Thème « Histoire »
Que vaut-il mieux, dans la vie, être très gros, ou tout petit ? Être féroce ou bien gentil ? Rugir comme une brute ou pousser des cris assourdis ? Tout est relatif, ça dépend. Ce qui est certain, c’est que, lorsqu’une énorme boule de feu, une météorite, est tombée du ciel sur la Terre, les immenses dinosaures n’ont pas réussi à se cacher. Ils ont pris feu et ont tous disparu. Alors que les petits, eux, avaient trouvé refuge dans les anfractuosités et les trous. Alors, vaut-il mieux être grand ou petit ? Faites vos jeux !
C'est l'histoire d'un royaume, d'un roi et de sa fille adorée. C'est aussi l'histoire d'Hector, le monstre redouté, le genre impossible à attraper. « Le premier qui le capturera, la princesse épousera », déclara le roi. Quand Roger s'est présenté, tout le monde a bien rigolé !
C’est un magnifique château qu’Émile a passé la matinée à construire. Le plus beau de toute la plage, et le plus gros. Tellement beau que tout le monde le convoite et veut y habiter. Il suffit qu’Émile ait le dos tourné et parte se baigner pour qu’une famille de bigorneaux, puis un jeune crabe déboulent, entrent et prétendent être les rois du château… Évidemment, Émile n’est pas d’accord. Le roi, c’est lui. Mais il lui faudra apprendre que, sur la plage, tout près des vagues, les monarchies ne sont pas très durables…
Dix fois, cent fois, mille fois, tu es venu au château pour dire au roi tout ce qui ne va pas. Dix fois, cent fois, mille fois, les gardes t'ont renvoyé : « Le roi est occupé. Revenez un autre jour ! » Maintenant, ça suffit : tu veux voir le roi et personne ne t'en empêchera...
La vie au château est devenue un enfer. Le prince Aimé et le prince Désiré se disputent tout le temps. « C'est lui le préféré ! » « Non ! C'est lui ! »
En désespoir de cause, leur marraine organise un tournoi qui leur fera peut-être comprendre que « différence » ne veut pas dire « préférence ».
Un jour, il y a fort fort longtemps Koko est parti à la chasse. « Où kil è Papa ? » a demandé Crasse, avant d’aller voir s’il n’était pas parti par là. Mais là, qui voilà ? C’est Maman : « Gaffe o bobos, mon bébé ! » Puis Crasse est partie tout là-bas, quand… Boum ! Le tout premier bobo est apparu !
Quand il se réveille de sa longue hibernation, Mammouth ne reconnaît plus rien. Partout d'étranges créatures, et beaucoup de boucan… Mais où est passé son troupeau ? Il ne comprend rien à ce qui l'entoure. Il essaie pourtant de se faire des amis, et va de déception en déception, jusqu'à ce qu'il entende au loin un barrissement qui ressemble au sien…
C’est apparu comme ça, un jour, il y a fort, fort longtemps, dans la grotte de Koko et Kiki.
« Oh ! Keskeussè keu sa ? » a dit Koko.
« Sè bizarre, regarde, bras, doigts… » a répondu Kiki.
« Bon, trouvé par terre ? Donk sè crasse. Ééé… crasse dehors ! » a dit Koko en voulant jeter la crasse.
« Oh mè, crasse rigole ! » s’est attendrie Kiki.
Il y a un immense embouteillage sur cette route. Que se passe-t-il pour qu’autant de véhicules, du tricycle à la grue, restent bloqués ? La file d’attente est si longue qu’on n’y voit rien. Les uns s’impatientent, les autres râlent. Les plus malins profitent de l’arrêt forcé pour prendre un bon livre au bibliobus, ou une belle crêpe au camion. Mais enfin, ça va durer longtemps, ce cirque? L’armée et la police sont mobilisées, les chaînes de télévision sont à l’affût…
Nous ne sommes pas au bout de nos surprises !
Sonia s’inquiète. Son voisin Alfred n’est pas chez lui. Elle quitte sa maison pour le chercher, même si pour cela elle doit s’approcher du mur de la guerre. En chemin, elle croise plusieurs oiseaux. D’où viennent-ils tous? Sonia ne comprend pas ce qu’ils disent.
Il était une fois un petit tyrannosaure qui n'avait pas d'amis parce qu'il les avait tous mangés. Il avait essayé de se retenir très fort, mais il avait toujours si faim, si faim, qu'il se jetait sur chaque nouvel ami et n'en faisait qu'une bouchée. Ce jour-là, le petit tyrannosaure venait juste d'avaler son dernier nouvel ami. Il pensa qu'il était seul désormais, totalement seul dans la grande forêt. Il fut pris d'une immense tristesse et se mit à pleurer. Puis il sentit qu'il commençait déjà à avoir faim, et il se mit à pleurer encore plus fort. Heureusement, quelqu'un s'approchait. Quelqu'un qui savait comment faire pour ne pas être mangé. Quelqu'un qui allait changer la vie du petit tyrannosaure. Pour toujours.
Robert Radagon a eu une très grande idée ce matin au réveil. Emmener ses trois petites visiter le château de Chenonceau. Pour se tirer de cette sale affaire, les radagonnettes décident de faire semblant de tomber malades et font vraiment de la peine à Papa Radagon. Alors, en route mauvaise troupe pour le château, et haut les coeurs ! Dans la voiture, on peut s'occuper du pique-nique avant l'heure et dormir. Cela tombe bien, car Papa Radagon connaît par coeur l'histoire de Chenonceau. Il aime beaucoup, beaucoup la raconter. Il aime aussi beaucoup, beaucoup jouer le guide dans les jardins du château. Mais là, le calvaire va devenir très, très amusant.
Isée dort tranquillement dans son lit. Un livre posé contre sa bibliothèque se met soudain à grandir tandis que l’air d’Ah, vous dirai-je, maman en sort. Alors, Isée entre dans les pages comme on passe une porte et se retrouve au beau milieu d’une forêt-ville à parcourir. Au cours de son périple, un monstre la met au défi de se transformer en « la chose la plus puissante du monde ». Sacré challenge ! Après réflexion et essais divers, Isée trouve une solution qui est à la fois une surprise, un clin d’oeil, un pied de nez et un point d’orgue…
« J’ai fait le deuxième tome des “ventures” d’Isée parce que trop de gens ne comprenaient pas le premier et que ça m’énervait, déclare Claude Ponti. Mais le deuxième réclamait une suite : comment Isée allait-elle grandir ? Alors voilà le troisième et dernier, qui a la taille des deux premiers mis l’un sur l’autre.
Isée sort de la magie pour accepter le monde tel qu’il est, dans toutes ses dimensions : l’imaginaire, le passé immensément riche – paysages, monuments, oeuvres d’art, découvertes – et l’avenir, tous les avenirs. Isée grandit parce qu’elle accepte d’être une enfant qui hérite de tout cela. »
Bucéphale est très grand. Alexandre est très petit. Bucéphale est un cheval. Alexandre est fils de roi. Bucéphale est indomptable : il a peur d'un monstre noir qui le suit partout, accroché à ses pieds. Alexandre, par sa jugeote, comprend qui est vraiment cet affreux, et comment l'anéantir. Pourvu que le roi son père le laisse approcher Bucéphale... Leur rencontre légendaire sera décisive. Ensemble, corps et âme, ils s'apprêtent à conquérir le monde et à livrer leurs deux noms à la postérité.
Dans chaque vie, il y a des moments de grâce. En 1884, j’avais 20 ans et je travaillais comme taxidermiste dans un grand musée. On me dépêcha de ramener des cornes et des peaux de bisons avant que ceux-ci ne disparaissent à jamais. Je n’imaginais pas ce qui m’attendait et, surtout, que ce voyage resterait gravé en moi toute ma vie et qu’il changerait mon nom…
Il arrive qu’un auteur se trouve en panne d’idées. Ou en panne d’histoires. Ou en panne de personnages.
Alors, quand il se nomme Michaël Escoffier, il placarde quelques affiches à l’orée du bois et le tour est joué. Du moins, c’est ce qu’il espère…















