Thème « jeu, image, son, langage »
Si vous avez toujours rêvé de tout savoir sur les Ouroulboulouks : leurs histoires préférées, leurs records du monde, leurs recettes (la Tarte surprise aux doigts tièdes, le Nez clair au chocolat…). Si vous êtes friands de bons conseils (quand et comment semer les pantouflons ?), si vous avez soif de connaître la vie d’avant, depuis l’autrefois d’hier jusqu’à l’aujourd’hui de maintenant, alors cet almanach est pour vous, avec ses cartes, ses croquis, ses poésies, ses informations, ses dictons, ses questions.
Pepicek et Aninku doivent aller à la ville chercher du lait pour leur maman malade. Mais les deux enfants n'ont pas un sou ; ils n'ont que leur seau vide. Comment faire pour gagner de l'argent quand on est un petit enfant ? Sur la grand-place, un horrible bonhomme chante une affreuse chanson en s'accompagnant à l'orgue de Barbarie. C'est Brundibar. Tous les adultes autour de lui applaudissent et lancent des pièces. Chantons, nous aussi, se disent Aninku et Pepicek, nous serons bientôt assez riches pour acheter du lait. Mais Brundibar n'est pas d'accord. Et Brundibar est un tyran. Il ne suffit pas d'être deux pour s'attaquer à un mal si grand. L'affreux bonhomme les gronde, puis les chasse. Pepicek et Aninku se réfugient dans une ruelle sombre. Ils n'ont plus d'espoir. Quand soudain, un oiseau qui parle et un chat, tout aussi bavard, leur expliquent qu'ils doivent demander de l'aide. Tous les écoliers répondent à l'appel et, ensemble, chantent une berceuse pour les passants. La chanson est si douce que tout le monde donne de l'argent. Tout le monde sauf Brundibar, évidemment ! À BAS BRUNDIBAR !
Cet album marquant est adapté d'un opéra écrit dans le ghetto de Terezin.
Un cavalier solitaire et silencieux visite l'Europe des légendes, des traditions, des coutumes... Sans paroles.
Après la réédition des Fables de La Fontaine, voici celle des fameuses Chansons illustrées par le peintre Boutet de Monvel.
De « Malbrough » à « Dame Tartine », en passant par « Cadet Rousselle », ce sont 24 chansons, du patrimoine français qui sont enluminées ici. Aujourd’hui, certaines sont toujours dans les têtes, d’autres ont été oubliées. Accompagnées de leurs partitions et du texte intégral de leurs paroles, les voilà prêtes à revivre dans les mémoires, dans les bouches des enfants chanteurs et dans les cours de récréation.
« La Verdi, la Verdon », « La pêche des moules », « Trempe ton pain, Marie », « Gentil coq'licot », « Mon pèr' m'a donné un mari », « Compère Guilleri », « Monsieur Dumollet », « Malbrough », « La bergère », « Le roi Dagobert », « Cadet Rousselle », « Nous étions dix filles à marier », « Le rat de ville et le rat des champs », « Ratapataplan », « Dame Tartine », « Le 31 du mois d'août », « Margoton va-t- l'iau », « En revenant d'Auvergne », « Chanson de la mariée », « La bell', si nous étions », « Il était une barque », « Chanson du matelot », « Cendrillon », « La Palisse ».
Par une belle après-midi d’automne, Garry le lion cueille des petits fruits. Au pied de la montagne, il pousse un rugissement qui résonne de toute part : « Par le poil de ma crinière, cette montagne est redoutable table table table ! »
Modou le lapin manque d’avaler de travers son petit déjeuner. « Il y a quelqu’un dans cette montagne qui gronde comme l’orage rage rage rage. »
Garry n’est pas très rassuré : « Continue sans moi, je ne suis pas bon grimpeur peur peur peur ! »
Jojo est un type bien, gentil, généreux, toujours prêt à rendre service.
Qui aide les vieilles personnes à traverser le boulevard de la Jungle ? Lui. Qui parle très fort dans l’oreille des sourds ? Encore lui. Qui change les couches d’Ozone, le bébé géant, plusieurs fois par jour ? Toujours lui.
Et au fait, qui n’a de cesse de répéter que Jojo de la jungle, c’est un type bien ? Mais… c’est lui. Alors là, il faudrait peut-être commencer à se méfier de lui. Non ?
Jumanji est un jeu d'aventures dans la jungle qui ressemble à jeu de l'oie, à la différence près que le message de chaque case devient réalité - le lion attaque vraiment, des singes saccagent la cuisine, les pluies de la mousson inondent le salon... Une fois le jeu commencé, la seule issue est d'aller jusqu'au bout, de sortir de la jungle et d'atteindre Jumanji.
Qu'est-ce qu'un livre d'images ? Un livre dans lequel les images parlent. Parfois, elles parlent si bien, qu'il n'y a même plus besoin de texte. Les yeux voyagent et découvrent les paysages et l'histoire du Danemark. Au Danemark, il y a d'abord la mer, et puis des champs, des champs très verts. Sauf quand la neige les recouvre entièrement et, soudain, le fond de la page est tout blanc. Admirons Copenhague. Tiens ! N'est-ce pas la maison où a vécu Hans Christian Andersen ? Pour lui rendre hommage, Mitsumasa Anno a glissé dans chaque image un ou plusieurs personnages des contes du merveilleux écrivain danois. Cherchez la marchande d'allumettes, la reine des neiges, la petite sirène, le soldat de plomb, le vilain petit canard et encore bien d'autres, ils sont tous cachés dans ces pages.
Des pêcheurs en barque, des chevaux, des cerisiers en fleur, des champs à taille humaine cultivés à la main, des rizières, des jeux, des courses, des fêtes, un train à vapeur, des vélos, des charrettes, des défilés, des fanfares, des moissons, des récoltes, des moulins, des toits de chaume. Dans ce Japon encore rural, celui de l’enfance de l’auteur, l’électricité est peut-être plus rare qu’aujourd’hui, mais la vie est là, en abondance, simple et tranquille. Et si le progrès, le vrai, consistait à retrouver la douceur de vivre mieux avec moins ?
La mer est immense, il faut bien les 12 mois de l'année pour la parcourir en entier. De janvier à décembre, le navigateur avisé s'aidera de son almanach pour dénicher, à coup sûr, le trésor du capitaine Kidd, s'entretenir familièrement avec l'éléphant du Pôle, ou entendre chanter la lune. Chaque mois, une histoire lui révélera d'autres mystères maritimes : passager clandestin, pieuvre géante, sirènes, Willy Willies, ou l'étrange secret du bateau fantôme...
« Quand nous en serons au temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête... »
Qui ne connaît ces magnifiques couplets créés par Jean-Baptiste Clément en 1866 ? Les voici maintenant somptueusement illustrés par Philippe Dumas.
En été comme en hiver, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, cette vallée est la plus belle du monde. Ce ne sont pas les Touim’s qui vous diront le contraire ! Laissez-vous guider par Poutchy-Bloue et découvrez toutes les merveilles de cet endroit unique : l’Arbre-Maison où il est né, la Forêt de l’Enfant-Perdu, l’Île Dodo-Dodu, ou encore le Théâtre des Colères…
La dédicace mise à part, il n'y a pas un seul mot dans ce livre. Il contient pourtant quarante-trois petites histoires et toutes ont pour héros Max le hamster, que l'on surprend dans diverses activités... qu'il exerce comme personne. Quand Max fait la cuisine, c'est pour entreprendre une partie de tennis avec la poële et l'omelette. Quand il fume la pipe, il ne se contente pas de faire des ronds de fumée, mais aussi des huit. Quand il s'entraîne à la corde à sauter, il termine ficelé comme un rôti. Quand il jongle avec des pommes, il peut les rattraper gracieusement du bout de ses moustaches. Et quand il joue du violon, il le mange. Il a la drôlerie et la poésie de Charlot, le sens de l'à-propos de Groucho Marx. Max, c'est quelqu'un.
Posées sur l'étagère, les marionnettes attendent le retour du sculpteur sur bois qui les a fabriquées. Lorsqu'il revient enfin de son voyage, il accroche au mur un masque noir qui fixe les pantins de son regard effrayant. Soudain, il prononce des paroles étranges de sa voix rauque. Les marionnettes sont terrorisées. Qui est-ce ? Un sorcier ? Va-t-il les envoûter ?
« J'ai compris que j'étais vieux le jour où je me suis retrouvé dans la vitrine d'un antiquaire. J'ai été fabriqué en Allemagne. Mes tout premiers souvenirs sont assez douloureux. J'étais dans un atelier et l'on me cousait les bras et les jambes pour m'assembler... »
Les enfants, filles et garçons, ont un tas de choses à demander à leur maman, et un tas de choses à leur dire. Les mamans ne sont pas toujours disponibles, elles ont tant à faire ! En plus, à présent, leurs portables sonnent sans cesse, envoient des SMS… Elles ne parlent plus qu’aux portables. À quoi bon, dans ces conditions, avoir une maman ? Les enfants partent. Loin. Dans des pays merveilleux, qu’ils inventent, ils savent comment s’y rendre. Mais… Norma n’a plus son Jojo, son singe en peluche ! Est-il parti, lui aussi, et pourquoi ?















