que Maswala pourrait gagner la même somme en courant aussi vite qu’une antilope…
Il y a souvent une histoire vraie à l’origine d’un roman de Xavier-Laurent Petit. Ce dévoreur de journaux a découvert l’existence de Chemokil Chilapong dans un article de Courrier international qui racontait comment cette simple fermière avait pu financer la scolarité de ses enfants grâce à sa victoire au marathon de Nairobi. Il n’en fallait pas plus pour que son imagination s’emballe et nous entraîne dans les foulées de Maswala, la mamantilope d’une petite fille au cœur malade…
Posées sur l'étagère, les marionnettes attendent le retour du sculpteur sur bois qui les a fabriquées. Lorsqu'il revient enfin de son voyage, il accroche au mur un masque noir qui fixe les pantins de son regard effrayant. Soudain, il prononce des paroles étranges de sa voix rauque. Les marionnettes sont terrorisées. Qui est-ce ? Un sorcier ? Va-t-il les envoûter ?
« J'ai compris que j'étais vieux le jour où je me suis retrouvé dans la vitrine d'un antiquaire. J'ai été fabriqué en Allemagne. Mes tout premiers souvenirs sont assez douloureux. J'étais dans un atelier et l'on me cousait les bras et les jambes pour m'assembler... »
Petit Vampire vient à la maison. Je devrais être content, mais à quoi on va pouvoir jouer ? Je suis un enfant gâté, parce que mes parents sont morts et que mon grand-père m’achète tous les jouets que je veux, mais chez mon ami, il y a plein de vrais monstres, c’est autre chose. Pire encore, Pépé nous emmène dans un magasin de « jeux de réflexion ». Mais quand on découvre l’univers des jeux de rôle, tout change : devenir un autre, inventer des histoires, explorer des donjons, combattre des dragons... Je vais créer un club, avec des gens de ma classe. Sauf que moi, dès qu’il y a des filles, j’ai l’impression de jouer ma vie.
Les enfants, filles et garçons, ont un tas de choses à demander à leur maman, et un tas de choses à leur dire. Les mamans ne sont pas toujours disponibles, elles ont tant à faire ! En plus, à présent, leurs portables sonnent sans cesse, envoient des SMS… Elles ne parlent plus qu’aux portables. À quoi bon, dans ces conditions, avoir une maman ? Les enfants partent. Loin. Dans des pays merveilleux, qu’ils inventent, ils savent comment s’y rendre. Mais… Norma n’a plus son Jojo, son singe en peluche ! Est-il parti, lui aussi, et pourquoi ?
Connaissez-vous Jumanji, jeu d'aventures dans la jungle qui se joue comme un jeu de l'oie, à la différence près que le message de chaque case devient réalité ? À la dernière page de Jumanji, de Chris Van Allsburg, deux garçons, Walter et Danny Budwing récupéraient par hasard la redoutable boîte de jeu et la rapportaient chez eux. En ouvrant cette boîte, ils vont découvrir Zathura, un jeu d'aventures dans l'espace.
Dans Jumanji, le lion attaquait vraiment et les pluies de la mousson inondaient le salon. Dans Zathura, il tombe des météores, quand on perd sa pesanteur, on risque un voyage infini dans l'espace, et quand un vaisseau-pirate Zorgon attaque, c'est la fin des haricots.
Pour s'en sortir, pour revenir à la vie normale, il n'y a qu'une seule solution : poursuivre le jeu jusqu'au bout.