Thème « histoire policière »
Ce petit bébé-là était né avec une longue moustache. Et cela ne servait à rien de la lui couper car elle repoussait aussitôt...
Un vrai petit roman écrit par Nathalie Laurent et illustré par Soledad Bravi.
Un jour, un loup entre dans la boulangerie de madame Bonpain et hurle : « Un éclair au chocolat, SINON... » Madame Bonpain a si peur qu’elle donne au loup ce qu’il demande, et quitte en courant sa boutique.
Mais ce que fait ensuite madame Bonpain n’est vraiment pas malin, la preuve...
Trois chats aux ventres aussi vides que leurs placards concoctent un plan génial pour assouvir leur faim. Il ne leur manque qu’un pingouin…
Heureusement, un petit oiseau veille au grain !
Trent ne fait que son métier, mais il le fait bien. Il le fait mieux que personne. Son métier consiste à interroger des suspects. Avec patience, intelligence, tact et malice, avec art. Jusqu'à ce qu'ils avouent leur crime. Face à lui, ils finissent toujours par avouer. Trent a quelque chose d'irrésistible. « Sa touche magique » disent les journaux. « Tu es ce que tu fais » disait sa femme, Lottie, avant de le quitter. Ce jour-là, le crime est particulièrement horrible et la récompense promise à Trent particulièrement désirable. Quitter enfin son bled pourri du Vermont. Faire carrière. Le petit-fils du sénateur Gibbons était en CE2 avec Alice, la victime, sept ans. « La ville a besoin d'une arrestation, les familles sont bouleversées. Écrivez vous-même l'addition. Je tiens toujours mes promesses », dit le sénateur. La police a mis la main sur Jazon, douze ans, qui a passé l'après-midi à faire un puzzle avec Alice. C'est un garçon original, maladroit, timide, violent à ses heures. Très observateur. Épris de justice. Un marginal, donc. Le seul problème, c'est qu'il nie. Trent se met au travail.
Le Havre, son port, ses docks et ses trafics en tous genres. Y a t-il un lien entre la cocaïne découverte dans le container d'un négociant de café et la disparition d'un jeune docker aux mains tatouées ? Le capitaine de police Augustin Maupetit en est persuadé. Mais comment pourrait-il enquêter alors qu'il est cloué en fauteuil roulant et cloîtré dans son appartement ? Le policier teigneux va devoir compter sur son entourage. Sa voisine de palier, Angie Tourniquet, 12 ans, se révèle une parfaite coéquipière. Il y aussi Thérèse, la tante médium qui joue du pendule comme personne, Capitaine, un chien renifleur dont la tête a été mise à prix par les narcotrafiquants, Alice Verne, la jeune commissaire. A eux les jambes, à Augustin la tête. Mais voilà qu'un drôle de virus venu de Chine se répand dans le pays, le président Macron s'apprête à faire une allocution télévisée. On parle d'un grand confinement... Comment mener l'enquête au temps du Covid ?
Paris, 1922. Le soir de son anniversaire, Madame Gambette, la mère adoptive de Balto, ne rentre pas à la roulotte. Malaise ? Rendez-vous secret ? Enlèvement ? Notre gars de la Zone alerte Émilienne, sa complice journaliste, alors que dans la ville, les disparitions se multiplient : une pharmacienne, un confiseur, un invalide de guerre, un juge à la retraite… Madame Gambette figure-t-elle sur cette macabre liste ? Quel est le but de cet assassin qui sévit dans les rues de Paname, et disparaît à bord de sa Torpédo rouge sang ? Les enquêteurs sont sur les dents, la presse s’enflamme et, du théâtre du Grand Guignol au vélodrome d’hiver, Balto désespère de retrouver sa daronne… avant qu’il ne soit trop tard.
Marcel, un vieux copain de Balto, se fait assassiner sous ses yeux. Qui a pu commettre ce crime sans pitié ? En vrai gars de la Zone, Balto jure de venger son ami et se lance dans une enquête qui va le mener dans le monde du cinéma naissant, dans les salons de la haute couture parisienne, les réceptions de l’aristocratie russe en exil, et même les ruines d’un orphelinat. Coup de chance : il retrouve Émilienne Robinson, l’époustouflante journaliste lancée sur la même enquête. Mais les morts se multiplient, et l’étau se resserre autour de lui. Rattrapé par les Gardiens de Nulle-Part, Balto va se retrouver confronté à la Grande Histoire…
C'est toujours pareil avec les très bonnes histoires policières : avant d'avoir mis le nez dedans, on a confiance dans sa matière grise ; on aborde la première page, les neurones frétil-lants, et pour peu qu'on ait déjà lu un ou deux romans du genre, on se sent très sûr de soi. On se dit que ce n'est pas sorcier de trouver la solution. Si un esprit humain a pu la concevoir, elle n'est pas introuvable. Il suffit, c'est bien connu, de s'attacher à pénétrer l'esprit de l'auteur et de ne négliger aucun détail. Vous êtes prêts ? Commençons. Un homme est trouvé mort au milieu d'un champ enneigé. Deux séries d'empreintes mènent au cadavre, aucune n'en revient. Vous avez une idée ? Un autre homme écrit une lettre à un certain baron pour lui dire que s'il ne met pas rapidement à sa disposition une partie de ses biens, il viendra se servir lui-même. A priori, il n'y a pas à s'inquiéter, l'auteur de la lettre est en prison. Et pourtant, le cambriolage a bien lieu, à l'heure annoncée et malgré la surveillance de l'inspecteur principal Ganimard. Normal, il est signé Arsène Lupin. Comme le dit ce cher inspecteur : " J'en suis à me demander si ce n'est pas volontairement qu'il s'est fait arrêter par moi, en Amérique! " Vous donnez votre langue au chat ? Dans une maison du Sussex, en 1660, un homme est mort devant plusieurs témoins, poignardé à treize reprises par une main invisible, à l'aide d'une arme qui n'existait pas. La pièce a été brièvement plongée dans l'obscurité, on a entendu un bruit de lutte, mais le suspect, le seul suspect plausible, n'était pas armé. La porte, qui était l'unique ouverture, était close. On a fouillé le suspect, on a fouillé la pièce, de fond en comble, mais on n'a pas retrouvé le couteau à large lame qui seul avait pu provoquer de telles blessures. Comment s'est-il volatilisé ? Si vous ne connaissez la réponse à aucune de ces énigmes, soyons francs, la lecture de ce recueil vous est vraiment indispensable.
Lori n'a pas eu une enfance facile. Son père est mort jeune, d'un accident. Sa mère n'a jamais gardé très longtemps le même emploi ni le même fiancé. Ce n'est pas du tout une mauvaise mère, mais elle a un petit penchant pour l'alcool et le chic pour tomber sur des types pas terribles. Lori n'est encore qu'une adolescente, mais elle en sait beaucoup plus long sur pas mal de choses que la plupart des filles de son âge. Elle a un corps de femme, des désirs de petite fille, et sait parfaitement tirer parti de la fascination qu'elle exerce sur les hommes. De temps en temps, elle fugue. Parce que le dernier petit ami de sa mère lui fait des avances, ou pour courir après un chanteur de rock dont les chansons l'obsèdent.
Eric Poole n'a pas tout à fait dix-huit ans. Dans quelques jours, il va être libéré d'un centre de détention pour mineurs, où il a été incarcéré pour le double meurtre de sa mère et de son beau-père. Il a bénéficié de circonstances atténuantes : mauvais traitements. Personne ne sait qu'il se les était infligés lui-même. Eric est un malade, un psychopathe. Il a tué plusieurs jeunes femmes et s'apprête à recommencer. L'inspecteur Jake Proctor est convaincu du danger qu'il représente, mais n'a trouvé aucune preuve pour empêcher sa libération.
Lori et Eric se sont déjà croisés une fois, Lori n'était encore qu'une petite fille. Elle pense qu'il lui a sauvé la vie ce jour-là. Elle est amoureuse de lui. Ils vont se croiser à nouveau et vivre quarante-huit heures ensemble. Lori pourrait être la prochaine victime d'Éric. Elle pourrait aussi le sauver. Ce ne sera ni l'un ni l'autre.
On les appelle E.M.I., « expériences de mort imminente ». Ceux qui ont vécu ces états entre la vie et la mort sont des expérienceurs. Ils racontent tous la même chose quand ils reviennent : qu'ils ont revu défiler toute leur vie en un instant. Rencontré des proches disparus, des inconnus lumineux et bienveillants, des anges peut-être. Disent-ils, à leur façon, une vérité indicible ? Ou ne sont-ils que la proie d'hallucinations dues à la kétamine, la fameuse kéta des ravers, un anesthésique puissant qui procure des visions psychédéliques et l'illusion de planer ? Théo a perdu sa femme chérie, Lucie, dans un accident de parapente il y a dix mois. On n'a jamais retrouvé le corps. Théo se sent veillé, guetté, guidé. Une présence indescriptible dépose un livre sur les E.M.I. dans son bureau, le conduit jusqu'à une tombe, lui inspire des pensées folles. Le livre a été écrit par le professeur Delmotte, un ancien « french doctor » des champs de bataille d'Afghanistan, devenu directeur d'une clinique à Digne-les-Bains, tout près de la Bléone, la rivière où le corps de Lucie a disparu. Un endroit où Théo s'est juré de ne jamais remettre les pieds. Mais si c'était elle ? Et si c'était vrai ?
Monsieur N. n'avait pas été un criminel toute sa vie. La preuve, il avait déjà neuf ans quand il tua pour la première fois. Bien entendu, à cette époque, il n'était pas encore monsieur N.. Il était Léo, petit garçon qui passait ses vacances chez Mémé et Pépé.... Et puis, vingt ans plus tard, le voici, rôdant autour de la maison de la famille Mintz. Les parents sont sortis, les enfants font du pop-corn, Odette voudrait aller chercher un sapin au cimetière, elle craint que le Père Noël ne les oublie. Monsieur N. ne les oublie pas, lui. Il a déjà tué son chien Thor, il a mis un manteau rouge, il se prépare.
Un roman haletant, tendu, mais plein d'humour aussi. Un thriller de Noël, qui ne vous lâche pas.
Morgan’s Moore, au nord de l’Angleterre. Ses villageois, ses notables, son unique auberge et ses crimes épouvantables… Un crime non élucidé reste à ce point mystérieux que Scotland Yard a dépêché sur place le superintendant Tanyblwch et son jeune adjoint, Pitchum Daybright, tout juste diplômé de la Royal School of Studies in Criminology. Ce dernier voit d’un mauvais œil les interventions de Flannery, la fille des aubergistes, qui est convaincue de pouvoir les aider dans leur enquête. Non seulement, Miss-Je-sais-Tout-sur-Tout a la langue bien pendue, mais elle a le chic pour lui faire monter le rouge aux joues. Il faut dire que la demoiselle est une peste fort charmante…
Une fois encore, Mélie est seule dans la grande maison. Elle attend le retour de son père, médecin de garde aux urgences de l'hôpital un week-end par mois. Mélie déteste cette vieille maison qui craque, grince et gémit de partout. Elle a horreur d'être seule. Elle est fatiguée d'être grosse. Elle ne sait pas quoi faire d'autre, pour vaincre ses angoisses, que d'allumer à fond tout ce qui peut meubler son silence, la chaîne hi-fi, la télévision, la radio. Elle ne trouve rien de mieux, pour se vider la tête, que de se remplir le ventre avec un tas de cochonneries. Ensuite, elle dort mal en rêvant qu'elle est belle, mince et aventureuse, par exemple : Florence Arthaud. Et puis elle se réveille, seule, grosse et malheureuse, et tout recommence. Sauf ce matin-là. Ce matin, il y a un corps étendu dans l'herbe du jardin. Un inconnu. Quand elle s'approche, il souffle son prénom: Mélie. Alors, aventureuse, oui, ce matin, il va falloir que Mélie le soit pour de vrai.
Lord Terence Dunlevy est beau, riche, érudit et... claustromane : il éprouve un besoin maladif de vivre enfermé. Une maladie bien commode pour justifier l'égoïsme, le confort et la vanité de son existence. Aussi, le jour où son psychanalyste lui annonce qu'il est guéri, Lord Dunlevy se permet d'en douter. Mais ce même jour, l'un des vieux membres de son club lui fait cadeau de la maison dont il vient d'hériter dans le sud de la France - cette noble pratique est courante entre lords - et lui suggère d'y partir se changer les idées. Il accepte. Par défi. Le mas de la Gasparine est une immense bâtisse en pierre de taille qui donne sur un panorama splendide : l'enfer du claustromane. Les villageois appellent la demeure « la maison du pendu », puis se taisent. Quels terribles secrets recèle le mas de la Gasparine ? Pour l'apprendre, Lord Dunlevy devra abattre quelques murs, enfoncer quelques portes pas toutes ouvertes, briser quelques résistances ainsi que la glace entre lui et une jolie provençale nommée Adrienne...
Chap n’a pas cherché à se faire passer pour un autre, il a simplement laissé faire…
Dans ce foyer d’urgence pour jeunes paumés où il refusait obstinément de donner son nom, les gens du centre sont venus le voir avec une photo, celle d’un ado porté disparu qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Chap a fini par dire ce que les autres attendaient, que c’était bien lui Cassiel Roadnight ! Et puis tout s’est enchaîné, la soeur de Cassiel est venue le chercher pour le ramener chez lui, dans sa maison, où l’attendaient sa mère et son grand frère.
Chap n’a pas pensé qu’il allait vivre sous leur regard, chaque jour, chaque heure, chaque seconde et qu’il ne pourrait jamais se détendre ni se laisser aller. Un geste déplacé, un mot de travers, une mauvaise réaction risqueraient de donner l’alarme et de tout faire basculer ! Il n’a pas imaginé non plus que Cassiel pouvait cacher un secret monstrueux, et que c’est lui, Chap, qui allait en hériter…
Cinq bébés enlevés. Un projet expérimental diabolique consigné dans un journal intime. Un journaliste qui enquête sur ces disparitions vingt-cinq ans après. 1910, Buenos Aires. Une jeune femme réapparaît au domicile de ses parents des années après avoir disparue, une nuit alors qu’elle dormait dans son berceau. Une jeune femme sans aucun souvenir, un homme qui se comporte comme un chien, les images hallucinées d’une session d’hypnose, sont les pistes qui conduiront Alejandro à remonter le fil de cette sombre histoire jusqu’à un dénouement aussi terrifiant qu’inattendu.