Thème « imagination, fabulation »
Aujourd'hui, Lola est seule avec son papa. "On va bien s'amuser!" dit-elle. Mais son papa n'a pas envie de jouer, il est trop fatigué. "C'est toujours la même chose", marmonne Lola en montant dans sa bibliothèque. Alors Lola, à l'aide d'un drôle de livre caché dans un coffre en bois, va s'inventer des papas, des papas et encore des papas... 36 papas rien que pour Lola !
Pendant les vacances, Tora et son papa iront camper au milieu des bêtes sauvages. Mais Papa est un peu ennuyeux. Il veut d’abord faire des courses, rouler longtemps en voiture… De plus, pour voir les bêtes sauvages, il faut regarder attentivement. Tora ne voit pas un seul animal. Papa regarde son GPS et ne voit rien non plus. Puis soudain, Tora voit l’anaconda, les 4 hippopotames, le lion, le troupeau de girafes… Mais son papa voit-il la même chose ?
Un immense brouhaha agite la ville. On dit que les affreux Barbares arrivent pour nous attaquer. La rumeur dit qu'ils passeront par les montagnes. Le froid ne doit pas les déranger, ils sont certainement couverts de longs poils. Vite, il faut ressortir les canons de la cave ! Le temps passe et pas de Barbares en vue. Ils sont très en retard, ça commence à bien faire !
Quand le soldat blessé pousse la porte de la grotte, il voit qu'elle est occupée par un monstre horriblement puant venu de l'espace pour boire son verre de lait ! C'est alors qu'arrive une nettoyeuse spatiale qui aspire le monstre... Ouf ! Il s'en est fallu de peu !
Imagine un loup perdu dans une forêt qui découvre un arbre magique quand soudain… Imagine un cheval intrépide galopant à travers le monde faire halte face à un spectacle incongru… Imagine une sirène solitaire qui vit dans une ville au fond de l’océan quand un matin… Tu te réveilles accompagné dans tes rêves par ces douze histoires du soir dont tu as imaginé la suite avec tes parents, ou tout seul dans ton lit !
Avec deux fauteuils, Jérôme fabrique un bateau. Il coiffe alors sa casquette de capitaine et invite sa maman à partir avec lui pour le bout du monde. Ils vont faire ensemble une traversée extraordinaire, rencontrer des pirates, des poissons volants et même affronter la tempête...
Un mariage, c’est pour fêter l’amour. C’est aussi pour s’amuser ! Julian et Marisol s’échappent du repas des mariées et jouent sous l’arbre à sirènes. Après ses caracoles avec Gloria, la petite chienne, la robe de Marisol est toute sale. «Oh non !» dit-elle, mais l’imagination de Julian et la compréhension des grands-mères lui redonnent des ailes!
C’est en cherchant une bonne idée pour aller sur la lune que Nour rencontre Pierre. Il vit dans le placard de la maison et prétend avoir une TRÈS bonne idée : « Il faudrait une fusée ! » Nour grommelle : « Nous n’avons pas de fusée. Allons dans ma chambre. » Dans la vie, c’est parfois en rangeant qu’on trouve une VRAIE bonne idée.
« Quelle est cette horrible chose brune accrochée au mur ? » demande un jour le petit Georges. Tout d'abord, son papa refuse de lui répondre. « C'est une histoire trop effrayante », dit-il. Mais Georges insiste. Son papa finit par céder et lui raconte l'histoire, une histoire terrible, à vous faire dresser les cheveux sur la tête...
Il était une fois Fluette, la plus délicate petite fille qu’on eût pu voir. Un jour, ses frères et sœurs lui jetèrent un manteau sur le dos, lui donnèrent un panier, et vlan, l’envoyèrent de l’autre côté de la forêt chez Mère-grand. Fluette était seule dans le bois des hiboux, et elle croisa une vieille dame à la tête de chouette. Fluette trembla de frayeur, et sans savoir comment, un froid frisson d’effroi – ffffrrrrrriiiii – transforma Fluette en petite poulette verte de peur.
Mamie est une super mamie, mais elle reste une mamie. C’est ce que pense son jeune tigre, Aya Sugi qui, lui, est plein d’imagination et d’énergie. Il en a parfois un peu trop de l’énergie, surtout qu’il voit la vie façon manga (et Mamie ne le sait pas…)
« J’ai deux chats. Un rayé qui s’appelle Tric et un doré qui s’appelle Trac. Ils sont mignons et gentils mais ils sont aussi très grands. Ils mangent énormément… Chaque jour, je dois préparer 20 litres de bouillon de viande ! »
Petit Tom aimerait que Monsieur Émile joue avec lui, mais celui-ci préfère lire. Petit Tom commence à dessiner. Des boucles, et encore des boucles. Son dessin grandit, grandit… jusqu’à sortir de la feuille et attirer l’attention de Monsieur Émile.
Sur la plage et sous une pluie battante, Lucien se promène le long des dunes. Soudain, ses yeux s’ouvrent comme des soucoupes volantes. Sa vue se brouille, ses oreilles fument ! Dans sa gorge, les mots forment un gros nœud. Lucien doit bien se l’avouer, il est amoureux. « Bon, si je n’ose pas lui dire que je l’aime, je vais lui écrire un mot. Mieux, un poème ! »