Thème « ingénieux, débrouillard »
Maman m’a donné un élastique. Il est à moi, rien qu’à moi. Je peux en faire ce que je veux : rencontrer l’amour, sauver le monde…C’est génial, non ? En fait, on veut tous un trésor rien qu’à soi.
L'espace ? C'est mon rêve. Les fusées ? Ma passion. Mais pas les jouets, les vraies ! Comme personne ne m'en offre, je décide d'en fabriquer une, de A à Z. Mes camarades de classe ne sont pas intéressés. Je la ferai donc avec mes amis, le chien, le chat et la poule. Les plans sont prêts, les matériaux rassemblés… Au travail ! Et dès la construction finie, je décolle !
Quand Petit Ours se promène seul dans la forêt, il emporte toujours son crayon magique. Au moindre danger, hop ! il retourne la situation.
Cet hymne à l’imagination est aussi une magistrale introduction à l’oeuvre d’Anthony Browne.
Pour rendre visite à son ami Bob, qui travaille sur une base scientifique en Antarctique, Simon le lapin a pris un train, un bateau, un avion, et enfin un parachute. Là-bas, il a vu des manchots, des trous à pêche, des tondeuses à neige, des aurores australes et aussi des… yukimarimos. Vous vous demandez ce que c’est, des yukimarimos ? Simon, lui, en rêve encore.
Quand Petit Ours se promène seul dans la forêt, il emporte toujours son crayon magique. Au moindre danger, hop ! il retourne la situation.
Cet hymne à l’imagination est aussi une magistrale introduction à l’oeuvre d’Anthony Browne.
Arthur emporte son doudou PARTOUT avec lui : au jardin, à la crèche, au lit et même... à la plage ! Mais un coup de vent et HOP ! voilà le doudou d'Arthur qui s'envole dans les airs. Pas facile de récupérer un doudou perché sur un cocotier... Qui aidera Arthur ?
Léon et Elvire grimpent dans une vieille barque et commencent à naviguer paisiblement. Pas pour longtemps : les remous et les aléas de la navigation les conduisent bientôt sur une île pas comme les autres ; c'est l'île du Monstril. Ça, il ne le savent pas encore, mais ils vont vite l'apprendre... Qui a dit que les garçons et les filles étaient empotés et niais de nos jours ?
Son truc, à Michel, c’est le bricolage et l’invention. Il a un talent fou pour concevoir des machines extraordinaires, des machines démentes, des machines qui n’existaient pas avant. Aussi, le jour où il reçoit une invitation pour se rendre à l’anniversaire d’Alice, il a une idée de cadeau très originale… Une machine à fêter les anniversaires ! Ses amis Marcus et Darius ne font que se moquer de lui et critiquer ses premiers prototypes. Mais Michel tient bon. Et c’est lui qui a raison.
Pauvre petit crocodile ! Un jour, son propriétaire en a eu marre, il l’a jeté dans les toilettes pour se débarrasser de lui, sans lui avoir jamais donné de nom. Heureusement, il est débrouillard, et les histoires qu’il regardait la nuit, à la télévision, à travers les parois de son vivarium miniature, lui ont donné des idées… Incroyable mais vrai : c’est au fond des égouts, parmi les animaux bannis, rats, araignées, poissons bizarres, qu’il va trouver un peu de chaleur humaine… et un nom magnifique !
Mes parents sont séparés, je préfère habiter chez ma mère, c’est-à-dire à peu près toute seule : elle est pilote d’avion et tout le temps partie. C’est quand même mieux que d’aller chez mon père et Fleur, la femme avec qui il vit maintenant, que je déteste. En ce moment, maman est là. Ça devrait me faire plaisir, mais elle est bizarre : elle passe du temps devant l’ordinateur, oublie mes horaires du collège, a des rendez-vous mystérieux… Elle s’est sûrement inscrite sur un site de rencontres. Si je ne fais rien, bientôt, elle me présentera un type idiot et moche et je devrai partager des lits superposés avec ses enfants atroces.
Je n’aime pas les mardis soirs. C’est le jour où je me sens encore plus seule que d’habitude, avec ma mère quelque part à l’autre bout du monde et mon père chez lui, occupé à conter fleurette à sa nouvelle copine. Mais ce mardi-là, ça a été bien pire. J’étais sur le palier quand j’ai entendu la porte claquer. Enfermée dehors ! Je suis en pyjama, il n’y a personne dans l’appartement, je n’ai pas de téléphone. Pas le choix, il va falloir que je sonne chez les voisins. Mais je ne les connais pas, et le peu que j’en sais ne me donne pas du tout envie de faire leur connaissance…
Urgence ! Urgence ! Amel doit trouver son stage de troisième. En s’y prenant à la dernière minute, elle n’a plus qu’une solution : contacter son oncle Djibril. Il a une très belle situation dans une banque sur les Champs-Élysées, et Amel s’entendait très bien avec sa fille Ludivine quand elles étaient petites. Mais leurs parents ne se parlent plus depuis huit ans. C’est l’occasion ou jamais de renouer avec eux. Seulement, Djibril est en plein déménagement d’entreprise. Sa femme s’apprête à jouer Phèdre à la Comédie-Française, et Ludivine organise un grand bal mondain à l’hôtel Peninsula. Ça ne pouvait pas plus mal tomber. Ou peut-être, au contraire, qu’on ne pouvait pas rêver mieux ?