Thème « hospitalisation »
En jouant au foot dans la cour, Simon a shooté très fort, marqué un but magnifique, est tombé en arrière et CRAAAAC ! s’est cassé un bras. Il a méga giga mal mais aussi très peur d’avoir encore plus mal à cause du docteur. Heureusement, à l’hôpital où l’ambulance l’a emmené d’urgence, Simon rencontre un docteur admiratif de son exploit qui lui propose une radio supersonique et sans douleur.
Un jour, Grenadine la grenouille fit une mauvaise chute et eut très mal à la patte. « Ça m'est arrivé des milliers de fois », lui dit le mille-pattes, « il faut aller à l'hôpital des animaux. »
À l'hôpital, on fait une radio de la patte, qui s'avère cassée. « Il faut plâtrer », dit le docteur lapin. Après une petite piqûre, il remet la patte en place et l'entoure de bandelettes de plâtre pour qu'elle reste bien droite... pendant un mois.
Un mois, c'est très long, surtout en été, quand on n'a pas le droit de se baigner avec les autres grenouilles. C'est long même avec des livres et des crayons de couleur, même avec des amis qui viennent vous rendre visite, qui apportent des cadeaux et écrivent chacun leur nom en couleur sur le plâtre - et pourtant, dans cet exercice, les amis de Grenadine se sont surpassés.
« C'est dommage d'enlever un si beau plâtre », dit le docteur lapin à Grenadine. Mais cher docteur, si vous en voulez un, vous savez ce qu'il vous reste à faire !
Un petit garçon vient d’arriver à l’hôpital en ambulance. Son chien est très inquiet et trop grand pour passer les grilles qui se sont refermées. Comment lui envoyer un message d’amitié ? En comptant sur les autres, bien sûr ! C’est une véritable chaîne de solidarité qui se met en mouvement. Chat, souris, fourmi, poux et anticorps se relaient pour arriver au tympan du petit malade. Mais on peut compter sur l’humour iconoclaste de Gabriel Gay pour faire de ce parcours du combattant une histoire à mourir de rire… surtout pour les microbes !
Antoine est tombé. Papa l'emmène d'urgence à l'hôpital. Examen, radiographie, plâtre... Solo, l'éléphant en peluche d'Antoine, est tout dépaysé par cet endroit plein d'imprévus et de couloirs ! Mais la surprise des surprises s'appelle Annie, la nouvelle copine du petit garçon.
C'est l'histoire d'une tout petite fille qui s'appelle Yola. Chaque matin, quand elle se lève, elle remplit d'eau son arrosoir bleu et arrose Violette. Violette, c'est sa fleur. C'est une violette. Et Yola, ça veut dire « Violette » aussi.
Mais un soir, un mal affreux, comme une lance, lui transperce la tête et semble lui écraser les joues...
Zita est une jeune ado pleine de vie et au caractère bien trempé. Alors, quand elle a décidé de donner une fête pour son anniversaire, c’est toute une histoire : treize ans, ce n’est pas rien ! Surtout quand on en compte neuf passés à l’hôpital… Car Zita n’est pas vraiment comme les autres : une fichue maladie l’oblige à suivre un traitement qui lui a fait perdre ses cheveux et lui vaut désormais le sobriquet de « Boule à zéro » ! Mais qu’à cela ne tienne ! Son anniversaire sera l’occasion de rassembler tous ceux qui vivent avec elle dans le service des enfants accidentés ou gravement malades. «Wilfrite », « Supermalade », «Happy papy », le joli Pierrot, et même cette peste d’Évelyne qui partage sa chambre… tous les patients de son étage ainsi que le docteur Semoun et les infirmières sont conviés à la fête. Ne manque qu’une invitée : la maman de Zita, qui ne vient jamais la voir… Pour couronner le tout, Zita multiplie les malaises ! Et si l’absence de sa maman y était pour quelque chose ?
Voilà des années que Zita est malade, et tout aussi longtemps que l’hôpital est devenu sa maison. Médecins, infirmières, patients… Zita connaît tout le monde. Chaque vendredi, elle attend avec impatience l’arrivée de Mama Kigali, une femme rwandaise qui vient conter des histoires africaines aux jeunes et aux moins jeunes de l’hôpital. Ce jour-là, Mama Kigali raconte l’aventure de Zé, une petite fille qui tombe soudain si gravement malade que tout le village craint pour sa vie. Or une très ancienne légende raconte que, si un malade parvient à toucher la queue de Mushangu, le plus redoutable des crocodiles du fleuve, il sera guéri. La nuit venue, n’écoutant que son courage et malgré sa faiblesse, Zé se dirige alors vers le fleuve où sommeille Mushangu… Le soir même, Zita apprend qu’un « reptilarium » va s’installer en ville pour quelques jours. Au programme, lézards, serpents… et crocodiles. Qui veut guérir doit toucher la queue du crocodile, Mama Kigali l’a dit ! Et pour guérir, Zita est prête à tout !
Zita avait quatre ans lorsque, pour la première fois, elle a mis les pieds à l’hôpital La Gaufre pour traiter sa leucémie. Et – même si elle ne les fait pas – elle a maintenant treize ans.
Faites le calcul ! Autant dire que l’hôpital est devenu sa maison. Mais là-bas, le temps passe parfois si lentement… Alors chaque jour, Zita fait sa « tournée ». Coiffée d’un gyrophare qu’elle a « emprunté » aux ambulanciers et juchée sur sa trottinette, elle arpente les couloirs de l’hôpital à toute allure, file voir ses copains parfois plus atteints qu’elle, remonte le moral de ses vieux amis du service de gériatrie, fait un détour par la maternité pour prendre des nouvelles des bébés de la nuit et accompagne sa meilleure copine lors des séances de « protonthérapie » ! C’est bien simple, à l’hôpital, tout le monde connaît Zita et Zita connaît tout le monde. Certains ont même l’impression que sa gouaille et sa bonne humeur sont les meilleurs remèdes des patients. Mais les médecins partagent-ils aussi cet avis ?
Enzo n'en mène pas large. Il est hospitalisé pour une sale maladie : la méningite. Rien que le nom fait froid dans le dos. Mais, par un hasard très heureux, il est soigné dans le service du docteur Exacœur, Mahaut de son prénom, qui fait des prodiges. Car le docteur Exacœur est une fée. Une vraie ! Fille et petite-fille de fées. Elle peut transformer les tristes biscottes du petit déjeuner en coissants croustillants et soulever des paillettes lorsqu'elle se déplace, elle peut aussi métamorphoser les murs de l'hôpital en chocolat et les rampes en berlingots. Le séjour d'Enzo à l'hôpital devient tout à fait exaltant. Le voilà « au plus profond d'un mystère ». Pourtant, la magie a des limites et, toute fée qu'elle est, Mahaut aura besoin de l'aide d'Enzo pour guérir une petite fille qui a décidé de dormir pendant deux ans. À eux deux, ils vont imaginer une mise en scène grandiose pour la sauver. Car de quoi a besoin la Belle au bois dormant sinon d'un prince pour la réveiller ?
Barnabé a des parents loufoques, un papa professeur Nimbus spécialiste des dinosaures et une maman Tintin reporter qui parcourt la planète en long et en large. Il est très inquiet : sa mère a parié à son père que les pingouins ne volent pas. Elle était tellement sûre de son coup qu'elle l'a laissé miser tout ce qu'il voulait : et ce qu'il voulait, c'était un bébé. Or les pingouins volent. Résultat : les parents de Barnabé s'apprêtent à devenir parents d'un autre ! Depuis le début de la grossesse, ils ne parlent plus qu'échographie et régime fortifiant, ils fabriquent un berceau en forme de nid de brontosaure et Barnabé se sent oublié. Il faut que ça s'arrête ! Le plus tôt sera le mieux. Et justement, Hanna naît tôt, trop tôt. Elle est prématurée. Comme de Gaulle, Churchill, Victor Hugo et Newton, tous ces grands hommes... Mais elle, pour l'instant, n'est qu'une toute petite bonne femme dont la vie ne tient qu'à un fil. Elle a besoin de tous les siens, même de son frère...