Thème « grand-mère »
« Chaque été, je passe mes vacances chez Mémé. Ce n’est pas comme à la ville, où on court tout le temps. Ici, à la campagne, tout est calme. Quand elle voit que je commence à m’ennuyer, Mémé me donne des missions, comme nourrir les animaux, planter des graines ou aller chercher le courrier. Moi, je préférerais des enquêtes, j’adore ça. Enfin dans les livres, parce que je n’ai jamais eu l’occasion d’en mener en vrai. Mais voilà que Barnabé, le chat de la maison, a disparu et que quelqu’un a déposé un étrange mot dans la boîte aux lettres. »
On était en train de regarder un film de Sherlock Holmes, mon détective préféré, quand la télé s’est éteinte. Tout Paris était dans le noir, même la tour Eiffel n’était plus illuminée. Heureusement, on pouvait toujours commander des sushis pour ne pas mourir de faim. Quand le livreur est arrivé, j’ai vu que sa trottinette électrique marchait très bien. Il y avait quelque chose de louche dans cette histoire…
Si j’avais un animal de compagnie, il se coucherait au pied de mon lit, on jouerait ensemble et tout le monde me dirait qu’il est trop mignon. Odin, un de nos dieux vikings, a deux loups, deux corbeaux et un cheval à huit jambes. Moi, je voudrais juste un chat. Mais pour ma mère, hors de question : son petit cabillaud, c’est-à-dire mon frère, est allergique. J’ai bien pensé à un mouton, mais il mangerait les rideaux. Il va falloir que je trouve autre chose.
Lou n'arrive pas à se consoler du départ de sa grand-mère. Les mois passent et elle porte son chagrin toute seule. Elle ne peut le partager avec personne. Ni avec Marine, sa meilleure amie. Ni avec Arthur, son cousin. Ni même avec sa maman. Impossible d'en parler. Ça fait trop mal de dire. Pourtant c'est si lourd, si lourd, que Lou se met à écrire des lettres à sa grand-mère absente. Pour dire. Enfin. Les regrets, les petits et les grands malheurs de tous les jours, les secrets, les déceptions. Lentement un énorme noeud se défait. Et doucement, tout doucement, la vie reprend. Plus légère.
Juan habite avec sa grand-mère à San Pablo, dans les montagnes du Guatemala. Il a sept ans, il est cireur de chaussures. Il est fier de gagner sa vie, mais il a le coeur gros chaque fois qu'il voit passer des enfants avec des cartables...
Lilou en a assez de rester sagement à la maison avec Grand-Mère. Il voudrait suivre ses parents au-delà de la forêt, découvrir la montagne et courir derrière les moutons. Hélas, pour tout cela, le petit loup est encore trop petit. A moins que...
Un jour, Grand-Mère tombe malade, Lilou doit absolument prévenir papa et maman. Il a une idée : il va se déguiser en enfant pour échapper aux chasseurs. Il va enfin faire comme les grands.
Il n’y a qu’une mamy Monique, la mienne. Et je suis le seul à savoir qu’elle a disparu. Il y a deux jours, elle n’était pas à la sortie de l’école. Pourtant, elle vient me chercher tous les lundis. Elle n’était pas à la boulangerie et chez elle, quand j’ai sonné, ça résonnait très fort, pas comme d’habitude. Pas un bruit à l’intérieur. Dans ces cas-là, on imagine le pire...
Horreur, malheur, pâleur, noirceur, régime minceur ! » C'est ce que j'ai hurlé, à peu près dans cet ordre, quand Mémé m'a annoncé son opération à l'hôpital. Avec ses baskets Flashy Max, le modèle super sport, Mémé n'a pas vraiment l'air d'une grand-mère. Ni d'une malade. Alors, pourquoi irait-elle à l'hôpital ? Que me cachait-elle ? J'allais devoir me renseigner…
C’est tout petit riquiqui, chez la grand-mère de Nathan. On n’a pas le droit de regarder Koh-Lanta, il y a des bruits bizarres la nuit, elle l’appelle « mon doudou chéri », et ça, c’est un peu trop nul.
Mais elle dit des gros mots, elle est la reine des secrets d’amour, et il suffit qu’elle prépare une bûche pour que ce soit Noël toute la semaine, et ça, c’est vraiment trop bien.
Alors pour Nathan, passer tout un week-end chez sa grand-mère, c’est aller au-devant de bien des surprises…
Marta a découvert qu'avec sa grand-mère Nonna, elles sont sur une île : la forêt est comme un océan et la maison est au milieu. Ce qu'elle aimerait bien, c'est aller se baigner dans la rivière, mais les vieilles personnes sont souvent fatiguées. Alors pendant Nona fait la sieste, Marta part en exploration...
La grand-mère de Mathilde ne ressemble à aucune autre grand-mère. Elle ne porte pas de lunettes, ses cheveux ne sont pas gris ni blancs ni mauves, elle n'aime pas le thé, encore moins les tisanes, elle ne s'intéresse pas aux mots croisés et, surtout, elle déteste par-dessus tout faire la cuisine. Mamie est plutôt du genre à conduire à toute allure sa voiture de sport décapotable jaune d'or et à boire du café très noir. Quelle chance ! se dit Mathilde, la plupart du temps. Mais parfois aussi elle s'interroge : pourquoi Mamie est-elle si différente ?
Retrouvez Mathilde dans la collection Mouche : « Mathilde est tous les animaux », « Mathilde à la déchetterie » et « Les hamsters n'ont pas de voix ».
Cette histoire se passe à Touvabihin, un pays sans soleil où le noir n'existe pas. Un pays où il est interdit de pleurer et où les habitants portent un drôle de sac dans le dos, qui les cajole pour les empêcher d'être tristes. Cette histoire est celle d'une princesse, de son meilleur ami, le chien Timothée, et d'un secret très important. Une princesse qui a un grand besoin de pleurer, qui écrit une lettre à la Mort, et qui, un jour, réussira à changer le monde et à faire revenir le soleil.
Julien a refusé d'aller en vacances en Italie avec maman et son fiancé. Il préfère aller à la plage avec Mamie Lalie, construire d'immenses cités de sable et surveiller ses trésors cachés dans le vieux frigo qui est à l'entrée du jardin. Ce sont de très bonnes vacances, jusqu'au jour où Julien s'aperçoit qu'on peut se faire un ennemi mortel rien qu'en jouant tout seul dans le sable.
À onze ans, la petite Verte ne montre toujours aucun talent pour la sorcellerie. Pire que cela, elle dit qu'elle veut être quelqu'un de normal et se marier. Elle semble aussi s'intéresser aux garçons de sa classe et ne cache pas son dégoût lorsqu'elle voit mijoter un brouet destiné à empoisonner le chien des voisins. Sa mère, Ursule, est consternée. C'est si important pour une sorcière de transmettre le métier à sa fille. En dernier ressort, elle décide de confier Verte une journée par semaine à sa grand-mère, Anastabotte, puisqu'elles ont l'air de si bien s'entendre. Dès la première séance, les résultats sont excellents. On peut même dire qu'ils dépassent les espérances d'Ursule. Un peu trop, peut-être.