Thème « ferme »
Chez les Dumordu, on est fermier de père en fils. C’est ce qu’Archibald Dumordu a déclaré à son fils Douglas, juste avant de mourir. Malheureusement, il n’a rien eu le temps de lui dire d’autre. Douglas veut bien devenir fermier, mais il ne sait pas traire les vaches, il croit que les carottes poussent dans les arbres, et ne peut conduire le tracteur qu’en marche arrière. Les fermiers des alentours se moquent tous de lui. Le père Tropenjus, c’est certain, ne voudra jamais qu’il épouse sa fille, la charmante Miranda.
Heureusement, il y a une chose que Douglas sait faire, c’est parler aux animaux. C’est une chance, car dans son poulailler, il y a un poulet qui s’appelle Ernest, un poulet merveilleux, qui peut transformer sa vie.
C’est un vieux, vieux lutin et il a vu la neige de centaines d’hivers. Il va et vient à pas feutrés dans le clair de lune et veille sur la ferme. Le lutin visite chaque maison et parle à chaque animal dans une petite langue silencieuse qu’eux seuls peuvent comprendre. Les hommes ne le voient jamais, mais parfois, le matin au réveil, les enfants découvrent… d’étranges petits pas dans la neige.
C'est un poème de Noël de Viktor Rydberg (Suède, 1828 - 1895) qui a inspiré ce texte à Astrid Lindgren (Suède, 1907 - 2002).
En 2010, Kitty Crowther a reçu le prix Astrid Lindgren Memorial Award pour l’ensemble de son oeuvre.
Comment naissent les poneys ? À quoi ressemble leur vie avant que nous puissions monter sur leur dos au poney-club ? Que mangent-ils ? Comment ont-ils appris tout ce qu’ils savent : marcher au pas, au trot, au galop, garder le licol, tourner en rond au bout d’une longe, porter la selle ? Grâce à Brimborion, à son amie Babiole et à tous leurs copains, nous découvrons toutes les étapes du dressage des poneys.
Léon le pigeon rapporte une surprise d'Amérique. Une drôle de surprise qu'il va déposer en cachette dans le poulailler. Lorsque Mira, la vieille poule se réveille, elle n'en croit pas ses yeux myopes : « Un oeuf ! s'écrie-t-elle ! J'ai pondu un oeuf ! »
Victime de la propreté excessive de la fermière, Porculus, le goret qui aime tant « la boue si douce » fait une fugue vers la ville... Le voilà, qui, croyant retrouver sa boue, s'embourbe dans le ciment !
Coquette, Susie et Rebecca n’en peuvent plus. Cet imbécile de coq rend impossible la vie au poulailler. Il s’accapare la nourriture, moleste les nouveaux venus, terrorise les poules qui essaient de s’opposer à sa tyrannie.
Un soir, discrètement, Coquette propose à ses amies de s’enfuir. Là-bas, au-delà des champs, loin de ce petit enfer triste et ennuyeux. Le début du voyage sent bon la liberté. Mais trois poulettes toutes seules dans la forêt, par une nuit d’orage : elles ne sont pas rassurées. Elles trouvent bien un abri contre la pluie...
Mais contre cette chose énorme et inconnue qui approche, ce monstre qui crache de la fumée ?
Pablo en a marre de tout. Son travail, le temps pourri, la solitude, le bruit... Il est fatigué, il a besoin de changer d'air. Hop ! Quelques carottes et un parasol dans la valise, et direction la plage ! Hélas, la route est longue et, en chemin, les ennuis recommencent: les averses, la fatigue...
Heureusement, Pablo rencontre l'âne Gaston et ses moutons qui habitent une ferme et l'invitent chez eux. Il va découvrir que, quand on a de vrais amis, on aime tout, même la pluie.






