Thème « jardin public »
C'est l'automne ! Avec son beau chapeau et son beau râteau de jardinier, Anton a rassemblé un énorme tas de feuilles mortes. Elles sont toutes là ! Ah non… Il en manquait une.
Vite ! Elle s’échappe, elle s’envole, elle décolle.
Pour l’attraper, Anton appelle à l’aide ses amis Lukas, Greta et Nina. Ils ne seront pas trop de quatre.
Cette feuille est très désobéissante ! On dirait qu’elle se moque d’eux. Ouf, ça y est… la feuille est ramassée. Mais au fait, qui l’a trouvée ?
Attirer l'attention des filles, ce n'est pas du gâteau. Anton est prêt à tout. Il a des accessoires, des idées et de grands projets. Mais les filles ne le regardent pas. Les filles ne le regardent jamais. Anton a du courage, Anton est persévérant, il prend des risques, fait tout comme un grand, veut croire à l'impossible jusqu'à... LA CATASTROPHE ! Mais cette fois, c'est gagné, les filles n'ont d'yeux que pour lui !
Quand les trois enfants de la sorcière décident d'aller jouer au parc par un jour de grand vent, tout le monde se cache, tout le monde a peur car c'est signe de GROS ENNUIS ! En effet, les enfants de la sorcière, l'Aîné, la Cadette et la Benjamine, ont des pouvoirs extraordinaires mais ils n'ont pas encore appris à réparer leurs bêtises magiques.... Certaines personnes dans le parc vont donc avoir de TRÈS TRÈS GROS ENNUIS...
Maé déménage en ville. Et dans la ville, pas de jonquilles, pas de pommiers, pas de jardins. La nature lui manque terriblement. Jusqu’à cette découverte inattendue…
J'ai crié son nom... Je me suis installé sur un banc... J'étais impressionné... J'étais vraiment vraiment heureuse... Ce pourrait n'être que le récit à quatre voix d'une promenade au parc, mais la plume et le trait d'Anthony Browne ont transformé cette histoire simple en un fascinant exercice de style.
Je t'emmène dans mon jardin, tu vas voir, on peut y jouer à plein de choses... à la conquête de l'Ouest, aux pirates, à la navette spatiale, au foot, à s'asperger, et ce n'est pas tout ! Le jardin de Christine Davenier est effectivement un lieu merveilleux. Mais finalement, est-ce que tous les jardins ne sont pas magiques pour l'enfant qui y joue ?
Un père (pauvre) et sa fille, une mère (fortunée) et son fils se rendent au parc…
Voici enfin réédité le récit initial, à une seule voix, de cette promenade reprise vingt ans plus tard dans Une histoire à quatre voix.
Promenade au parc est en effet l’unique exemple dans l’oeuvre d’Anthony Browne d’un livre publié puis retravaillé jusqu’à la refonte. Une ouverture vertigineuse sur son univers et son travail de création. Ces deux albums peuvent évidemment être lus indépendamment l’un de l’autre, mais les confronter est un jeu fascinant, aussi passionnant qu’enrichissant !
Les enfants, filles et garçons, ont un tas de choses à demander à leur maman, et un tas de choses à leur dire. Les mamans ne sont pas toujours disponibles, elles ont tant à faire ! En plus, à présent, leurs portables sonnent sans cesse, envoient des SMS… Elles ne parlent plus qu’aux portables. À quoi bon, dans ces conditions, avoir une maman ? Les enfants partent. Loin. Dans des pays merveilleux, qu’ils inventent, ils savent comment s’y rendre. Mais… Norma n’a plus son Jojo, son singe en peluche ! Est-il parti, lui aussi, et pourquoi ?