Thème « image, son et langage »
L'araignée Gypsie monte à la gouttière. Tiens, voilà la pluie, Gypsie tombe par terre. Mais le soleil a chassé la pluie… Et la suite, vous la connaissez ?
Cette histoire commence en hiver. Sous la neige, dans un terrier, un loir est endormi. Dans un arbre, un nid semble abandonné. Mais petit à petit, au fil des pages, des graines vont germer, le loir se réveille, l'arbre reverdir, un couple d'oiseaux s'installer, des oeufs éclore, le loir rêver d'un bon déjeuner, les petits quitter le nid, l'automne arriver et le loir se rendormir, son terrier rempli de glands... jusqu'à la saison nouvelle.
La célèbre chanson illustrée en aquarelles et mise en scène par Philippe Dumas.
C'est une petite bulle rouge, on souffle et elle s'envole. A chaque page, elle se transforme.
Souvent, on n’ose pas dire tout haut ce qu’on pense tout bas : que ses enfants mangent comme des cochons, que la voisine est une vieille bique, qu’on regrette de s’être conduit comme un âne…
Dommage ! Car pour peu qu’un papa se laisse aller à pousser son cri de révolte quand ses trois enfants se battent à table à coups de yaourts : « Bande de cochons ! », aussitôt les voilà qui se transforment en une vraie bande de vrais petits cochons ! Grouiiiikk !
Et ce n’est pas fini. Ils filent vers la forêt où les attend le loup…
Trixie part en vacances chez ses grands-parents avec Gouzi Lapin, son doudou bien-aimé. Mais une fois à destination… catastrophe ! GOUZI LAPIN A DISPARU ! Toute la famille fait de son mieux pour la réconforter mais Trixie est inconsolable. Pourtant, elle va bientôt comprendre qu’elle n’a peut-être plus autant besoin de son Gouzi Lapin…
Ce conte très célèbre est ici proposé dans une version sans texte. Simplement en noir et blanc. C'est le langage visuel, simple et original, qui permet aux enfants de reconstituer les histoires... ou bien de les inventer.
Une petite fille aux boucles blondes s'égare dans la forêt en cueillant des fleurs. Elle est fatiguée, elle a faim et elle pleure. Dans une clairière, elle découvre une étrange maison dont la cheminée fume. Elle s'approche d'une fenêtre et découvre alors une grande table avec, tout autour, trois chaises : une grande chaise, une moyenne chaise et une toute petite chaise. Et devant chaque chaise, un bol de soupe. Un grand bol devant la grande chaise, un moyen bol devant la moyenne chaise et un tout petit bol devant la toute petite chaise...
Gerda Muller rêvait de reprendre ce grand classique qu'elle avait déjà illustré il y a longtemps. Elle s'est offert ce cadeau... pour ses quatre-vingts ans. Et c'est avec le soin infini qu'on lui connaît et un immense plaisir qu'elle a caché partout dans les images, les grands, les moyens et les petits objets... pour que les tout jeunes lecteurs aient encore plus de plaisir à les trouver et les reconnaître.
Et nous qui pensions que les Trois Petits Cochons avaient eu raison du Grand Méchant Loup ! Décidément, François Soutif a le don de nous faire voir les choses sous un nouvel angle... et de bousculer quelque peu nos idées reçues. Après l’ogre, le loup ! François Soutif n’a décidément aucun respect pour les célébrités ! Qui est le « bon » ? Qui est le « méchant » ? Et puis quand est-ce qu’une histoire est finie ? Hein ? Il a dit que c’était reparti pour un tour ? Oh, chouette alors !
La maman de Georges demande : « Un plus un, ça fait combien, Georges ? » Georges dit : « Il faut d’abord que je mange. » Alors, sa maman lui donne à manger. « Trois plus trois, ça fait combien Georges ? » Et Georges répond : « C’est l’heure de la sieste ». Georges rêve de calculs et d’arbres. Comment Georges va-t-il réussir à se sortir de ce fichu rêve ? Courage Georges !
Il était une fois un petit lapin qui ne savait dire qu'une chose : CACA BOUDIN ! Du matin au soir et du soir au matin : CACA BOUDIN ! À l'heure de la soupe et à l'heure du bain : CACA BOUDIN ! Il manque un loup à cette histoire, le voilà, tiens : CACA BOUDIN !
Voilà une maman cane avec ses bébés derrière elle. Danny décide de les compter : un canard, un autre canard, un autre canard...
Chaque jour, Carré descend dans sa grotte, prend une pierre et la pousse jusqu’au sommet de la montagne. C’est son travail. Un jour, Cercle passe par là. « Je ne savais pas que tu étais un sculpteur ! lui dit-elle. Il faut que tu fasses une statue de moi ! »
Un jour, Cercle, Carré et Triangle jouent à cache-cache. Cercle énonce les règles : « Interdiction de se cacher derrière la cascade. » Triangle veut prouver qu’il n’a pas peur du noir et passe derrière la cascade. Il y fait un noir d’encre. Cercle, Triangle, toutes les formes se confondent. Toutes ? mais quelle est cette forme silencieuse dans le noir ?
« Je vais construire un château... C'est MON château et personne n'y entrera ! Le premier qui essaie, je le jette à l'eau ! »
« Chhht ! Tu vas bientôt pousser la porte du château d'un géant... À partir de maintenant, reste tranquille et parle tout bas, sinon... » Deux visiteurs mystérieux pénètrent dans le château d'un géant redoutable. De page en page, ils le traversent avec les plus grandes précautions : si jamais le monstre se réveille, c'est la catastrophe !















