Thème « image du corps »
Un beau matin, l'incorrigible loup se lève de très bonne humeur et enfile son plus beau vêtement. « Hum ! Ravissant ! Je vais faire un petit tour pour que tout le monde puisse m'admirer ! » Chemin faisant, il croise le Petit Chaperon Rouge. « Dis-moi, petite fraise des bois, qui est le plus beau ? » demande le loup. « Le plus beau, c'est vous, Maître Loup ! » répond le Petit Chaperon Rouge.
Yahou ! Les cinq aventures pleines de fantaisie et d’impertinence de la princesse Éliette et de sa cousine Alice sont réunies en un seul volume :
- La princesse coquette
- Mademoiselle princesse ne veut pas manger
- Princesse-copine-en-chef
- La princesse réclame
- L’autre princesse
Un matin, après un très très long sommeil, la princesse Bertie se réveille, et dit : « J’ai trop faim… Je veux manger un pain au chocolat, tout de suite. » Bertie et ses très très longs cheveux quittent leur haute tour et se rendent au village. Après un parcours sinueux de marchands en marchands, on lui indique finalement le chemin. « Voici la boulangerie ! » s’exclament tous les enfants curieux de voir une vraie princesse. « Il était temps ! dit Bertie. Et je… Aïe ! Qui me tire les cheveux ? »
Papoutsa a perdu sa maman au marché des mille marchands…
Mais comment est-elle, la maman de Papoutsa ? Eh bien, c’est la plus belle maman du monde.
Evidemment. (Car, comme a dit Oscar Wilde, la beauté est dans les yeux de celui qui regarde.)
Quand on est aussi coquette que la princesse Éliette et qu'il fait froid, que faire ? Mettre ses grosses chaussettes, son pantalon à bretelles, son manteau à poils de chameau et ses bottes d'esquimau ? Ou bien ses collants de danseuse, sa robe à fleurettes et ses souliers à rosettes ? Pour aller jouer avec sa cousine Alice sous la neige, Princesse Éliette a des idées plein la tête...
Que fait Souris Chérie du lundi au vendredi ? Lundi, Souris Chérie est de sortie, tout comme mardi et mercredi, tout comme jeudi et vendredi. Car Souris Chérie fait la jolie, elle porte des chapeaux fantaisie et achète de nouveaux habits. Mais que fera-t-elle samedi ?
Les sorcières se préparent pour leur congrès annuel. La sorcière des villes est très excitée car cette année il y aura aussi un concours d'élégance. Elle veut gagner !
Marcel ne ferait pas de mal à une mouche. Marcel dit tout le temps « Pardon ! » même quand ce n'est pas de sa faute. Marcel se fait embêter dans la rue par le gang des gorilles de banlieue. Bref : Marcel est une mauviette.
Mais les choses vont changer. Un peu de jogging, quelques bananes, des efforts et de la persévérance : Marcel est un singe nouveau !
Comment devenir un champion que tout le monde adore quand on est nul en foot, qu'on aime avant tout lire, écouter de la musique, se promener au parc, et qu'on pleure au cinéma ? Comment ? Et bien, lisez l'histoire de Marcel et vous verrez.
Ce matin, Salomé n'est pas encore coiffée. Sa maman voudrait bien lui faire une jolie coiffure. Mais laquelle ? Salomé devra choisir : petits choux, pompons ou bête à mille pattes. Comment arranger ses cheveux ?
Librement inspirée de la vie de Savinien de Cyrano de Bergerac (1619-1655), Cyrano de Bergerac est représenté pour la première fois le 28 décembre 1897. Edmond Rostand qualifiait sa pièce de « comédie héroïque ». Car Cyrano est un héros, un mousquetaire intrépide, dont la vie s’organise autour des valeurs de l’amour et de l’honneur. Amoureux de Roxane, il n’ose se déclarer, car elle est belle et il est laid (à cause de son fameux nez !). Alors, par amour, il va protéger Christian, son rival, allant jusqu’à l’aider à séduire Roxane (sous un fameux balcon !).
Comment ne pas être séduit par ce personnage à la fois soldat, musicien, astronome et poète, qui improvise l’amour sous les balcons, tire son épée pour l’honneur, se sacrifie pour son ami et signe toutes ses actions de poésie et de panache ?
Dorian Gray a bien de la chance ! Il est jeune, il est riche, il est intelligent, il appartient à la meilleure société londonienne de son temps, et surtout il est beau : d’une beauté unique, angélique, sublime, fascinante, d’une beauté qui exerce des ravages sur tous ceux qui l’approchent, hommes ou femmes. Normalement, cette extraordinaire capacité physique de séduction devrait s’affaiblir avec l’âge. C’est-à-dire, avec l’apparition des rides, avec la calvitie, les rhumatismes, l’écroulement des traits, l’empâtement du menton, etc. Mais ces désagréments vont être épargnés à Dorian grâce au portrait qu’a fait de lui un ami peintre. En effet, le tableau possède l’étrange vertu de prendre à sa charge le vieillissement de son modèle.
Par cette fable qui évolue vers les affres du cauchemar, Oscar Wilde, esprit brillantissime et auteur scandaleux de l’époque victorienne, nous assène un pronostic inquiétant : à savoir que chacun de nous, sous l’effet de ce qu’il est, finira par prendre la tête qu’il mérite…