Thème « jeu, image, son, langage »
Quinze familles, quinze intérieurs, quinze pièces à vivre, quinze inventaires, quinze univers. Ici, un squelette, là, un accordéon, ailleurs encore, un vêtement, un meuble ancien… Partout, de la vie. Car cet imagier pas comme les autres est pour Pascale Bougeault le prétexte à croquer sur le vif les portraits de toutes sortes d’êtres humains, à fixer les ambiances de cette installation artistique permanente qu’est la vie dans une maison ou un appartement. Bienvenue chez eux !
Il existe quantité de sports incroyables et ils sont tous merveilleux ! Ole Könnecke leur consacre un imagier pas comme les autres, qui détaille les règles de chaque jeu, montre des animaux sportifs en pleine action et pose des questions essentielles : « As-tu déjà pensé à la chance que tu as de ne pas être un sac de frappe ou un punching-ball ? »
De quoi susciter des vocations…
Benny n'aime pas que maman veuille tout ranger. Il n'aime pas non plus qu'elle veuille lui donner un bain. Mais quand elle décide de mettre son pimpin dans la machine à laver, là, c'est pire que tout ! « Impossible de vivre dans cette maison ! » se dit Benny. Il prend son pimpin et s'en va...
Être musicien, quel bonheur ! Encore faut-il bien choisir son instrument. Cet album va nous y aider, en nous en présentant 52, leur origine, leurs particularités, et autant de morceaux de musique correspondant à chacun. Il y a les plus connus : la guitare, le piano, le saxophone, le violon, la batterie. Mais aussi de plus rares : la kalimba, le thérémine, le didjeridoo, la guimbarde, le lur. À vous de jouer !
Coco a toujours rêvé d'être un chevalier. Dans une boîte au grenier, il a découvert une tunique, un casque et une épée. À présent, il lui faut un cheval. Il n'y a pas de cheval à l'horizon. Il n'y a que le chien Paluchon, qui dort, comme d'habitude, devant sa maison. Paluchon est très serviable, il accepte de faire le cheval. Maintenant, ce qui manque à Coco le chevalier, c'est un ennemi à attaquer. Il n'y a pas d'ennemi à l'horizon. Coco suggère d'aller attaquer le grand méchant loup. Paluchon est contre. Trop dangereux. Alors Coco suggère d'attaquer Madame Lavache. Paluchon est fâché, il dit que Madame Lavache est une brave mère de famille, sûrement pas une ennemie. Coco aura-t-il l'occasion d'être un véritable chevalier avant la fin de cette journée?
« Au clair de la lune, trois petits lapins / Qui mangeaient des prunes / Comme trois coquins ». Celle-là, tout le monde la connaît.
Mais l'histoire de Coup-De-Canif ? Et celle de l'escargot de Bourgogne ? Et la phrase imprononçable de l'archi-duchesse ? Et l'imbécile crocodile qui met sa tête dans la bassine ? Elles sont toutes là les comptines les plus connues et les plus drôles : dans ce coffret !
Cette histoire se passe il y a très, très longtemps. À cette époque, personne n'avait encore inventé la poupée. Ce jour d'été, toutes les grandes de la tribu se sont faites belles pour partir à la moisson. Quand elles auront récolté le grain, elles le pileront, et confectionneront de la pâte, puis des galettes qu'elles feront cuire. Cropetite est trop petite pour porter un maquillage de fête. Trop petite pour participer à la récolte et à la confection des galettes, qui sentent si bon quand elles cuisent. Alors elle décide de se débrouiller toute seule. Elle récolte de belles galettes d'argile, les pile, fait de la pâte... Elle fait tout comme les grandes, mais à sa façon, et fabrique un drôle d'objet. Quand elle veut le faire cuire pour qu'il sente bon, on la gronde, et on jette l'objet au feu... Mais c'est justement ce qu'il manquait à ce beau bébé d'argile pour devenir la toute première poupée du monde. Maintenant, ce seront les grandes qui voudront tout faire comme Cropetite !
Un drôle de sachet-cadeau les a intrigués sur l’aire de jeux. Il était accroché aux mâchoires du dinosaure en plastique vert. Les trois amis s’en sont emparés. Il contenait des craies. Une, deux, trois ! Chacun la sienne. Commençons par dessiner un soleil sur le trottoir. Il nous manque par ce jour de pluie. Hé, mais… aïe ! Il éblouit ! On dirait qu’un vrai soleil sort du dessin… On continue ? Des papillons maintenant ! À moi ! Un dinosaure ! Ma parole, mais ces craies sont enchantées… Au secours ! Le T-Rex! Comment l’arrêter ?
Pourquoi les corbeaux sont-ils les acolytes des sorcières ? Quelle est la couleur de la chevelure de ces dernières ? Comment s’appellent leurs maris ? Et leurs bébés ? Où vont-elles aux toilettes ? Pourquoi aucun gâteau ne s’appelle-t-il « pied de sorcière » ? Toutes les réponses à ces questions, et bien d’autres (plus de cent), se cachent dans les pages de ce dictionnaire pas comme les autres. Son ton n’engendre pas la mélancolie et ses dessins vont vous rappeler quelqu’un que vous aimez…
Quand il était petit, Grégoire Solotareff aimait beaucoup que sa maman, Olga Lecaye, lui lise des contes de sa Russie natale, les histoires de Babayaga et des autres sorcières, sombres à faire peur ! Devenu grand, et comme il l’a fait pour les loups, Grégoire a eu envie de dépeindre ces mythiques sorcières comme de « vraies gens », avec leurs défauts, leurs petits secrets, et tous les trucs qui nous font rire chez les autres. Après le « Dictionnaire du Père Noël » paru il y a vingt-cinq ans, voici donc le dico qui désacralise enfin nos amies les sorcières.
Arthur emporte son doudou PARTOUT avec lui : au jardin, à la crèche, au lit et même... à la plage ! Mais un coup de vent et HOP ! voilà le doudou d'Arthur qui s'envole dans les airs. Pas facile de récupérer un doudou perché sur un cocotier... Qui aidera Arthur ?
Qu'est-ce qui peut nous aider à supporter la perte d'un être cher ? Ce petit garçon a décidé d'aller jusqu'au bout de sa peine. Il part, il traverse la beauté des souvenirs, l'espérance des rêves, la dureté de la blessure. Au sommet, cette question : « Maman, étais-tu heureuse d'être maman ? » Et quand enfin son cœur lui a donné la réponse, il recommence à vivre.
Robert l'éléphant et Blanche la souris sont de très bons amis. Sauf quand Robert veut jouer à Robert la Terreur. Son pistolet, il ne le prête à personne. Et personne d'autre que lui n'a le droit de crier : « Haut les mains ! » Mais de temps en temps, Blanche aimerait bien être une terreur, elle aussi...
Quand on est un petit ours en peluche habitué à la vitrine d'un magasin, c'est un terrible choc de se retrouver seul et perdu dans une forêt. Mais peu à peu, on découvre ses secrets, ses habitants en peluche et « en vrai ». Et « en vrai », il y a parfois des loups...
Pour visiter une ville gigantesque comme Pékin, un bon conseil : suivre la petite fille et le chat. Souples, curieux de tout, éveillés, sans préjugés, ils se faufilent dans les ruelles anciennes – les hutongs – aussi bien qu’entre les gratte-ciel ultramodernes. Leurs silhouettes se détachent sur le décor changeant : elle en rouge, lui tout noir. Ils vont partout, ou presque.
Mais bientôt, surprise ! Un petit empereur surgi d’une vieille photo se joint à eux, muni de son cerf-volant. Nous pouvons à présent pénétrer dans le passé et la Cité interdite…
Ce jour-là, Escarbille et Chaboudo se promenaient dans le désert. Et dans le désert, il n'y avait rien. Rien, sauf...une tache bleue, au loin. Ils s'approchèrent : c'était une chaise. C'est fou ce qu'on peut faire avec une chaise bleue.
Elisabeth Psallette a un rêve fou : devenir une licorne. Avec une corne aussi dorée qu'un sou neuf, une crinière de la couleur de l'arc-en-ciel et une robe blanche comme des œufs battus en neige. A force d'en parler et d'en rêver, elle se réveille un matin dans la peau d'une licorne. Hélas ! Cette apparence est sur le point de transformer sa vie en cauchemar…















