Thème « imagination, fabulation »
Pendant les vacances, Tora et son papa iront camper au milieu des bêtes sauvages. Mais Papa est un peu ennuyeux. Il veut d’abord faire des courses, rouler longtemps en voiture… De plus, pour voir les bêtes sauvages, il faut regarder attentivement. Tora ne voit pas un seul animal. Papa regarde son GPS et ne voit rien non plus. Puis soudain, Tora voit l’anaconda, les 4 hippopotames, le lion, le troupeau de girafes… Mais son papa voit-il la même chose ?
Il se passe quelque chose de grave et d’horribilifique dans la galaxie : un Tue-planète démolit tout sur son passage. Isée est venue appeler les poussins à l’aide. Il reste un espoir : s’ils construisent tous ensemble un vaisseau spatial en forme de poussin, ils pourront partir tuer le monstre et sauver les naufragés, les migrants et les sans-planète. Au travail ! Isée dessine les plans, et les poussins fabriquent...
Un petit garçon veut récupérer son cerf-volant récalcitrant mais le petit garçon est très persévérant, et surtout, il est doué d’une imagination phénoménale, exubérante… et joyeusement délirante.
Duncan est heureux. Il a écouté les revendications de ses crayons en rébellion et la vie a retrouvé toutes ses couleurs. Enfin presque, car arrive au courrier une pile de cartes postales à son nom…
ll a suffi qu’une crêpe volante atterrisse sur ma tête pour que Grand-Père, inspiré, invente son plus beau conte…
« Dans la ville de Ratatouille, il n’y avait jamais de courses à faire. La nourriture tombait du ciel, trois fois par jour, à l’heure des repas. Il pleuvait de la soupe et du chocolat chaud, il neigeait de la purée, il tombait des hamburgers et des saucisses. C’était une vie délicieuse, pleine de bonnes surprises goûteuses et variées. Jusqu’au jour où le temps se détraqua... »
Ce jour-là, Escarbille et Chaboudo se promenaient dans le désert. Et dans le désert, il n'y avait rien. Rien, sauf...une tache bleue, au loin. Ils s'approchèrent : c'était une chaise. C'est fou ce qu'on peut faire avec une chaise bleue.
« Aujourd'hui, nous chasserons le terrifiant, le monstrueux et l'épouvantable dragon ! » dit le prince.
« Ça m'intéresse », s'écria la princesse. « Je viens avec vous ! »
« Pas question ! » rétorqua le prince. « Ceci n'est pas l'affaire des filles ! »
« Occupe-toi plutôt de ton bébé », ajouta le fidèle écuyer en piquant de sa lance une poupée oubliée sur le plancher.
« Quelle est cette horrible chose brune accrochée au mur ? » demande un jour le petit Georges. Tout d'abord, son papa refuse de lui répondre. « C'est une histoire trop effrayante », dit-il. Mais Georges insiste. Son papa finit par céder et lui raconte l'histoire, une histoire terrible, à vous faire dresser les cheveux sur la tête...
Quels secrets renferme cette étrange maison de l'Avenue Jean Jaurès devant laquelle passe Georges tous les matins en allant à l'école ? C'est une maison magique dans laquelle « la salle à manger est toute à manger »...
Nous voici plongés dans un univers à la fois poétique et merveilleux et plein de surprises.
Petit Ours se promène à vélo dans le bois. Il s'approche d'un étang pour se rafraîchir lorsqu'une petite voix l'interpelle : « Bonjour ! Je suis la princesse Grenouille. »
« Grenouille, certainement, mais princesse, ça m'étonnerait vraiment ! » répond Petit Ours.
La magie de l’enfance ou l’art de transformer le familier en singulier, l’ordinaire en extraordinaire… Notre petite héroïne découvre par hasard qu’elle est douée de pouvoirs extraordinaires... Et si ce talent de transformer le quotidien le plus banal en aventures fabuleuses était à la portée de tout un chacun, finalement ?
Un nouveau matin commence pour Parci et Parla. Quand ils sortent de chez eux, ils rencontrent des cubes et des champignons qui volent, un petit chaperon rouge qui n'y voit plus rien parce que personne n'a ouvert son livre depuis longtemps et qu'il y fait noir... Et pendant ce temps, que font les poussins ?
La révolte gronde chez les crayons de couleur, certains se plaignent de trop travailler, d’autres souffrent de se sentir délaissés, voire ignorés… Duncan est bien embêté !
Il y a parfois des nuits magiques. Vous vous endormez, un bruit vous réveille, vous vous levez, vous allez voir ce que c’est et en ouvrant une porte – que pourtant vous connaissez bien – vous entrez dans un monde extraordinaire. Un monde où tout ce que vous avez un peu oublié avec le temps en grandissant, et en particulier vos peluches adorées, ressurgit devant vous et vous aide à fabriquer, autrement dit à écrire et dessiner des histoires par exemple comme celle-ci.