Thème « ferme »
Victime de la propreté excessive de la fermière, Porculus, le goret qui aime tant « la boue si douce » fait une fugue vers la ville... Le voilà, qui, croyant retrouver sa boue, s'embourbe dans le ciment !
Coquette, Susie et Rebecca n’en peuvent plus. Cet imbécile de coq rend impossible la vie au poulailler. Il s’accapare la nourriture, moleste les nouveaux venus, terrorise les poules qui essaient de s’opposer à sa tyrannie.
Un soir, discrètement, Coquette propose à ses amies de s’enfuir. Là-bas, au-delà des champs, loin de ce petit enfer triste et ennuyeux. Le début du voyage sent bon la liberté. Mais trois poulettes toutes seules dans la forêt, par une nuit d’orage : elles ne sont pas rassurées. Elles trouvent bien un abri contre la pluie...
Mais contre cette chose énorme et inconnue qui approche, ce monstre qui crache de la fumée ?
Pablo en a marre de tout. Son travail, le temps pourri, la solitude, le bruit... Il est fatigué, il a besoin de changer d'air. Hop ! Quelques carottes et un parasol dans la valise, et direction la plage ! Hélas, la route est longue et, en chemin, les ennuis recommencent: les averses, la fatigue...
Heureusement, Pablo rencontre l'âne Gaston et ses moutons qui habitent une ferme et l'invitent chez eux. Il va découvrir que, quand on a de vrais amis, on aime tout, même la pluie.
Calpurnia adore les animaux. Son frère Travis aussi. Elle rêve de devenir vétérinaire, plus tard. Lui, ce qu’il aime, c’est les apprivoiser, les prendre sous son aile. Seulement, dans leur ferme au Texas, tous les animaux ne sont pas les bienvenus. Les mouffettes, par exemple. Elles abîment les plantations et volent des légumes. Comment résister pourtant aux cris déchirants d’un bébé mouffette orphelin, seul dans la forêt ? Calpurnia et Travis ne peuvent pas le laisser livré à lui-même… Il va falloir l’aider, sans se faire remarquer. Mais attention… une mouffette peut en cacher une autre !
Calpurnia a deux passions dans la vie : soigner les animaux et observer la nature. Quelle joie alors le jour où son grand-père l’emmène en barque sur la rivière San Marcos ! Là-bas, on peut voir des poissons volants. On peut entendre le chant de l’oiseau moqueur. On peut même y trouver des fossiles de l’époque des dinosaures… Et la nature réserve bien des surprises. Une chouette tombe dans l’eau devant eux. Mais que fait-elle ici ?
Croquis sur le vif d'une ferme d'autrefois. De nos jours, hélas, les fermes ressemblent de plus en plus à des usines et si le genre humain a des efforts à faire, c'est peut-être dans le sens d'un « progrès du progrès ».
Il existe encore, de par le monde, en Inde, au Brésil, en Afrique, des fermes traditionnelles où humains et animaux vivent en bonne intelligence, où les rythmes de la nature sont respectés, où les gestes essentiels sont faits à la main. Il en existe aussi pas si loin de chez nous.
Philippe Dumas a été le voisin de la ferme de Cogges, près d’Oxford, en Angleterre. Dans cet album qui rend hommage à l’harmonie d’une certaine vie campagnarde, jamais l’expression « sur le vif » n’avait été plus juste.
Comme chaque année, à la ferme des Cinq Cerfs, se tenait le grand championnat de mensonges. Kraktère, le cochon, fit un bref discours : « Chers amis, aujourd’hui, nous avons le droit de dire tout ce qui nous passe par la tête ! J’espère que vous avez tous préparé des récits sans queue ni tête et des histoires à dormir debout… » Le concours du meilleur mensonge s’annonce passionnant jusqu’à ce que la réalité s’en mêle !
Comment distinguer le vrai du faux ?
Marion et Luc ont bien de la chance : ils ont un grand copain, Stef, qui les emmène en promenade à la campagne et qui connaît tant de choses... Mais voilà, nos promeneurs sont surpris par la pluie. Vite, fuyons! Et les animaux, où vont-ils quand il pleut? Une aventure documentaire qui parle de la pluie et du soleil, de la campagne et des arcs-en-ciel...
Nicolas passe quelques jours de vacances à la ferme, ou plutôt « aux fermes » puisqu'il y en a deux, voisines l'une de l'autre. Celle de son grand-père, paysan à l'ancienne ; et celle de son oncle Jean, qui préfère qu'on l'appelle « exploitant agricole ». Deux façons très différentes d'envisager le travail de la terre, deux modes de vie presque opposés. Quelle est la meilleure méthode ? Pas forcément la plus moderne. Nicolas repartira avec le sentiment que, dans le domaine de l'agriculture, le « progrès » n'en est peut-être pas toujours un......









