Thème « jardin »
Le beau jardin de Pop a été ravagé par la tempête et Titi a disparu !
Pop et ses amis vont-ils le retrouver ?
Comment vont-ils réparer les dégâts ?
Au fond du jardin, vous croyez qu’il ne se passe rien ? Quelle erreur… Une souris a l’air de chercher la meilleure fraise pour son amie, deux papillons semblent espionner une fourmi qui transporte une feuille rouge… En fait, ils sont en train de faire une tête de clown au melon !
Après Sur le lit, Dans le loup, Dans le gant, Dans la pomme et Derrière la poussette, Claude Ponti poursuit avec ces trois titres son exploration des mystères de l’univers et de la face cachée des choses trop connues. Une voiture, une branche, un coin de jardin… Quoi de plus banal, pour qui ne sait pas regarder ? Alors qu’il suffit d’ouvrir les yeux pour y découvrir tout ce qu’on ne dit pas, mais qui est là , euphorisant et roboratif : des provisions, un déguisement, un petit-déjeuner de fête…
Comment fait une maman oiseau pour s'assurer, au réveil, que ses enfants sont tous là ? Que se passe-t-il dans la voiture quand la famille lapin revient du supermarché ?
Sous le format Lutin Poche sont réunis trois titres précédemment publiés en albums individuels.
C’est le grand jour. Hulotte et ses camarades partent en voyage de classe… à Paris ! Quelle aventure ! Les oisillons découvrent avec émerveillement la Ville Lumière. Mais ne dit-on pas aussi que Paris est la capitale des amoureux ?
Plic ploc ! Flic flac ! Il pleut. Mais Aya ne craint pas de se faire mouiller : elle a un abri secret. Une cabane de feuilles, secrète, bien cachée sous les branches. Pourtant, ce qui est bien, c’est qu’Aya est très accueillante. Elle laisse y entrer tous ceux qui veulent s’abriter comme elle, le temps d’une averse. Mante religieuse, papillon, scarabée, coccinelle, et les autres insectes lui apprennent à partager. Quant à Aya, elle les convainc d’aller retrouver leurs mamans, une fois le soleil revenu !
Il fait très chaud et Minusculette entraîne son ami Gustave le tamia vers l’étang pour y nager. Il faut faire attention car les crapauds ne sont pas très accueillants. Gustave disparaît et Minusculette s’inquiète : ne s’est-il pas trop approché des crapauds ?
Passifs et crédules, plantés là , ils fantasment leur vie au lieu de la vivre, rêvent d’évasion, croient le premier beau parleur venu, ont un petit pois à la place du cerveau, et sont prêts à se jeter dans la gueule du loup. Ou du lapin. Ou de la vache déguisée en renne du Père Noël. Bref, ils se font croquer. Ou alors ils s’entretuent au lieu de laisser leurs enfants, Roméo et Julotte, s’aimer en paix. Eux ? Des carottes et des poireaux. Mais peut-être ces contes sont-ils aux légumes ce que les fables de La Fontaine sont aux animaux…
Un petit plant tout rabougri était bradé à l’entrée du supermarché. Hana l’a remarqué, l’a réclamé à son papa, l’a rempoté, arrosé, soigné, et protégé des chenilles. Le jour des grandes vacances, elle l’a emporté avec elle passer l’été chez sa grand-mère. Ses parents la désapprouvaient ? Hana a tenu bon. Le typhon souffle ? Le petit plant, enraciné dans le potager, résiste. La nature récompense souvent ceux qui prennent soin d’elle. Au coeur de l’été, Hana pourra bientôt inviter toute sa famille à un festin de tomates cerises !
Rien est toujours avec moi, autour de moi. Il est toujours de bonne humeur et ne dit jamais rien de méchant. Je fais des tas de choses avec Rien. Pourtant, il arrive que Rien ne comprenne rien de rien. Quand je lui dis que j'aimerais bien rejoindre Maman au ciel, sur les montagnes d'Himalaya, par exemple. Rien, c'est mon ami à moi et rien ne le remplacera jamais.
Comment s’y connaître en légumes quand on est un enfant des villes ? En allant en vacances chez ses grands-parents à la campagne, comme Sophie, l’héroïne de l’histoire, qui apprend à manier les outils, à semer, récolter ou biner. On découvre comment les petits pois arrivent à maturité, et que les légumes se groupent par familles.
Ce beau livre aux dessins à la fois clairs et poétiques, comme la simple splendeur d’un plant de fenouil au clair de lune, n’est pas un manuel, mais parle de la vie dans un potager tout au long d’une année. Il montre aussi que l’on peut cultiver des légumes sur les balcons et devant les fenêtres des grandes villes.
C’est en pensant aux enfants des villes qu’elle a fait ce livre, pour leur faire oublier les légumes formatés des supermarchés, et découvrir la patiente progression des plantules dans un vrai potager. Pour pouvoir montrer des détails précis, Gerda a changé de technique, et même un peu de style : formes cernées d’un trait fin, à la manière des estampes. Ce renouvellement l’a comblée, car il ressemble à celui de cette chère nature, toujours en mouvement, qu’elle aime tant.
Un coin sauvage dans le jardin ! Quelle drôle d'idée ! Et puis d'abord, ça fait sale et désordonné. Oui, mais... Mais plein d'animaux y vivent, grandissent, s'aiment et meurent : oiseaux, papillons, hérissons, crapauds... Et en plus, ils vous donneront un coup de main pour chasser les indésirables. Alors offrez un refuge aux animaux sauvages, offrez-vous le plaisir de les regarder vivre !
Par quel mystère une branchette toute noire et sèche en hiver va-t-elle se prolonger dès le début du printemps en un bourgeon qui, à son tour, deviendra une belle fleur puis un fruit mûr, juteux et goûteux au cœur de l’été ? C’est à cette grande question simple que Gerda Muller s’est attelée à répondre, pour aider les enfants à comprendre les merveilles du cycle des saisons et la variété incroyable des fruits de la terre. Cet album raconte une histoire d’enfant des villes qui découvre la campagne et les vergers, et il montre, par des anecdotes savoureuses et des images limpides et colorées, à quel point la Nature est une fête qui n’a pas de fin.
Georges Lebanc, le héros du livre Georges Lebanc, est en panne. Il ne bouge plus. Et les choses ne vont pas mieux chez les souris archivistes du square où vit Georges.
Les précieux textes qui relatent la vie passionnante de Georges et de son square disparaissent. Les lettres des mots des phrases des paragraphes des textes sont remplacées par des pattes de mouches… Mais, quand on les accuse, les mouches se fâchent : « Allez plutôt demander aux bourdons ! » pestent-elles.
Alors, quel est ce mystère ? Que se passe-t-il ? Et à qui demander conseil ?