Thème « grand-mère »
La mamie de Lou aime beaucoup les animaux. Ceux des livres, les doudous de Lou et puis les vrais : les chats, les vaches, les moutons… Elle comprend même leur langage et peut donner à manger à l’oiseau lorsqu’il dit : « J’ai faim ! »
Tous les vendredis, Sam passe dire bonjour à sa Mamie qui habite une maison de retraite. Il sait déjà tout ce qui va se passer : pas grand-chose à part le tic ! tac ! tic ! tac ! du réveil. Mais aujourd'hui, Mamie l'emmène dans le jardin. « Sais-tu que j'arrive à faire pleuvoir ? » dit-elle.
Barnabé ne ressemble pas à ses parents. Max et Jo, eux, sont jumeaux. Albert vit chez sa grand-mère et Fleur vient d'avoir une petite soeur. Quatre histoires simples et tendres qui parlent de la vie de tous et de chacun.
Mimi passe la journée chez Mamie et apprend à compter avec elle, comme une grande : six jolies fleurs, cinq doigts de pied, quatre belles oranges, trois boîtes de soupe au poulet, deux pots de miel MAIS... un seul petit chou, c'est Mimi !
Pour fêter son anniversaire avec des copains, Nounours est chez mémé. Et ce n’est pas parce qu’on est un nounours en chocolat qu’on ne sait pas s’amuser et qu’on ne fait pas de bêtises !
Anton Kraszowski ne s’est jamais résigné à être malheureux. Il a toujours su que sa vie méritait mieux. Un jour, il traverse le boulevard pour la première fois et lit la plaque de l’immeuble d’en face : Conservatoire national de Paris. Et tout à coup, Anton se dit que ça y est, sa vie va changer. Mais il ne peut pas deviner à quel point.
C’est stupide comme devoir ! Alice a râlé quand la maîtresse lui a demandé de raconter sa vie par écrit : à quoi elle ressemble, où elle est née, comment sont sa maison, sa famille, ses animaux domestiques, tous ces trucs-là… Sauf que la vie d’Alice est à la fois plus simple et plus compliquée. Ses animaux sont tous morts, elle vit seule avec sa maman dans une maison qu’on leur a prêtée et elle ne connaît pas sa famille. Pourtant, ça lui ferait tellement de bien de raconter l’histoire de sa vraie vie ! Alice décide alors de tout écrire dans un cahier spécial, très privé, qu’elle ne montrera à personne. Une orthobiographie illustrée dans laquelle elle parle de sa naissance par accident, de ce père qu’elle n’a jamais connu, de sa mère qui se démène pour l’élever seule et des millions de souvenirs d’une petite fille de neuf ans et demi. Le stupide devoir d’école va entraîner Alice bien plus loin qu’elle ne l’imaginait...
Lucien, treize ans, sait que les vrais ennuis commencent aux portes du collège et ne s’arrêtent pas là. Il y a toujours un prof pour vous réveiller en plein cours et vous coller deux heures. En permanence, il n’y a personne. Ni Basile, son ami fidèle rebaptisé Croûton, ni Rosa, sa vieille copine peintre morte il y a 120 ans.
Là-bas, il n’y a que l’ennui. Et Lucien n’aime pas ça.
Comme il n’aime pas : les quatrièmes, les sixièmes, les cinquièmes, les troisièmes…
Pour s’occuper, Lucien a l’idée de dresser la liste de tout ce qu’il n’aime pas. Il est sonné devant l’ampleur de la tâche. Justement, Lucien vient d’atterrir sur le menton d’une fille. Elle s’appelle Fatou et c’est un phénomène.
Tout le monde a peur d’elle. C’est dit, Lucien ne l’aime pas, et c’est réciproque. Fatou propose un duel : celui qui déteste le plus de choses au monde l’emporte. Ça, Lucien aime bien.
Il s'en passe de drôles de choses, la nuit, dans la belle maison de Grand-maman sur la colline, au milieu des palmiers et des cyprès. Dans la chambre de Nora, la malle aux jouets s'anime et commence une formidable fête à laquelle participent poupées et pantins, sans oublier Maggie, Pouh, Kiki et... toutes les étoiles de ce beau ciel d'été !
Jeudi prochain, c’est le jour de la sortie scolaire au Château de Versailles avec une bande d’abrutis de mon âge et, comme accompagnateurs, Aymeric Pichu, un demi-dieu de dix-neuf ans poilu des avant-bras dont tout le monde tombe raide amoureux ainsi que ma propre grand-mère de soixante-neuf ans déguisée en Marie-Antoinette. À part me faire opérer de l’appendicite ou saboter le car, je ne vois pas bien ce que je peux faire…
Lucien, qui pensait avoir vécu les pires jours de sa vie, un lundi, un mardi et un mercredi, va devoir affronter son premier jeudi noir et surmonter les affres de la jalousie…
Sara aime prêter attention aux plus fragiles. C’est pour cela qu’elle apprécie la compagnie et les histoires de sa grand-mère. Avec elle, dans son cabanon au fond du jardin, Sara apprend à respecter ce qui l’entoure, et à voir différemment. Les légumes, par exemple. A-t-on jamais pensé que le poireau est un ancien mammifère ? A-t-on jamais écouté le chant discret d’une aubergine ? Et si on les réunissait dans un parc pour leur rendre hommage ? Ce serait peut-être un exploit. Comme de regarder le monde avec les yeux de quelqu’un d’autre.
Quand il était petit, Martin Page n’avait qu’une idée en tête : « s’en sortir ». Dans ses romans, le monde est une fiction et l’imaginaire, une manière de résister à la réalité. À travers Le zoo des légumes, il nous montre comment regarder le monde avec intelligence et imagination pour mieux vivre le présent : « L’enfance n’est pas le bon moment pour vivre son enfance. Il faut la protéger, la préserver, la réserver. Et la vivre tout au long de notre vie. »
Vous rêvez de passer des vacances au bout du monde ? Hannah le fait. Le Bout du Monde, c’est là qu’est partie habiter sa grand-mère. Un endroit perdu à l’est de l’Australie. La première ville est à soixante kilomètres, le premier voisin presque aussi loin. Même la pluie ne sait plus où ça se trouve. Ici, on peut se consacrer aux deux choses les plus importantes : vivre en pleine nature et lire, sans être dérangé par personne. On peut aussi garder ses secrets. Et elle en a, des secrets, sa grand-mère. Des secrets qui remontent à des temps très anciens. Des secrets qui ont la forme d’empreintes et de touffes de poils. Des secrets de la plus haute importance. Des secrets qui font battre le cœur, et même un peu trop vite.
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d'ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n'a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d'Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu'au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres filles de la classe avaient déjà remarqué...
Marcus s’est fait mordre par sa grand-mère. Elle a voulu regarder Les chiffres et les lettres à la télé. Mais il a refusé de changer de chaîne tant que son film n’était pas fini. Alors elle a essayé de lui arracher la télécommande des mains et il a résisté. Elle l’a mordu. On peut encore voir la trace des dents sur son poignet. Pourtant, personne ne le croit. Une grand-mère, ça ne mord pas ! lui répondent les adultes. La preuve que si ! En plus, sa grand-mère n’est même pas grondée pour ce qu’elle a fait. Sa copine Fleur est la seule à le comprendre. Elle aussi a une grand-mère « totalement abominable ». Elle propose à Marcus de faire partie des VMV, l’association des Victimes des Mémés Violentes. Leur devise : OEil pour oeil, dent pour dent…
Un jour, mamie Colette a cessé d'être comme avant, pimpante, fringante, marrante. Elle est partie en vélo chercher de la farine pour des crêpes. Elle est revenue à pied, avec du sucre en poudre. Ce jour-là, elle a confié un secret à Antoine : « Ta mamie vieillit. » Un secret à ne dire à personne. Le problème, c'est que maintenant tout le monde est au courant. Mamie Colette est enfermée dans une maison pour les gens comme elle. Elle sent mauvais, elle fait peur à Antoine. Il ne veut plus aller la voir. Il n'y a que des vieux dans cet endroit. Pourtant, un jour, Antoine croise une fille dans les couloirs. Une vraie fille, ni infirmière ni malade. Elle est belle, elle est franche et directe, elle est joyeuse dans cette ambiance de mort. Antoine veut comprendre.
Lucien n’aime pas grand-chose, dans la vie, à deux exceptions près : son amoureuse Fatou et son ami Croûton. En tête de la longue liste des choses qu’il n’aime pas, il y a le lundi. Et le lundi risque bien d’être détrôné par le mardi. Car ce matin où la vie de Lucien bascule, ce matin apparemment comme tous les autres dont Lucien aurait pourtant dû se méfier, est précisément un mardi. Un vrai mardi maudit. Tout d’abord, Fatou que Lucien aime tant, et dont il se croyait tant aimé, prononce sept mots terribles. Des mots qui vont tout changer. Ensuite, sa Mamie, qui a soixante-neuf ans, annonce qu’elle va se marier. Il n’est pas exclu qu’elle soit devenue folle. La conséquence de tout cela, c’est que Lucien va se brouiller avec Croûton, oui Croûton, son ami de toujours, le seul garçon de quatrième qui puisse parler de ses peluches sans être ridicule. Le mariage de Mamie est prévu pour mardi prochain. La séparation avec Fatou aussi. Croûton est aux abonnés absents. Courage, Lucien, il te reste cinq jours pour vaincre cette malédiction.