Thème « jalousie »
J'ai beau insister, mes maîtres ignorent mes demandes de poisson. Pourtant, ils me connaissent. Que se passe-t-il donc ? JE VEUX DU POISSON !
Amande et Philémon, l'éléphant en peluche, ne se séparent jamais. Ils dorment ensemble, s'habillent ensemble, jouent ensemble, prennent leur déjeuner ensemble... La seule chose qu'ils ne font pas ensemble, c'est prendre leur bain, parce que l'eau, ce n'est pas très bon pour les éléphants en peluche. Un matin, Amande reçoit par la poste un canard en plastique jaune, qu'elle trouve très joli. Philémon est inquiet, et cette inquiétude se transforme en désespoir à l'heure du bain, car le canard, lui, a le droit d'aller dans l'eau. N'écoutant que son coeur, Philémon saute d'un bond dans la baignoire... et coule à pic. Le voilà mis à sécher, privé de repas du soir, et privé de sa place sur l'oreiller d'Amande. Mais pour Amande, dormir sans Philémon, il n'en est pas question.
Coco téléphone à Sidonie. Coco dîne avec Sidonie. Coco se promène avec Sidonie. Ils aiment regarder la mer ensemble, et admirer la lune, et se dire des mots doux. En fait, Coco et Sidonie s'aiment tellement que certains sont jaloux...
Ce matin, Léon fait du boudin.
« Ça va pas ? » lui demande son copain Manu.
« Tu as une drôle de tête. Tu as froid ? propose Simon. Tu veux mon écharpe ? »
Léa est prête à lui donner son goûter car Léon boude de plus en plus. Jusqu’à ce que Maman Pingouin passe par là…
Kiki, la souris, a souvent des petits ennuis. Heureusement que son amie Didi est là pour l'entourer, la consoler, la rassurer et lui donner à manger. Mais il arrive que les deux amies se disputent pour un bébé !
Dans la même série : « Kiki à la montagne », « Kiki la souris », « Kiki est malade », « Kiki à la mer », « Kiki est mécontente ».
Maman Pingouin prépare le gâteau d'anniversaire de Marcel, le petit frère de Léon.
« Tu sais maman, je pense que Marcel est bien trop petit pour souffler sa bougie ! Il va se brûler le nez, et puis il n'est pas assez fort », dit Léon.
« C'est son anniversaire, c'est lui qui va souffler sa première bougie », sourit Maman Pingouin, bientôt ce sera le tien ».
Michaël, sa poupée, son bateau, Toutou et le bébé aiment plus que tout se blottir contre maman, sous la couverture d'élan, et en avant, en arrière, en avant, en arrière...ils se balancent.
Louis Beaugosse est heureux. C'est le jour de son mariage. Il a rendez-vous avec Anabelle pour la conduire devant monsieur le Maire. Mais Anabelle n'est pas là. À sa place, Louis rencontre ses deux soeurs qu'il ne connaissait pas. Elles sont laides, vraiment laides, et bizarres, très bizarres. Louis est paniqué. Les soeurs d'Anabelle le dévorent des yeux.
La Tiotte et la Grande sont jumelles. Tiotte, née quelques minutes après sa soeur, souffre du désintérêt de sa mère et de la liberté dont bénéficie son aînée. Elle ne sait quoi inventer pour attirer l'attention de sa mère. Lui parler ne sert à rien, imiter sa soeur non plus. Elle s'enferme dans des souvenirs lointains où elle essaie de retrouver des signes de bonheur. Un jour, grâce à la rencontre avec un jardinier, elle a une idée, une idée lumineuse pour exister, enfin.
Alicia a trouvé un mystérieux manuscrit d’une adolescente prodige, une certaine Myrtille, âgée de treize ans. Le monde à l’enfer est le genre de roman haletant qui, une fois publié, est programmé pour cartonner auprès des jeunes. Cette Myrtille pourrait réaliser le voeu le plus cher d’Alicia et de Clémence. Les deux amies, passionnées de littérature, rêvent d’écrire ensemble un best-seller qui changera leur vie. Les deux collégiennes y travaillent chaque mercredi, élaborant des scénarios, écrivant des textes qu’elles se lisent l’une à l’autre. Alors, ce manuscrit tombé du ciel, c’est vraiment de la bombe. Une bombe explosive qui risque de faire voler en éclat une amitié que toutes deux pensaient indestructible.
Arlequin et Silvia sont éperdument amoureux l'un de l'autre. Hélas, ils ne sont pas seuls au monde, mais entourés, au contraire, de jaloux, d'envieux et de saboteurs de bonheur. Le prince a fait conduire Silvia à son palais. Il rêve de l'arracher à Arlequin. Flaminia, la confidente du prince, le seconde dans cette tâche, d'autant plus qu'elle n'est pas insensible aux charmes d'Arlequin. Quant à Trivelin, officier du palais, il a un faible pour Flaminia...
Voilà l'histoire racontée dans « La Double Inconstance » de Marivaux, représentée pour la première fois le 6 avril 1723. La pièce n'a rien perdu de sa drôlerie ni de son intérêt. Qui ne s'interroge pas sur l'amour, de nos jours ? Peut-on obliger quelqu'un à nous aimer ? Qui est sincère ? Qui est fidèle ? Que valent les mots ? Que pèsent les actes ? De quoi, de qui avons-nous vraiment besoin ?
Depuis longtemps, Yvan Pommaux avait envie de mettre sa passion de dessinateur de BD au service de son autre passion : le théâtre. Son livre est une vraie mise en scène. Celle d'une répétition de la pièce par une troupe d'adolescents amateurs.










