Thème « ingénieux, débrouillard »
Quand on vit dans un trou perdu au milieu d'une île, on a envie d'en sortir. Sam et ses copains rêvent d'assister à un concert de rock sur le continent, à Dar es-Salaan ou à Zanzibar. Mais, pour cela, il leur faut trouver de l'argent. Or, c'est bien simple, à Ukerewe il n'y en a pas...
Le nouvel élève de la classe, Papis, leur suggère d'écrire un livre, avec une bonne histoire, qui se passerait sur l'île. Peu convaincue, Happy Ulisa, la cousine de Sam, préfère chercher ce que manigance Papa Dieng, le commissaire venu du Sénégal. Est-il vraiment en vacances, comme il l'affirme ? Est-il sur la piste d'un trésor ou d'une vieille affaire non résolue ?
La voilà, la bonne histoire !
Barnabé est un ours pas comme les autres : il a toujours une ruse, un truc, une astuce inattendue pour venir à bout des petits tracas du quotidien. Flanqué de son ami le lapin, il regorge de bonnes idées surprenantes pour venir en aide au premier venu.
Attraper une poire tout en haut d’une branche alors que le rocher n’est pas assez haut pour servir de tabouret ? Facile ! Barnabé brise le rocher, et empile les gravas pour se construire un marchepied de fortune.
Comment retrouver son chemin en pleine cambrousse ? En semant des aimants et en s’armant ensuite d’une boussole, bien sûr !
Dans une série de 46 gags d’une planche chacun, quelle que soit la situation – cocasse, compliquée, insolite –, Barnabé a vraiment réponse à tout !
Un jour, Petit-Gris et ses parents attrapèrent la pauvreté. Ils durent quitter leur maison, des chasseurs à leurs trousses. Mais Petit-Gris savait ce qui pouvait les sauver..
Quand passe le bateau-courrier chargé de marchandises, le Congo, un des plus grands fleuves d'Afrique, s'agite et tourbillonne. C'est le moment que choisissent les enfants du village de Sakata pour embarquer sur leurs fragiles pirogues afin d'aller toucher le flanc du bateau. Aujourd'hui Kembo a décidé que c'était son tour. Il veut même monter à bord. Cela demande de l'habilité et beaucoup de courage. Kembo n'en manque pas. Et puis il porte son ruban rouge. Accompagné de ses amis, il va tenter cette acrobatie très dangereuse...
Mes parents sont séparés, je préfère habiter chez ma mère, c’est-à-dire à peu près toute seule : elle est pilote d’avion et tout le temps partie. C’est quand même mieux que d’aller chez mon père et Fleur, la femme avec qui il vit maintenant, que je déteste. En ce moment, maman est là. Ça devrait me faire plaisir, mais elle est bizarre : elle passe du temps devant l’ordinateur, oublie mes horaires du collège, a des rendez-vous mystérieux… Elle s’est sûrement inscrite sur un site de rencontres. Si je ne fais rien, bientôt, elle me présentera un type idiot et moche et je devrai partager des lits superposés avec ses enfants atroces.
Je n’aime pas les mardis soirs. C’est le jour où je me sens encore plus seule que d’habitude, avec ma mère quelque part à l’autre bout du monde et mon père chez lui, occupé à conter fleurette à sa nouvelle copine. Mais ce mardi-là, ça a été bien pire. J’étais sur le palier quand j’ai entendu la porte claquer. Enfermée dehors ! Je suis en pyjama, il n’y a personne dans l’appartement, je n’ai pas de téléphone. Pas le choix, il va falloir que je sonne chez les voisins. Mais je ne les connais pas, et le peu que j’en sais ne me donne pas du tout envie de faire leur connaissance…
Urgence ! Urgence ! Amel doit trouver son stage de troisième. En s’y prenant à la dernière minute, elle n’a plus qu’une solution : contacter son oncle Djibril. Il a une très belle situation dans une banque sur les Champs-Élysées, et Amel s’entendait très bien avec sa fille Ludivine quand elles étaient petites. Mais leurs parents ne se parlent plus depuis huit ans. C’est l’occasion ou jamais de renouer avec eux. Seulement, Djibril est en plein déménagement d’entreprise. Sa femme s’apprête à jouer Phèdre à la Comédie-Française, et Ludivine organise un grand bal mondain à l’hôtel Peninsula. Ça ne pouvait pas plus mal tomber. Ou peut-être, au contraire, qu’on ne pouvait pas rêver mieux ?