Thème « jardin public »
Quand on est en haut du toboggan ça fait un peu peur mais que c’est grisant de glisser jusqu’en bas, surtout quand on a l’impression que le toboggan est infini !
Nous vous proposons un jeu à l'écran pour accompagner la lecture de ce livre.
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C'est l'automne ! Avec son beau chapeau et son beau râteau de jardinier, Anton a rassemblé un énorme tas de feuilles mortes. Elles sont toutes là ! Ah non… Il en manquait une.
Vite ! Elle s’échappe, elle s’envole, elle décolle.
Pour l’attraper, Anton appelle à l’aide ses amis Lukas, Greta et Nina. Ils ne seront pas trop de quatre.
Cette feuille est très désobéissante ! On dirait qu’elle se moque d’eux. Ouf, ça y est… la feuille est ramassée. Mais au fait, qui l’a trouvée ?
Attirer l'attention des filles, ce n'est pas du gâteau. Anton est prêt à tout. Il a des accessoires, des idées et de grands projets. Mais les filles ne le regardent pas. Les filles ne le regardent jamais. Anton a du courage, Anton est persévérant, il prend des risques, fait tout comme un grand, veut croire à l'impossible jusqu'à... LA CATASTROPHE ! Mais cette fois, c'est gagné, les filles n'ont d'yeux que pour lui !
C'est l'heure de rentrer à la maison, le parc va fermer. « Une petite seconde ! » dit Diane à sa maman. Elle vient juste de découvrir un bébé statue. Il est trop petit pour parler ou pour marcher. Il tend les bras pour se faire porter. Diane ne peut tout de même pas le laisser seul.
Un drôle de sachet-cadeau les a intrigués sur l’aire de jeux. Il était accroché aux mâchoires du dinosaure en plastique vert. Les trois amis s’en sont emparés. Il contenait des craies. Une, deux, trois ! Chacun la sienne. Commençons par dessiner un soleil sur le trottoir. Il nous manque par ce jour de pluie. Hé, mais… aïe ! Il éblouit ! On dirait qu’un vrai soleil sort du dessin… On continue ? Des papillons maintenant ! À moi ! Un dinosaure ! Ma parole, mais ces craies sont enchantées… Au secours ! Le T-Rex! Comment l’arrêter ?
Un parc, la nuit. Un grand chêne frissonne. Au creux de ses racines, un petit être s'est réfugié. C'est un enfant, un humain, très jeune. Il est perdu, il a faim, il a froid. L'arbre sait qu'il peut sauver cet enfant. S'il entrouvre son écorce et le recueille au coeur de lui-même, l'enfant n'aura plus ni froid, ni faim, ni peur. Mais il deviendra, et peut-être pour toujours, une dryade, un être nocturne, d écorce et de feuilles...
Quand les trois enfants de la sorcière décident d'aller jouer au parc par un jour de grand vent, tout le monde se cache, tout le monde a peur car c'est signe de GROS ENNUIS ! En effet, les enfants de la sorcière, l'Aîné, la Cadette et la Benjamine, ont des pouvoirs extraordinaires mais ils n'ont pas encore appris à réparer leurs bêtises magiques.... Certaines personnes dans le parc vont donc avoir de TRÈS TRÈS GROS ENNUIS...
Maé déménage en ville. Et dans la ville, pas de jonquilles, pas de pommiers, pas de jardins. La nature lui manque terriblement. Jusqu’à cette découverte inattendue…
J'ai crié son nom... Je me suis installé sur un banc... J'étais impressionné... J'étais vraiment vraiment heureuse... Ce pourrait n'être que le récit à quatre voix d'une promenade au parc, mais la plume et le trait d'Anthony Browne ont transformé cette histoire simple en un fascinant exercice de style.
Violette n'aime pas aller au parc. Elle a beau le dire et le répéter, on l'y emmène quand même. Alors, quand elle y est, elle ne joue pas. Elle ne fait qu'une seule chose : elle creuse un souterrain pour s'évader. Mais aujourd'hui, pendant que Violette creusait, une petite femme très très vieille avec une très vieille petite voix s'est approchée d'elle et a laissé tomber une craie sur le sol. Il faut absolument que Violette ramasse cette craie. Car elle est magique. Elle a un Pouvoir si extraordinaire que ce serait dommage de ne pas s'en servir, là, tout de suite.
Un jour d'hiver, une souris enceinte jusqu'aux moustaches arriva à Paris, aux portes du Jardin du Luxembourg. La souris se dit : « C'est ici que je mettrai au monde mon enfant ».
Or, il faut vous dire qu'à cette époque un chat d'une taille énorme, qu'on appelait Catimini, semait la terreur dans le jardin...
« Jeanne, demain, c’est mercredi. C’est ton père qui vient te chercher », m’a dit maman. Bien sûr que je le sais. Comme je sais aussi qu’il va être en retard, qu’il sera comme toujours très occupé et qu’à part dessiner, je n’aurai pas grand-chose à faire.
Je t'emmène dans mon jardin, tu vas voir, on peut y jouer à plein de choses... à la conquête de l'Ouest, aux pirates, à la navette spatiale, au foot, à s'asperger, et ce n'est pas tout ! Le jardin de Christine Davenier est effectivement un lieu merveilleux. Mais finalement, est-ce que tous les jardins ne sont pas magiques pour l'enfant qui y joue ?
Monsieur Gosselin a décidé d’emmener toute sa famille au Salon de l’agriculture. Pendant leur absence, un voisin prendra soin des animaux de la ferme. Même des pigeons de la petite Manon ! Arrivés à Paris, chez leurs cousins, quel contraste pour les Gosselin : du bruit, des voitures partout ! Vite, un coin de nature, allons au jardin du Luxembourg. Une surprise attend les enfants : une vieille dame, une charmeuse de pigeons. Elle est très gentille et va inspirer à Manon une bonne blague, ainsi qu’un échange ville-campagne très sérieux.
Un père (pauvre) et sa fille, une mère (fortunée) et son fils se rendent au parc…
Voici enfin réédité le récit initial, à une seule voix, de cette promenade reprise vingt ans plus tard dans Une histoire à quatre voix.
Promenade au parc est en effet l’unique exemple dans l’oeuvre d’Anthony Browne d’un livre publié puis retravaillé jusqu’à la refonte. Une ouverture vertigineuse sur son univers et son travail de création. Ces deux albums peuvent évidemment être lus indépendamment l’un de l’autre, mais les confronter est un jeu fascinant, aussi passionnant qu’enrichissant !
Les enfants, filles et garçons, ont un tas de choses à demander à leur maman, et un tas de choses à leur dire. Les mamans ne sont pas toujours disponibles, elles ont tant à faire ! En plus, à présent, leurs portables sonnent sans cesse, envoient des SMS… Elles ne parlent plus qu’aux portables. À quoi bon, dans ces conditions, avoir une maman ? Les enfants partent. Loin. Dans des pays merveilleux, qu’ils inventent, ils savent comment s’y rendre. Mais… Norma n’a plus son Jojo, son singe en peluche ! Est-il parti, lui aussi, et pourquoi ?