Thème « grand-père »
Un cadeau attend Zou chez ses grands-parents. C'est un vélo tout neuf !
Tiens, qui est cette très vieille personne, encore plus âgée que sa mamie et son papi ? C'est sa bisaïeule. Zou refuse de l'embrasser et ne veut pas dire pourquoi. Il préfère aller voir son vélo. Mais son vélo n'est pas prêt. Grand-père doit fixer les stabilisateurs. Les stabilisateurs, c'est pour les bébés, pense Zou, ou pour les vieux, se dit-il en regardant la bisaïeule s'approcher en s'appuyant sur son déambulateur.
Comment Zou apprendra-t-il à faire du vélo sans stabilisateurs ? C'est une question grave, et il se pourrait que cette chère bisaïeule connaisse la réponse.
Bobo le petit monstre ne veut plus aller se coucher. Il sait que pendant son sommeil, un effrayant garçon se glisse sous son lit rien que pour l'effrayer. Bobo a vraiment très, très peur, jusqu'au jour où...
Le grand-père de Renardeau n'a plus qu'une dent. Mais autrefois, on le surnommait Dents d'acier ! Il raconte sa longue vie à son petit-fils.
Elmer et son cousin Walter se doutaient bien que leur grand-père adoré n’avait pas toujours été le vieil éléphant qu’ils connaissaient. Mais ils n’imaginaient pas que papi Eldo avait eu une jeunesse aussi riche en aventures, en amitiés… qu’ils peuvent maintenant partager !
Il était une fois un petit garçon qui s'appelait Esben et qui avait un grand-père qu'il appelait « Grand-père ». Puis un jour, son grand-père a disparu. C'était très triste. La maman d'Esben lui dit : « Grand-père est là -haut : il est monté au ciel.» Et le papa d'Esben lui dit : « Grand-père va être mis en terre. Il se transformera lui aussi en terre, et il disparaîtra.»
Mais rien de tout cela n'est arrivé ! La nuit suivante, Grand-père était de retour. Assis sur le rebord de la commode d'Esben, il ouvrait de grands yeux sur l'obscurité...
Luna arrive en vacances chez son Grand-Père. C’est le seul indien Naskapi qui, l’été, dort dans un tipi. Ce matin, le facteur lui apporte une lettre de son meilleur ami, celui avec qui il a fait le tour du monde. Grand-Père veut absolument lui faire parvenir une mystérieuse boîte rouge le plus vite possible : « Prends mon vieux cheval, dit Grand-père à Luna. Je t’en prie, cours plus loin que très loin jusqu’à la très grande ville. L’adresse est écrite. Partout, tu seras mes yeux. Même sans être là , je te protégerai. »
Antonia est un peu allergique à la vie. Elle n'aime pas entendre les mauvaises nouvelles à la radio, et son ventre se tord dès qu'elle pense à certaines choses. Heureusement, elle a un truc magique. Elle sait s'échapper. Elle se rêve en oiseau et plus rien ne lui fait peur. Plus rien de désagréable ne peut lui arriver. Enfin, presque. Il y a une journée contre laquelle les rêves ne peuvent rien. C'est une journée particulière à l'école où tout le monde se fait beau et sourit. Antonia, elle, a envie d'être comme d'habitude et de disparaître. Cette fois-ci, ce n'est pas seulement de la peur, mais un grand secret. Car, ce jour de la photo de classe, Antonia a vraiment de bonnes raisons de le détester.
Quand Laura, le terre-neuve d'Alice, prend des vacances à Paris, il faut s'attendre à ce qu'il ait la nostalgie de la mer...
Avec Grand-papa, c’est la fiesta ! Au programme : gymnastique, musique et pêche !
Je me souviens de sa cabane qui flottait dans les champs comme un phare sur l'océan ; des feuilles du vieux frêne scintillant au soleil, de l'odeur du linge qui séchait au fond du jardin, du bourdonnement des abeilles et du chant des mésanges. Pépé Léon faisait partie de ces gens qui aimeraient que rien ne change jamais. Qui ne veulent pas refaire le monde, juste vivre au milieu et l'écouter respirer. Je m'appelle Louise et ceci est mon histoire.
Leur vieux papy voudrait bien faire la sieste tranquille sur le canapé, mais voilà ses trois petits-enfants qui déboulent en hurlant ! Un combat sans merci s'engage alors entre les trois contestataires qui veulent regarder un dessin animé et le Grand-Père qui propose une belle histoire à l'ancienne. Qui va gagner, sachant que les trois infatigables ont réponse à tout, mais que le vieux grigou a plus d'un tour dans son sac et possède un argument imparable ?
« Moi, je ressemble à mon grand-papa. Je suis toute petite comme lui. Je n'ai qu'un cheveu sur la tête, comme lui. Je fais souvent la sieste, comme lui. Et quand on me regarde, je ne parle pas, je souris, comme lui. »
Avec facétie, Anthony Browne explore les liens familiaux en brossant le portrait de dix grands-pères qui vivent aux quatre coins du monde. Chacun est unique : tendre, joyeux, bavard, à l'écoute, grand conteur, fantaisiste, surprenant ou émouvant ! Une chose est sûre : le partage et la complicité ne connaissent pas de frontières.
Voici l'histoire de Jean Carotte, un petit lapin qui en avait assez que tout le monde l'appelle « Mon petit lapin ». Alors, pour bien montrer aux grands qu'il n'est plus « leur petit lapin », Jean Carotte décide un jour de devenir le pire des lapins...
Chouette ! C’est aujourd’hui le grand jour : Papi m’emmène à la mer dans son camping-car, le plus beau de tous les camping-cars ! Un camping- car, c’est comme une vraie maison : on peut jouer dedans, dormir dedans, y préparer des pique-niques… Mais Papi ne voit pas les choses ainsi : sitôt garé, il faut sortir, partir en promenade, marcher jusqu’à la côte, chercher l’aventure… Je râle. Heureusement, une énorme tempête se lève : vite ! Il faut se réfugier… Devinez où ? Dans notre camping-car bien douillet !
Il y a bien longtemps, j’habitais tout en bas de la montagne ; et tout en haut, il y avait un petit village où vivait la plus belle ourse du monde ! Un soir, pour la retrouver, j’empruntai le minuscule chemin qui serpentait, à peine visible à travers les buissons et les herbes de montagne. Le ciel changea brusquement… et les premiers flocons tombèrent.