Thème « jardin public »
Un drôle de sachet-cadeau les a intrigués sur l’aire de jeux. Il était accroché aux mâchoires du dinosaure en plastique vert. Les trois amis s’en sont emparés. Il contenait des craies. Une, deux, trois ! Chacun la sienne. Commençons par dessiner un soleil sur le trottoir. Il nous manque par ce jour de pluie. Hé, mais… aïe ! Il éblouit ! On dirait qu’un vrai soleil sort du dessin… On continue ? Des papillons maintenant ! À moi ! Un dinosaure ! Ma parole, mais ces craies sont enchantées… Au secours ! Le T-Rex! Comment l’arrêter ?
Quand les trois enfants de la sorcière décident d'aller jouer au parc par un jour de grand vent, tout le monde se cache, tout le monde a peur car c'est signe de GROS ENNUIS ! En effet, les enfants de la sorcière, l'Aîné, la Cadette et la Benjamine, ont des pouvoirs extraordinaires mais ils n'ont pas encore appris à réparer leurs bêtises magiques.... Certaines personnes dans le parc vont donc avoir de TRÈS TRÈS GROS ENNUIS...
Maé déménage en ville. Et dans la ville, pas de jonquilles, pas de pommiers, pas de jardins. La nature lui manque terriblement. Jusqu’à cette découverte inattendue…
J'ai crié son nom... Je me suis installé sur un banc... J'étais impressionné... J'étais vraiment vraiment heureuse... Ce pourrait n'être que le récit à quatre voix d'une promenade au parc, mais la plume et le trait d'Anthony Browne ont transformé cette histoire simple en un fascinant exercice de style.
Je t'emmène dans mon jardin, tu vas voir, on peut y jouer à plein de choses... à la conquête de l'Ouest, aux pirates, à la navette spatiale, au foot, à s'asperger, et ce n'est pas tout ! Le jardin de Christine Davenier est effectivement un lieu merveilleux. Mais finalement, est-ce que tous les jardins ne sont pas magiques pour l'enfant qui y joue ?
Monsieur Gosselin a décidé d’emmener toute sa famille au Salon de l’agriculture. Pendant leur absence, un voisin prendra soin des animaux de la ferme. Même des pigeons de la petite Manon ! Arrivés à Paris, chez leurs cousins, quel contraste pour les Gosselin : du bruit, des voitures partout ! Vite, un coin de nature, allons au jardin du Luxembourg. Une surprise attend les enfants : une vieille dame, une charmeuse de pigeons. Elle est très gentille et va inspirer à Manon une bonne blague, ainsi qu’un échange ville-campagne très sérieux.
Un père (pauvre) et sa fille, une mère (fortunée) et son fils se rendent au parc…
Voici enfin réédité le récit initial, à une seule voix, de cette promenade reprise vingt ans plus tard dans Une histoire à quatre voix.
Promenade au parc est en effet l’unique exemple dans l’oeuvre d’Anthony Browne d’un livre publié puis retravaillé jusqu’à la refonte. Une ouverture vertigineuse sur son univers et son travail de création. Ces deux albums peuvent évidemment être lus indépendamment l’un de l’autre, mais les confronter est un jeu fascinant, aussi passionnant qu’enrichissant !