Thème « gourmandise »
Émile, malin matou des rues, n'en fait qu'à sa tête. Ou, plutôt, qu'à son appétit. Car l'unique préoccupation de ce gourmand, c'est de dénicher de quoi se régaler. Mais pas question de partager avec les autres chats du quartier ! Seulement voilà, il y a Lucette... Émile tombe amoureux de la belle minette. Entre les raisons du coeur et celles de l'estomac, il va devoir choisir... Avec humour et malice, Émile découvre les difficultés et les joies du partage !
Si on plante un bonbon dans la terre, si on lui chante des chansons et qu'on est très patient, va-t-il se mettre à pousser ?
Le gâteau pour Mamie est prêt. C'est Jeannot qui doit le lui apporter. C'est fragile. Il faut le tenir bien droit, mais en marchant, ce n'est pas évident. Aïe, quelque chose a bougé. C'est un petit chou qui s'est détaché. Il n'y a qu'une solution, se dit Jeannot : le manger. Un chou en moins, ça ne se remarque pas beaucoup.
« Je t'ai vu ! » crie l'écureuil à Jeannot. « Ca a l'air bon. Donne-moi juste un chou et je ne dirai rien à ta maman. »
Deux choux en moins, ça ne se voit pas tellement. Le problème, c'est qu'en chemin, Jeannot va aussi rencontrer la pie, la souris et le renard...
Simon a beau être un Superlapin, ses goûts en matière d’alimentation ne sont pas supervariés… Quand sa maman l’appelle pour manger ses tartines, quand son papa lui dit de finir son bifteck et ses légumes, Simon répond : « Pouah ! Berk ! C’est pas bon ! » Lui, tout ce qu’il veut, c’est manger des pâtes, un point c’est tout. Mais que se passe-t-il quand Maman fait du gâteau au chocolat, et que la condition pour en avoir un gros morceau, c’est de manger d’abord... sa soupe ?
La princesse coquette est de retour... et quel appétit d'oiseau ! Ou serait-ce un caprice de coquette ?
Une nouvelle aventure de Tromboline et Foulbazar, les poussins qui ont toujours une bonne idée en tête.
Aujourd'hui, ce n'est pas un jour comme les autres. C'est la fête d'Anne Hiversère. Les poussins vont lui construire un grand château. Pour cela, ils vont aller chercher du chocolat dans leur mine de chocolat. Il leur faudra aussi du sucre et de la farine. Et pour avoir du lait, ils iront traire la très très grande vache. Ensuite, ils inviteront des centaines d'amis. Presque tous les personnages de tous les livres et de toutes les histoires qu'ils connaissent. Quand le château sera prêt, ils entreront à l'intérieur et ils le mangeront. Avec tous leurs amis et avec Anne Hiversère. Ce sera une grande et belle fête. Tout va très bien se passer. C'est Blaise, le poussin masqué, qui s'occupe de tout.
Maman me dit tout le temps : « Bouboule, tu vas être malade à manger autant de gâteaux. Tu vas faire des cauchemars ! » C'est vrai que nous mangeons beaucoup de gâteaux, mon chien Baballe et moi. Mais il n'est pas né le gâteau qui nous rendra malades !
Comment Monsieur Racine, receveur des contributions directes en retraite, devint l'ami d'un animal étrange et inconnu, amateur de crème glacée.
On m’appelle Bonheur à cause de mes moustaches arc-en-ciel. Qu’il fasse beau ou qu’il pleuve, je suis toujours joyeux. Mais alors que j’apporte des graines à mon ami monsieur Zibou, elles tombent et se mélangent ! À quoi ressemblera cette plantation du destin ?
Alex, le cochon gourmand, se penche pour cueillir des framboises lorsqu'il voit soudain une grande ombre derrière lui... Un monstre énorme l'attrape et s'apprête à le dévorer. « Monstre, ne me mange pas ! » crie Alex en tremblant. Le monstre ne l'écoute pas. Il regarde les fruits. « Des framboises ! dit-il. Je vais les déguster. Toi, le cochon, je te mangerai tout à l'heure. » Et le monstre met Alex dans sa poche.
« Tu as appris tes leçons ? Tu as fait tes devoirs ? Qu’est-ce que tu lis ? Tu as pensé à écrire à Mamie ? »
C’est marrant comme la vie de famille est pareille, et comme les pères débitent les mêmes phrases, qu’ils soient humains ou crocodiles, de part et d’autre d’un palier d’immeuble !
Dans cette histoire complètement loufoque mais à la symétrie parfaite, on apprend tout de même à distinguer les petites filles et les bébés crocodiles : la viande de l’un sent la vase, celle de l’autre est beaucoup trop sucrée…