Thème « grand-mère »
« Rouge, tu es maintenant assez grande pour aller seule à la ville. Va voir Mamie et apporte-lui ce gâteau. »
Pour arriver chez sa grand-mère, Rouge doit traverser la ville. Mais le monde moderne est plein de dangers...
Ce n’est que la deuxième fois que ce petit garçon voit sa grand-mère venue le garder. Il n’est pas rassuré. Elle est bizarre. Mais bientôt, cette grand-mère pas comme les autres l’invite à se transformer en jaguar aux yeux d’or, et tous deux partent à travers des paysages somptueux. Féroces, intrépides, lestes, félins, comme en rêve ils gravissent des montagnes et boivent de l’eau au goût de clair de lune…
Hipollène est presque grande et son père a décidé de lui apprendre tous les secrets de la chasse aux glousses. Ils habitent dans l'Arbre sans fin. Au bout d'une branche il y a toujours une autre branche. Grand-Mère sait tout de l'arbre. Grand-Mère meurt, l'arbre pleure. Hipollène se cache dans sa maison secrète. Elle est si triste qu'elle se transforme en larme, et c'est le début de son immense voyage.
Petit Pierre et ses amis, Jars et Orang-outan, travaillent dans une belle caserne de pompiers. En cas d’alerte, ils sont prêts. Leur camion rouge ultrarapide bénéficie des équipements dernier cri : tuyau long de plusieurs kilomètres, aspirateur à fumée, canapé de sauvetage. Cette nuit, l’heure est plus grave que d’habitude. Tout un quartier de la ville est en feu et, au milieu des flammes, en haut d’une tour, il y a la mamie de Petit Pierre et Bubulle, son poisson rouge… Vite ! On a besoin des meilleurs pompiers du monde !
« Chaque été, je passe mes vacances chez Mémé. Ce n’est pas comme à la ville, où on court tout le temps. Ici, à la campagne, tout est calme. Quand elle voit que je commence à m’ennuyer, Mémé me donne des missions, comme nourrir les animaux, planter des graines ou aller chercher le courrier. Moi, je préférerais des enquêtes, j’adore ça. Enfin dans les livres, parce que je n’ai jamais eu l’occasion d’en mener en vrai. Mais voilà que Barnabé, le chat de la maison, a disparu et que quelqu’un a déposé un étrange mot dans la boîte aux lettres. »
Billy se fait de la bile. Tout l'inquiète, surtout ce qui n'existe que dans son imagination. Et malgré les câlins rassurants de ses parents, il en perd le sommeil... Une nuit, Billy se confie à sa mamie qui lui apporte, dans le creux de sa main, un remède aussi étonnant qu'efficace !
On était en train de regarder un film de Sherlock Holmes, mon détective préféré, quand la télé s’est éteinte. Tout Paris était dans le noir, même la tour Eiffel n’était plus illuminée. Heureusement, on pouvait toujours commander des sushis pour ne pas mourir de faim. Quand le livreur est arrivé, j’ai vu que sa trottinette électrique marchait très bien. Il y avait quelque chose de louche dans cette histoire…
« Je déteste les céréales ! » disait chaque jour Rosaline. Et Grand-Mère répondait : « Les céréales sont bonnes pour toi, ma chérie. Tant que je vivrai, tu en mangeras. »
Alors Rosalie cessait de se plaindre. Elle voulait bien manger des céréales matin, midi et soir pourvu que Grand-Mère vive toujours. Or, un matin, Grand-Mère ne se leva pas comme d'habitude pour le petit-déjeuner.
Si j’avais un animal de compagnie, il se coucherait au pied de mon lit, on jouerait ensemble et tout le monde me dirait qu’il est trop mignon. Odin, un de nos dieux vikings, a deux loups, deux corbeaux et un cheval à huit jambes. Moi, je voudrais juste un chat. Mais pour ma mère, hors de question : son petit cabillaud, c’est-à -dire mon frère, est allergique. J’ai bien pensé à un mouton, mais il mangerait les rideaux. Il va falloir que je trouve autre chose.
Une nuit, j'ai été réveillé par un bruit épouvantable. Le lendemain matin, la maison était toute calme. Papa n'était pas là . J'ai demandé à Maman quand il rentrerait, mais elle n'avait pas l'air de savoir. Mais que se passe-t-il dans la vie du nouveau héros d'Anthony Browne ? Et pourquoi doit-il traverser cette forêt profonde - habitée de personnages de contes célèbres - pour parvenir à retrouver son papa ?
Lou n'arrive pas à se consoler du départ de sa grand-mère. Les mois passent et elle porte son chagrin toute seule. Elle ne peut le partager avec personne. Ni avec Marine, sa meilleure amie. Ni avec Arthur, son cousin. Ni même avec sa maman. Impossible d'en parler. Ça fait trop mal de dire. Pourtant c'est si lourd, si lourd, que Lou se met à écrire des lettres à sa grand-mère absente. Pour dire. Enfin. Les regrets, les petits et les grands malheurs de tous les jours, les secrets, les déceptions. Lentement un énorme noeud se défait. Et doucement, tout doucement, la vie reprend. Plus légère.
Mamie La Gratte a des ennuis : elle doit quitter sa boutique d'instruments de musique, car sur son emplacement va être construite une usine de shampoing qui pique odieusement les yeux. Heureusement, Camille et sa copine Suzy ont trouvé une super idée pour l'aider !… Dans cette aventure rock'n'roll, une fillette coiffée d'une chaussette qui ne sent pas très bon tente de cambrioler une banque, une corneille donne son avis sur tout et des tortues volantes à la langue bien pendue veillent sur un mystérieux trésor de pirate ! Une histoire folle et terriblement drôle illustrée par Jeff Pourquié et imaginée, contée et mise en musique par Sanseverino.
Julian est avec Mamita, sa grand-mère. Leur métro s’arrête et des sirènes montent à bord. Julian adore les sirènes. «Moi aussi, je suis une sirène», dit-il. Une fois seul, il s’apprête, couronne sa tête de longues feuilles vertes qu’il orne de fleurs colorées, noue un long rideau crème à sa taille. Il est prêt. Mamita et lui partent main dans la main vers la parade.
Un petit plant tout rabougri était bradé à l’entrée du supermarché. Hana l’a remarqué, l’a réclamé à son papa, l’a rempoté, arrosé, soigné, et protégé des chenilles. Le jour des grandes vacances, elle l’a emporté avec elle passer l’été chez sa grand-mère. Ses parents la désapprouvaient ? Hana a tenu bon. Le typhon souffle ? Le petit plant, enraciné dans le potager, résiste. La nature récompense souvent ceux qui prennent soin d’elle. Au coeur de l’été, Hana pourra bientôt inviter toute sa famille à un festin de tomates cerises !
Boun vit avec sa grand-mère, dans un village au bord d'une forêt tropicale. Un matin, tandis qu'il joue seul, Boun aperçoit un papillon, un magnifique papillon rouge. Il volette autour de la maison, se pose sur la tête du cochon, sur le museau du buffle. « Reviens ! » lui crie Boun, « Je veux que tu te poses sur moi aussi ! » Le papillon s'éloigne déjà et se pose sur une feuille de bananier. Boun s'approche avec un filet. Trop tard ! Il s'est envolé. « Et si je me cachais sous un carton ? » se demande Boun. « Et si je me déguisais en fleur ? » Patience, Boun ! C'est quand tu ne le guetteras plus, ne le chasseras plus, que tu seras parfaitement immobile, presque endormi, que le papillon viendra se poser sur toi et te chatouiller du souffle léger de ses ailes...
Un texte délicat et drôle et des images chatoyantes pour cette éternelle histoire d'un enfant et d'un papillon.
En Mongolie, rencontrer un loup est signe de chance. Depuis toujours, Nomin rêve d’en voir un de ses propres yeux, comme sa grand-mère autrefois. Ces créatures mystérieuses qui hantent les steppes lui semblent si proches, et restent pourtant invisibles… Mais sa grand-mère en est certaine : un jour, Nomin aussi rencontrera un loup.