Thème « géographie »
Le Yéti, Nessie, Dracula, l’île de Pâques, le lac aux diamants, le Graal, les pyramides, Stonehenge, l’Atlantide, le Triangle des Bermudes, quel est le point commun entre ces créatures, ces lieux, ces édifices et ces phénomènes ? Ils sont tous étranges, bizarres, inexpliqués, fascinants, en un mot : mystérieux. Mais rien qu’à les voir dessinés, rassemblés, et légendés dans cet Atlas inépuisable... tout s’éclaire !
C'est l'automne. Un petit ours et sa mère sont en quête de nourriture afin de préparer les longs mois d'hiver. Ils grimpent sur un arbre et se régalent de raisin sauvage. Au loin il y a une rivière. C'est l'occasion pour le jeune ourson d'essayer d'attraper son premier saumon.
Avec ses amis, Benji le mouton et Suzana la chèvre, Nora part à la chasse au trésor. Il leur faudra beaucoup de courage. Le plan parle d'animaux féroces et même d'un crocodile !
Il existe encore, de par le monde, en Inde, au Brésil, en Afrique, des fermes traditionnelles où humains et animaux vivent en bonne intelligence, où les rythmes de la nature sont respectés, où les gestes essentiels sont faits à la main. Il en existe aussi pas si loin de chez nous.
Philippe Dumas a été le voisin de la ferme de Cogges, près d’Oxford, en Angleterre. Dans cet album qui rend hommage à l’harmonie d’une certaine vie campagnarde, jamais l’expression « sur le vif » n’avait été plus juste.
La semaine où Marc a eu une grosse fièvre, Oncle Edouard lui a envoyé une petite boîte. Quand Marc l'a ouverte, un nuage d'éphémères s'en est échappé et s'est envolé par la fenêtre. Marc s'est alors aperçu que le quartier tout entier avait disparu. À la place de la rue coulait une rivière.
Jojo est un type bien, gentil, généreux, toujours prêt à rendre service.
Qui aide les vieilles personnes à traverser le boulevard de la Jungle ? Lui. Qui parle très fort dans l’oreille des sourds ? Encore lui. Qui change les couches d’Ozone, le bébé géant, plusieurs fois par jour ? Toujours lui.
Et au fait, qui n’a de cesse de répéter que Jojo de la jungle, c’est un type bien ? Mais… c’est lui. Alors là, il faudrait peut-être commencer à se méfier de lui. Non ?
Le peintre Zhang Zeduan vivait à Kaifeng, siège de la dynastie des Song, du temps où cette ville était la capitale du commerce et des arts de l’empire chinois. Mitsumasa Anno a rêvé d’être son apprenti, et d’égaler son sens de l’observation et de la beauté, sa minutie.
Par-delà les siècles, il réalise cette communion avec son maître idéal en s’inspirant du rouleau de dessins laissé par celui-ci, et en accomplissant un voyage sur ses traces, le long du fleuve Jaune, au fil des travaux et des jours, dans une Chine éternelle.
Il n’a jamais vu l’original, le rouleau de sumie (encre de chine). Des copies seulement, petit bout par petit bout. Mais quand il s’est mis à peindre son Album de voyage en Chine (titre original du livre), Mitsumasa Anno connaissait par coeur son « Jour de Qingming », et il a voulu emprunter le même chemin que son maître Zhang Zeduan, celui qui consiste à « remonter le cours de la rivière », de ce fleuve Jaune que les anciens Chinois tenaient pour la mère de leur civilisation.
Oubliez vos certitudes. De Paris, vous ne connaissez que la partie émergée de l'iceberg. Sous l'asphalte, il y a le monde des Zéfirottes. Sachez d'abord que Paris est entièrement gonflable, comme toutes les constructions humaines, et s'effondrerait sans la technologie sophistiquée et les efforts constants des Zéfirottes. Sans les Zéfirottes, qui sont là depuis toujours, les humains n'iraient pas bien loin. Même la Terre est pilotée par un Zéfirotte. Mais cette nuit, Paris est en danger, et les Zéfirottes ont besoin d'aide. Non loin de Notre-Dame, une petite fille dort dans sa chambre, elle s'appelle Adèle. Elle seule peut aider les Zéfirottes à vaincre la monstrueuse mauvaise herbe qui prolifère sous Paris et paralyse peu à peu leurs machines. Mais il faut faire très vite...
Une visite époustouflante de et sous Paris. C'est l'un des livres les plus foisonnants et les plus impressionnants de Claude Ponti.
Le héros de cette bande dessinée, c'est le lecteur. À lui de résoudre le mystère des vols commis au Louvre et de découvrir le secret du pharaon...
Soyez à nouveau un héros dans : « Lulu a disparu » et « Panique au cirque ».
1900. Annie Edson Taylor est une veuve de 62 ans au bout du rouleau. Elle n’a plus un seul élève à son cours de danse et de maintien. Alors Annie réfléchit. Que désire-t-elle ? La fortune et la gloire. Quel est son meilleur souvenir d’enfance ? Les chutes du Niagara, découvertes à neuf ans, avec son père. Souvenir et désir se mêlent : Annie va braver les chutes et devenir célèbre ! Au début, tout le monde la prend pour une folle. N’empêche : le premier homme à avoir descendu seul les célèbres chutes fut une femme : elle !
Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas une allégorie ni un récit fantastique que Chris Van Allsburg nous livre avec La reine du Niagara, mais une histoire vraie. Il l’a découverte en 1974 dans un article de magazine et s’est aussitôt demandé pourquoi diable il n’en avait pas entendu parler plus tôt, puisque l’exploit datait de 1901 ! Peut-être parce que Annie était une femme, et d’âge canonique, qui plus est ?
Quoi qu’il en soit, la lacune est réparée grâce à cet album, mythique et initiatique, finalement très cohérent avec l’oeuvre de Chris !
Quand il était petit, Han Gan adorait dessiner. Il aimait par-dessus tout dessiner des chevaux, et toujours il voulait qu'ils aient l'air le plus vivant possible. Il était si doué que l'Empereur entendit parler de lui, et le fit entrer à l'Académie des peintres officiels. Mais là, Han Gan ne voulut peindre que des chevaux, et toujours attachés. Quand ses collègues lui demandèrent pourquoi, il répondit que ses chevaux étaient si vivants qu'ils pourraient sortir du papier. Une nuit, un valeureux guerrier vint frapper à la porte de Han Gan. Il lui dit que le pays était en danger, qu'il devait partir se battre demain, et lui demanda de faire apparaître pour lui le plus fougueux et le plus vaillant des coursiers. Han Gan se mit au travail... Il ne savait pas encore qu'il allait donner vie cette nuit-là à un cheval invincible, au caractère noble et indomptable.
Qu'est-ce qu'un livre d'images ? Un livre dans lequel les images parlent. Parfois, elles parlent si bien, qu'il n'y a même plus besoin de texte. Les yeux voyagent et découvrent les paysages et l'histoire du Danemark. Au Danemark, il y a d'abord la mer, et puis des champs, des champs très verts. Sauf quand la neige les recouvre entièrement et, soudain, le fond de la page est tout blanc. Admirons Copenhague. Tiens ! N'est-ce pas la maison où a vécu Hans Christian Andersen ? Pour lui rendre hommage, Mitsumasa Anno a glissé dans chaque image un ou plusieurs personnages des contes du merveilleux écrivain danois. Cherchez la marchande d'allumettes, la reine des neiges, la petite sirène, le soldat de plomb, le vilain petit canard et encore bien d'autres, ils sont tous cachés dans ces pages.
Sur le fleuve l’Ongoh vivent d’un côté les Oolong (qui élèvent un bébé fille en garçon), et de l’autre les Dong-Ding (qui élèvent un bébé garçon en fille). Leur vie se déroule tranquillement, comme le cours du fleuve, jusqu’au jour où un monstre terrificateur apparaît, menaçant de dévorer tous les parents s’il n’obtient pas la potion qui le rendra éternel...
Une pauvre veuve cousait du matin au soir des kimonos pour les riches dames de la ville. Elle se désespérait car son fils passait sa vie à dormir. On l'appelait : « le garçon qui ferait la sieste trois ans. » Paresseux, Taro l'était, mais cependant, il ne manquait pas de cervelle...
Des pêcheurs en barque, des chevaux, des cerisiers en fleur, des champs à taille humaine cultivés à la main, des rizières, des jeux, des courses, des fêtes, un train à vapeur, des vélos, des charrettes, des défilés, des fanfares, des moissons, des récoltes, des moulins, des toits de chaume. Dans ce Japon encore rural, celui de l’enfance de l’auteur, l’électricité est peut-être plus rare qu’aujourd’hui, mais la vie est là, en abondance, simple et tranquille. Et si le progrès, le vrai, consistait à retrouver la douceur de vivre mieux avec moins ?
Dans la forêt des montagnes d'Hokkaido, l'hiver est froid et silencieux. Sur la neige crissent faiblement les pas d'un animal... C'est le renard ! Le renard a faim. Par cette nuit glaciale, le froid transperce l'épaisseur de sa fourrure hivernale.