Thème « généalogie »
Les dunes de sable, le désert de Mauritanie et son grand-père Hassen, le chamelier : Yani ne les avait jamais vus. C’est la première fois que sa mère l’emmène à la découverte du pays où elle a grandi, avant de partir étudier la médecine. Un monde si proche et si loin à la fois, que Yani imaginait à peine, avec sa chaleur écrasante et la beauté infinie du ciel étoilé. Mais le temps presse : Hassen veut à tout prix transmettre à Yani l’art ancestral de guider un troupeau à travers les mille pièges du désert, jusqu’à l’oasis bienfaitrice. Et voilà Yani à la tête de 114 chamelles…
Dans cette troisième grande aventure au Pays des Chintiens, nous voyagerons avec Killiok le chien noir, Véronica son amie et Pikkeli Mimou. Ce dernier a reçu un courrier mystérieux contenant une clé lui annonçant que le Château des Mimous l'attend. Le voyage des trois amis est semé de rencontres familières plus ou moins agréables afin de retrouver les souvenirs enfouis de Pikkeli.
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d'ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n'a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d'Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu'au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres filles de la classe avaient déjà remarqué...
Malo de Lange est le fils de personne. Rien ne permet d’identifier l’enfant recueilli en 1822 par l’abbé Pigrièche à l’orphelinat de Tours. Rien, sauf une marque sur son épaule, la fleur de lys des bagnards que découvrent, horrifiées, les demoiselles de Lange qui viennent de l’adopter.
De l’aventure ! Il n’a que douze ans, il est à peine éduqué, et déjà le voilà arraché à ses tantes adoptives par un certain Riflard, une brute qui se prétend son père, mais qui le bat et le séquestre. Malo parvient à s’échapper et part sur les routes à la recherche de son vrai père.
De l’amour ! Elle s’appelle Léonie de Bonnechose, elle est belle, elle est riche. Malo a décidé que c’était sa fiancée, mais elle n’est pas au courant. Gagnera-t-il son coeur ? Aimera-t-elle le fils du voleur ?
Un héros partagé entre le bien et le mal ! Vagabond, bonimenteur, voleur à la tire, escorté du petit Craquelin, du gros Bourguignon et de La Bouillie qui lui apprend à jaspiner l’argot, Malo se retrouve avec sa bande à la taverne du Lapin volant, un repaire de voleurs et d’assassins. C’est le Lapin volant qui connaît le secret de sa naissance, Malo en est persuadé. Oui, mais gare ! À force de fréquenter la canaille, Malo risque de s’enfoncer dans le crime comme le couteau dans le beurre…
Retrouvez la suite des aventures de Malo de Lange dans :
Malo de Lange, fils de Personne et Malo de Lange et le fils du roi.
Sa mère lui a confié dans un soupir que, la veille de sa naissance, son père avait besoin de souffler et qu'il était sorti prendre l'air. Alizé en déduit que le père qu'elle n'a jamais vu est le Vent. Ni plus ni moins. Mi-dieu, mi-force de la Nature. Exceptionnel et grandiose, en tout cas. Aussi, quand, au cours de vacances au bord de la mer, elle tombe amoureuse du beau moniteur de windsurf, Alizé pense que son destin s'accomplit : la fille du Vent ne peut s'unir qu'à un sublime sportif qui ne manque pas d'air... Mais voilà qu'un jour, enhardie, elle dérive trop loin, perd tout le monde de vue et arrive au bord de la terre : un précipice, précédé d'une plage de ciment. Et sur cette plage, deux canapés en velours côtelé jaune. Sur celui de gauche, un écriteau, « Réservé à ceux ». Elle choisit l'autre. Sans pouvoir deviner ce qui l'attend.
Dans la vie d’Hector il y a :
• un héros (c’est lui) ;
• un lieu ou deux (la maison et l’école) ;
• une personne qui aide le héros (son ami Elliot, ou parfois sa soeur Ludivine) ;
• un but à atteindre (rester le maître de sa vie).
Et il y a aussi :
• une faiblesse (Hector a peur) ;
• un méchant (on le découvrira bientôt) ;
• un événement imprévisible (ou même plusieurs) ;
• et des rebondissements.
Pas de doute, la vie d’Hector ressemble à une série télévisée. Mais comment devenir vraiment un héros ? Il va falloir être à la hauteur.
On a l'impression que Gabriel voit le monde de très haut. Il y a une sorte de cour autour de lui. Des amis qui viennent dans sa chambre de bonne, pour passer le temps et fumer des cigarettes. Des amis qui lui reprochent tous secrètement quelque chose. Les cadeaux somptueux qu'il offre, ses sautes d'humeur. Il ne m'aime pas, se répète Laura, sa petite amie. Pour qui il se prend, disent les autres. Et d'où tient-il son argent ? C'est peut-être un dealer. Le secret de Gabriel est ailleurs. Il est dans les aéroports, et dans le tableau accroché au-dessus de son lit. La seule personne à qui Gabriel pourrait en parler, c'est Samuel Pichet, qui ne fait partie d'aucune bande, et qui ne traîne jamais à la sortie des cours parce qu'il a un pacte avec sa petite soeur.
Qui sont les vrais parents de Polyxène ? Les seuls indices qu'elle ait pour les retrouver sont un petit pendentif de corail en forme de poisson, un morceau de tissu noir, rêche et sale, aux bords déchirés, une chaussette en soie rouge et une sorte de couverture rayée, aussi longue qu'étroite. Polyxène est-elle la fille du roi, la fille d'un mendiant, la fille d'un pêcheur ? A-t-elle été volée ou délibérément abandonnée ? Est-elle orpheline ou ses parents sont-ils encore en vie ? Chacun des indices va parler à tour de rôle, chacun va dévoiler une parcelle de vérité, toujours plus difficile à croire. Car l'histoire de Polyxène est plus étonnante que tout ce qu'elle aurait jamais pu imaginer.
On les appelle les EANA : les élèves allophones nouvellement arrivés. Ils viennent d’un peu partout. De Bulgarie, de Turquie, de Corée, de Grande-Bretagne ou, comme Luca, de Roumanie. Ils sont là pour un temps ou pour longtemps. Ils viennent avec leurs histoires, simples ou heurtées. C’est peut-être le travail de leurs parents qui les a amenés là, ou bien l’absence de travail. Parfois l’espoir, parfois l’absence d’espoir. Ils parlent un français dansant, boiteux, drôle. Ils portent des rêves puissants et fragiles, celui de devenir champion de Rubik’s Cube ou virtuose du violon. C’est pour toutes ces raisons qu’ils sont venus à Paris, dans la Ville lumière. Mais la lumière a aussi ses ombres.
Olia s'y connaît un peu en secrets. Ses parents sont les gardiens du château de Mila, un palais aux dômes dorés, aux jardins luxuriants et aux innombrables pièces. Il y a celles qui apparaissent et disparaissent, et des celles qui se cachent depuis des siècles. La seule personne à pouvoir y accéder est Olia. Alors qu'elle cherche un refuge lors d'une violente tempête, elle tombe sur un passage secret qui mène à une partie du château qu'elle n'a jamais vue auparavant. Un étrange réseau de pièces qui cache le secret du passé du palais... et la vérité sur ceux qui tentent de le détruire.
Je m’appelle Corneille. Quand je n’étais qu’un bébé, quelqu’un m’a déposée dans un vieux rafiot et m’a poussée en haute mer. Je me suis échouée sur une toute petite île. C’est Osh qui m’a trouvée et qui m’a recueillie. Pendant longtemps, j’ai été heureuse de vivre avec lui, d’apprendre à pêcher et à lire avec Miss Maggie, notre voisine. Et puis, une nuit, j’ai vu brûler un feu sur l’île de Penikese où personne n’allait jamais. J’ai décidé que le temps était venu de savoir qui j’étais. Et pourquoi tant d’habitants de l’île m’évitaient comme s’ils avaient peur…
Malo de Lange est le fils de personne. Rien ne permet d’identifier l’enfant recueilli en 1822 par l’abbé Pigrièche à l’orphelinat de Tours. Rien, sauf une marque tatouée sur son épaule, la fleur de lys des bagnards que découvrent, horrifiées, les demoiselles de Lange qui viennent de l’adopter. Quels mystères se cachent derrière l’abandon de ce mystérieux enfant blond ? Quelle est donc sa véritable identité ?
Un roman d’aventures écrit à la mode des feuilletons du XIXe siècle, qui plonge le lecteur au cœur des rues du Paris de 1822, dans les ombres desquelles se tapissent bandits, voleurs et assassins.
Et revoici Émilien, le héros de « Baby-sitter blues » ! Sa mère pense qu'il manque cruellement d'un modèle identificatoire masculin. D'un homme, quoi. D'un père. Lui qui n'a même pas une photo du sien. Aussi, tandis qu'elle essaie en douce de refaire sa vie, elle envoie Émilien en vacances chez son oncle Marc, beau gosse, sportif, tellement dans le coup qu'il en est fatigant pour un adolescent. Mais, quand Émilien commence tout juste à le supporter, sa mère le rappelle d'urgence : Martial, le père inconnu, vient de mourir en laissant un tas de pièces d'or, sesterces, écus... accumulés en écumant les bords de Loire. Martial était joueur : Émilien doit se montrer digne de son héritage en traversant un véritable jeu de piste pour le retrouver, avec messages codés, pièges et rebondissements. Escorté de Valentin, l'énigmatique frère de Martial, Émilien va croiser sur sa route des vieilles dames qui font tourner les tables, un curé pendule et un moulin fantôme ! Alors, ce trésor, on va le chercher ?
« Normalement, c'est dans les greniers des grand-mères qu'on découvre des secrets de famille. Pour moi, ce fut dans le garage de ma tante Fabienne. Les vacances d'été se terminaient et j'avais douze ans. Ma soeur m'a crié de venir à table. J'ai mangé. Ensuite, nous avons fait la vaisselle et mon frère a aidé mon oncle à poncer un plancher. Les mots dansaient devant mes yeux Il n'y a plus aucun doute à présent. J'ai fait le test. Paul revient de Turquie dans un mois. Il sera trop tard, alors, pour arrêter quoi que ce soit. je n'ai rien dit à Gilles. Viens me voir, Fabienne, viens vite. J'ai besoin de toi... C'était l'écriture de maman. La lettre était datée de juillet 1982. Huit mois avant ma naissance.»
Ce soir, les parents d'Henri vont à l'opéra. Le front et les joues brûlants - il a une angine - il ouvre une porte d'armoire, et sa vie bascule. Dans la poche d'un veston de son père, il y a la photo d'une femme et ces mots : Anna qui t'aime. À la poursuite d'Anna, qui l'aimerait peut-être lui, Henri, s'il la trouvait, qui l'aimerait sûrement mieux en tout cas que sa mère aux yeux secs, Henri va se cogner dans un monde dont il ne soupçonne pas la dureté. Sur les marches de l'Opéra Bastille, il rencontre Waldo et Angela, il leur fait confiance, il a tort. La vie n'est pas comme dans les livres où il s'est toujours réfugié. La vraie vie est bête, et cruelle. Henri court à la catastrophe, le coeur rempli d'espoir et d'amour.
Sylvain, le grand frère de Thomas, a quitté la maison pour voler de ses propres ailes et leur mère est inconsolable, c’est comme si elle avait un labyrinthe dans la tête. Un jour, elle fait cette révélation à son fils cadet : il est un accident. Comme le Minotaure de la légende, sauf que Thomas n’est pas un monstre qu’on cache. Simplement, sa mère est tombée enceinte de lui alors qu’elle ne voulait qu’un seul enfant, Sylvain. Un samedi pas comme les autres, il part retrouver son meilleur ami Grégoire pour lui annoncer la grande nouvelle. Il décide alors de suivre le fil de son propre labyrinthe : des rencontres étonnantes l’y attendent…