Thème « histoire policière »
Le Havre, son port, ses docks et ses trafics en tous genres. Y a t-il un lien entre la cocaïne découverte dans le container d'un négociant de café et la disparition d'un jeune docker aux mains tatouées ? Le capitaine de police Augustin Maupetit en est persuadé. Mais comment pourrait-il enquêter alors qu'il est cloué en fauteuil roulant et cloîtré dans son appartement ? Le policier teigneux va devoir compter sur son entourage. Sa voisine de palier, Angie Tourniquet, 12 ans, se révèle une parfaite coéquipière. Il y aussi Thérèse, la tante médium qui joue du pendule comme personne, Capitaine, un chien renifleur dont la tête a été mise à prix par les narcotrafiquants, Alice Verne, la jeune commissaire. A eux les jambes, à Augustin la tête. Mais voilà qu'un drôle de virus venu de Chine se répand dans le pays, le président Macron s'apprête à faire une allocution télévisée. On parle d'un grand confinement... Comment mener l'enquête au temps du Covid ?
Paris, 1922. Le soir de son anniversaire, Madame Gambette, la mère adoptive de Balto, ne rentre pas à la roulotte. Malaise ? Rendez-vous secret ? Enlèvement ? Notre gars de la Zone alerte Émilienne, sa complice journaliste, alors que dans la ville, les disparitions se multiplient : une pharmacienne, un confiseur, un invalide de guerre, un juge à la retraite… Madame Gambette figure-t-elle sur cette macabre liste ? Quel est le but de cet assassin qui sévit dans les rues de Paname, et disparaît à bord de sa Torpédo rouge sang ? Les enquêteurs sont sur les dents, la presse s’enflamme et, du théâtre du Grand Guignol au vélodrome d’hiver, Balto désespère de retrouver sa daronne… avant qu’il ne soit trop tard.
Marcel, un vieux copain de Balto, se fait assassiner sous ses yeux. Qui a pu commettre ce crime sans pitié ? En vrai gars de la Zone, Balto jure de venger son ami et se lance dans une enquête qui va le mener dans le monde du cinéma naissant, dans les salons de la haute couture parisienne, les réceptions de l’aristocratie russe en exil, et même les ruines d’un orphelinat. Coup de chance : il retrouve Émilienne Robinson, l’époustouflante journaliste lancée sur la même enquête. Mais les morts se multiplient, et l’étau se resserre autour de lui. Rattrapé par les Gardiens de Nulle-Part, Balto va se retrouver confronté à la Grande Histoire…
On les appelle E.M.I., « expériences de mort imminente ». Ceux qui ont vécu ces états entre la vie et la mort sont des expérienceurs. Ils racontent tous la même chose quand ils reviennent : qu'ils ont revu défiler toute leur vie en un instant. Rencontré des proches disparus, des inconnus lumineux et bienveillants, des anges peut-être. Disent-ils, à leur façon, une vérité indicible ? Ou ne sont-ils que la proie d'hallucinations dues à la kétamine, la fameuse kéta des ravers, un anesthésique puissant qui procure des visions psychédéliques et l'illusion de planer ? Théo a perdu sa femme chérie, Lucie, dans un accident de parapente il y a dix mois. On n'a jamais retrouvé le corps. Théo se sent veillé, guetté, guidé. Une présence indescriptible dépose un livre sur les E.M.I. dans son bureau, le conduit jusqu'à une tombe, lui inspire des pensées folles. Le livre a été écrit par le professeur Delmotte, un ancien « french doctor » des champs de bataille d'Afghanistan, devenu directeur d'une clinique à Digne-les-Bains, tout près de la Bléone, la rivière où le corps de Lucie a disparu. Un endroit où Théo s'est juré de ne jamais remettre les pieds. Mais si c'était elle ? Et si c'était vrai ?
Monsieur N. n'avait pas été un criminel toute sa vie. La preuve, il avait déjà neuf ans quand il tua pour la première fois. Bien entendu, à cette époque, il n'était pas encore monsieur N.. Il était Léo, petit garçon qui passait ses vacances chez Mémé et Pépé.... Et puis, vingt ans plus tard, le voici, rôdant autour de la maison de la famille Mintz. Les parents sont sortis, les enfants font du pop-corn, Odette voudrait aller chercher un sapin au cimetière, elle craint que le Père Noël ne les oublie. Monsieur N. ne les oublie pas, lui. Il a déjà tué son chien Thor, il a mis un manteau rouge, il se prépare.
Un roman haletant, tendu, mais plein d'humour aussi. Un thriller de Noël, qui ne vous lâche pas.
Morgan’s Moore, au nord de l’Angleterre. Ses villageois, ses notables, son unique auberge et ses crimes épouvantables… Un crime non élucidé reste à ce point mystérieux que Scotland Yard a dépêché sur place le superintendant Tanyblwch et son jeune adjoint, Pitchum Daybright, tout juste diplômé de la Royal School of Studies in Criminology. Ce dernier voit d’un mauvais œil les interventions de Flannery, la fille des aubergistes, qui est convaincue de pouvoir les aider dans leur enquête. Non seulement, Miss-Je-sais-Tout-sur-Tout a la langue bien pendue, mais elle a le chic pour lui faire monter le rouge aux joues. Il faut dire que la demoiselle est une peste fort charmante…
Une fois encore, Mélie est seule dans la grande maison. Elle attend le retour de son père, médecin de garde aux urgences de l'hôpital un week-end par mois. Mélie déteste cette vieille maison qui craque, grince et gémit de partout. Elle a horreur d'être seule. Elle est fatiguée d'être grosse. Elle ne sait pas quoi faire d'autre, pour vaincre ses angoisses, que d'allumer à fond tout ce qui peut meubler son silence, la chaîne hi-fi, la télévision, la radio. Elle ne trouve rien de mieux, pour se vider la tête, que de se remplir le ventre avec un tas de cochonneries. Ensuite, elle dort mal en rêvant qu'elle est belle, mince et aventureuse, par exemple : Florence Arthaud. Et puis elle se réveille, seule, grosse et malheureuse, et tout recommence. Sauf ce matin-là. Ce matin, il y a un corps étendu dans l'herbe du jardin. Un inconnu. Quand elle s'approche, il souffle son prénom: Mélie. Alors, aventureuse, oui, ce matin, il va falloir que Mélie le soit pour de vrai.
Lord Terence Dunlevy est beau, riche, érudit et... claustromane : il éprouve un besoin maladif de vivre enfermé. Une maladie bien commode pour justifier l'égoïsme, le confort et la vanité de son existence. Aussi, le jour où son psychanalyste lui annonce qu'il est guéri, Lord Dunlevy se permet d'en douter. Mais ce même jour, l'un des vieux membres de son club lui fait cadeau de la maison dont il vient d'hériter dans le sud de la France - cette noble pratique est courante entre lords - et lui suggère d'y partir se changer les idées. Il accepte. Par défi. Le mas de la Gasparine est une immense bâtisse en pierre de taille qui donne sur un panorama splendide : l'enfer du claustromane. Les villageois appellent la demeure « la maison du pendu », puis se taisent. Quels terribles secrets recèle le mas de la Gasparine ? Pour l'apprendre, Lord Dunlevy devra abattre quelques murs, enfoncer quelques portes pas toutes ouvertes, briser quelques résistances ainsi que la glace entre lui et une jolie provençale nommée Adrienne...
Chap n’a pas cherché à se faire passer pour un autre, il a simplement laissé faire…
Dans ce foyer d’urgence pour jeunes paumés où il refusait obstinément de donner son nom, les gens du centre sont venus le voir avec une photo, celle d’un ado porté disparu qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Chap a fini par dire ce que les autres attendaient, que c’était bien lui Cassiel Roadnight ! Et puis tout s’est enchaîné, la soeur de Cassiel est venue le chercher pour le ramener chez lui, dans sa maison, où l’attendaient sa mère et son grand frère.
Chap n’a pas pensé qu’il allait vivre sous leur regard, chaque jour, chaque heure, chaque seconde et qu’il ne pourrait jamais se détendre ni se laisser aller. Un geste déplacé, un mot de travers, une mauvaise réaction risqueraient de donner l’alarme et de tout faire basculer ! Il n’a pas imaginé non plus que Cassiel pouvait cacher un secret monstrueux, et que c’est lui, Chap, qui allait en hériter…
Cinq bébés enlevés. Un projet expérimental diabolique consigné dans un journal intime. Un journaliste qui enquête sur ces disparitions vingt-cinq ans après. 1910, Buenos Aires. Une jeune femme réapparaît au domicile de ses parents des années après avoir disparue, une nuit alors qu’elle dormait dans son berceau. Une jeune femme sans aucun souvenir, un homme qui se comporte comme un chien, les images hallucinées d’une session d’hypnose, sont les pistes qui conduiront Alejandro à remonter le fil de cette sombre histoire jusqu’à un dénouement aussi terrifiant qu’inattendu.
La vie a commencé de façon plutôt tragique pour Mélaine : à un an, elle a perdu ses parents. À quatre ans, son grand-père. Et aujourd'hui qu'elle a onze ans, c'est sa grand-mère, Clarisse d'Avillon-Faucher, qui vient de mourir. Elle a toujours été seule et négligée, elle s'est toujours trouvée laide et inutile. Mais, en quelques jours, tout bascule. D'abord Mélaine hérite de la maison et de la fortune de sa grand-mère. Ensuite, elle est recueillie par deux vieilles cousines excentriques, Heidi et Gretchen, qui ont fait quatre fois le tour du monde comme photographes, et qui décident de la retirer de son collège chic et coincé pour lui apprendre elles-mêmes à nager, à manger des hamburgers, à dessiner les chats et à calculer l'éloignement des étoiles. Enfin, dans l'un des albums photos de sa grand-mère, Mélaine découvre le portrait d'une petite fille inconnue qui porte au cou un médaillon en forme de coeur. Or Mélaine a hérité de sa grand-mère un pendentif... en forme de coeur, cabossé et brisé. Qui est la petite fille ? Qu'est-il arrivé au médaillon pour qu'il soit si abîmé ? Pour l'apprendre, Mélaine va devoir déterrer les sombres histoires de sa famille et affronter voleurs, assassins, et autres fantômes du passé.
En quelques clics et en empruntant l’identité de son père, Ruth Cassel, quatorze ans, a déposé une vieille photo de classe noir et blanc sur le site perdu-de-vue.com. La manip n’a qu’un but : l’aider à faire la différence entre deux jumelles aux yeux noisette, Ève-Marie, morte l’année de la photo, et Marie-Ève, la mère de Ruth, morte vingt ans plus tard.
Très vite, comme s’ils avaient attendu ce signal, des anciens de la terminale C3 se manifestent. Guy Dampierre, l’ex-beau gosse de la classe, Alice Meyzieux, une copine des jumelles, madame Parmentier, prof de philo désormais à la retraite et, en prime, René Lechemin, un grand-père dont Ruth ne soupçonnait pas l’existence, s’empressent de lui répondre. Tout pourrait s’arrêter là, mais…
La photo de classe a réveillé de terribles souvenirs. Les e-mails évoquent un meurtre, celui d’Ève-Marie, commis par un étrangleur récidiviste, le tueur à la cravate. Bien plus effrayant, ils mettent en cause celui que Ruth aime le plus au monde, cet homme au charme énigmatique, Martin Cassel, son père.
Aujourd'hui, 31 octobre, trois générations de Coudrier sont réunies à la Collinière, la grande demeure familiale entourée de forêts et d'étangs, pour fêter, comme chaque année, l'anniversaire de Papigrand, le patriarche. Comme c'est aussi Halloween, Mamigrand a envoyé les petits chercher des citrouilles au potager pour les voisins américains. Mais dans le carré de cucurbitacées encore enveloppé des brumes de l'aube, il y a comme un pépin. Un homme étendu de tout son long, plein de taches rouges, silencieux. Mort. À première vue, personne ne le connaît. L'affaire pourrait donc n'être pas si grave que ça. Le problème, c'est que dans la famille, il y a au moins trois mobiles criminels possibles. Donc trois assassins potentiels. Sans compter tous les secrets qu'on n'a pas encore découverts...
Il s’en passe des choses au mois de septembre au Havre ! Septembre 1944, alors que la ville est bombardée par les Anglais, un sauveteur havrais extrait des décombres un nourrisson endormi ainsi qu’un grand sac au contenu mystérieux. Septembre 2020, le journal Paris-Normandie lance un concours d’écriture sur ‘’Les enfants havrais durant la guerre de 39-45’’. Angie Tourniquet, 12 ans, se met sur les rangs avec l’idée de recueillir le témoignage du notable et mécène de la région, Maurice Lecoq, dont on vient de fêter le centenaire. Mais les propos du vieillard sont confus, tout autant que les réactions de son entourage. Vols, disparitions, lettres de menace... Voilà Angie embarquée dans une nouvelle affaire, pile au moment où son voisin et ami, le capitaine de police Augustin Maupetit, décide de la prendre comme stagiaire. Officieusement, bien sûr...
Le jour où son père quitte la maison sans un mot, Sandra perd pied. Le monde lui échappe, les cours l’indiffèrent, et elle cherche coûte que coûte à s’accrocher pour ne pas tomber. Au lycée, elle succombe au charme sulfureux de Ben, à ses yeux sombres, son sourire éclatant, et au parfum de mystère qui flotte autour de lui. Ben, de son côté, veut rester le maître du jeu. Un jeu dangereux, très dangereux, dont lui seul connaît les tenants et les aboutissants.