Thème « famille recomposée, remariage »
« Moi, j'aime bien pêcher avec Papa. Enfin, j'aimais bien... avant. Maintenant, je n'ai plus très envie. Mais je n'oserais jamais le dire à Papa. Ça lui ferait trop de peine. Il est si heureux de pêcher avec moi ! Alors, je fais semblant d'être content... »
On raconte qu’autrefois il existait un ogre, un tout petit ogre, qui habitait dans un soulier. Les ogres sont méchants, c’est bien connu. Mais si celui-ci n’était pas comme les autres ? Un conte de fées moderne, ode à la famille, à l’amitié et à la nature, par deux auteurs incontournables de la littérature jeunesse.
Titou vit seul avec sa maman, Brigitte, et il est très heureux comme ça. Mais Brigitte se met en tête que Titou a besoin d’un père, et elle part à sa recherche. Un peu n’importe comment, il faut le reconnaître… Elle se demande si un asticot, un cheval ou un vieux grigou de hibou feraient l’affaire… Non ! Pourtant, un jour, Brigitte tombe sous le charme d’un oiseau, comme elle. Il est grand, il est beau, il sent bon le maïs chaud, et là, finies les questions : c’est lui !
« Papa ! Papa Ours ! Papours ! » Pour Papa, ces cris de joie sont les plus beaux cris qui soient. Car ce sont ceux de ses deux petits : Paul et Fanny. Il ne les voit pas tous les jours depuis qu'il a quitté Maman Ours, mais quand il les voit c'est pour deux jours et deux nuits. Deux jours et deux nuits à faire les fous, à manger des pizzas ou du hachis parmentier, à regarder les couchers de soleil et à faire des puzzles avec le bleu du ciel. C'est un Papa qui aime ses enfants plus que tout au monde... tout simplement.
Les parents de Pauline viennent de se séparer. Elle part en vacances au bord de la mer, sans sa mère ni sa sœur mais avec son père et l’Autre, sa nouvelle compagne, et sa fille Jenna. Bonjour les séances de plage et de crème solaire, bonjour les manies de fifilles. Ça, c’est trop pour Pauline. Alors elle a un plan : elle va les pourrir, et tout redeviendra comme avant. Et jusqu’où conduit la tactique du pire ?
Rester soudés : c’est ce qu’on s’est dit avec Delphine quand on s’est installés avec papa chez Pierrette. Rester soudés devant ses gratins de choux-fleurs, ses napperons orange et ses deux enfants débiles. Je vis donc chez Porcinet qui pleure dès qu’il s’arrête sur la case prison du Monopoly et qui m’interdit de toucher à ses petites voitures. Delphine, elle, a déclaré la guerre à Marie-Neige : elle l’a carrément mordue ! À part ça, tout va bien. Parce qu’on a un plan. Papa va quitter Pierrette, mais il ne le sait pas encore. Et nous, on va bien rigoler !
Si Hector possédait une baguette magique, il ne serait sûrement pas assis dans cette voiture, direction la Normandie, avec sa mère et son beau-père. Et pour commencer, sa mère n’aurait jamais épousé l’affreux, le lamentable Norbert. Cerise sur le gâteau, Hector vient d’apprendre que le frère de Norbert, qui va les héberger pour les vacances, ne dirige pas un hôtel mais une maison de retraite, Les Sapins bleus. Pourtant, dans cette atmosphère totalement déprimante, il se passe quelque chose. Sur la plage, Hector tombe amoureux d’Alma, qui est très blonde et aussi délicate qu’un nuage de Chantilly. Alma est également très autoritaire, et détient de drôles de pouvoirs : en l’espace de quelques jours, elle va transformer Hector en star hollywoodienne, en faussaire, en traître et même en voleur. Heureusement, il y a une seconde fille dans cette histoire. Elle s’appelle Denise, et elle a décidé de veiller sur Hector.
Malcolm est sûr de lui : « Régis est amoureux, il doit déclarer sa flamme à Olga. » Mais je ne suis pas du tout d'accord. D'abord, mon oncle est amoureux de Versailles, des jardins dont il s'occupe, de la nature, mais… d'une femme ? Et puis si c'est vrai, ça voudrait dire qu'on n'habiterait plus tous les deux. En plus, ma souris a disparu, j'ai déjà assez d'ennuis comme ça.
La vie, ça vaut le coup est la suite, écrite dans la foulée, de Unis pour la vie. Trois autres volumes des aventures de Pauline sont déjà parus aux Pays-Bas.
Dans Unis pour la vie, Pauline avait des soucis : un PC (Père Compliqué), un instituteur amoureux de sa mère, et un soupirant marocain, Mimoun, qui voulait lui interdire de devenir poète.
Dans La vie, ça vaut le coup, ces soucis s'aggravent. L'instituteur veut épouser sa mère, Mimoun doit repartir au Maroc. Quant à Spiek, son père poète maudit, non seulement il n'a toujours pas écrit une ligne, mais il est maintenant à la rue, accro à toutes sortes de saletés, obligé par ses démons à voler et même à mentir à sa propre fille.
Heureusement, il y a Pauline le veau, l'animal préféré de Pauline, chez ses grands-parents à la campagne. Il y a la poésie et la gentillesse, les deux armes de Pauline pour encourager Spiek à arrêter la drogue...
Hal a l’air bête. Je sais qu’il n’est pas bête en réalité, il a la tête ailleurs, c’est tout. N’empêche, parfois, on pourrait s’y tromper. Quand je lui ai fait remarquer que ce n’était pas la meilleure idée de peindre son cerf-volant en bleu ciel ; il m’a simplement répondu – tenez-vous bien – qu’il fallait qu’il soit bleu. Bleu comme le vendredi. Non, mais on rêve ! Il a ajouté que dans sa tête le vendredi c’était bleu, avec un petit goût de sorbet citron. L’intérieur de sa tête doit être un endroit drôlement bizarre, non ? Même si parfois je fais d’énormes efforts pour le comprendre, Hal et moi on est amis depuis le jardin d’enfance. Je suis de son côté. Quoi qu’il arrive. Quand il m’a avoué qu’il avait un plan pour se débarrasser d’Alec, son futur beau-père, j’étais plutôt curieuse. Ce que Hal avait inventé risquait d’être un truc assez dingue…
Claudia, Colin, Ralph, Pixie et Robbo se retrouvent coincés par une nuit de tempête dans un château soi-disant hanté. L'excursion organisée par l'école pourrait tourner au cauchemar, d'autant qu'a priori, ces cinq là n'ont rien pour s'entendre; mais la surprise qui attend nos héros n'a ni dents de vampire, ni drap blanc sur la tête. En découvrant un vieil album dans lequel, cent ans plus tôt, un jeune garçon avait raconté le re-mariage catastrophique de sa mère, ils se rendent compte qu'ils ont tous, contrairement aux apparences, quelque chose en commun. Chacun d'eux vit dans une « famille recomposée » avec belle-mère, beau-père, demi-soeur, frère par alliance, etc... L'un après l'autre, ils racontent leur histoire, en riant, en s'énervant, en pleurant. Commence alors une sorte de jeu de des sept familles démoniaque, au cours duquel on apprend, entre autres, que la famille modèle n'existe pas, que ce ne sont pas toujours les plus forts qui l'emportent, et que la vie d'une famille toute entière peut changer d'un jour à l'autre à cause d'un chat qui a décidé de faire sa sieste dans un saladier plein de pâte à pain.
Jake ne s’intéresse ni aux filles, ni aux bébés. Ce qui tombe plutôt mal, parce qu’il vient d’avoir une petite sœur. Pire encore, Jake ne s’est pas rendu compte que sa mère était à nouveau enceinte. Personne ne l’a prévenu. Ses parents pensaient que Jake finirait par s’en apercevoir tout seul, mais il ne fait pas attention à ce genre de choses. Il préfère étudier les poissons.
C’est comme cette fille qui habite près de chez lui. Jake ne l’avait jamais remarquée avant de la croiser un soir à l’arrêt de bus. Depuis, il la rencontre partout, au supermarché, dans la rue… Elle s’invite même chez lui comme s’ils se connaissaient depuis toujours.
Finalement, Jake trouve que Stella n’est pas mal pour une fille. Elle aime le foot et la pêche. En plus, elle s’y connaît en bébé : c’est elle qui s’occupe de ses quatre petites sœurs quand ses parents travaillent. Stella serait- elle « l’ami » qui lui manque ?
Jusqu'à hier 17h00, j'étais une fée du logis. Pas évident pour un garçon, mais quand on a un papa qui perd régulièrement ses boutons et qui serait du genre à faire cuire des pâtes sans eau, il faut bien faire un effort. Seulement, il y a des limites. Si vous voulez tout savoir, j'en ai assez de vivre seul avec un savant fou, qui est capable de mettre le feu à la cuisine, tout en oubliant d'éteindre le robinet de la baignoire. Heureusement, ma copine Elsa a eu une idée géniale. « C'est une femme qu'il lui faut ! » m'a-t-elle dit. Elle a raison, mais comment savoir quelle femme pourra tomber amoureuse de mon père ? Elsa a réponse à tout : « Si une femme attrape les joues roses à cause de ton père, c'est qu'elle est prête à l'épouser, » m'a-t-elle répondu. Il paraît que l'amour fait rougir. Il ne nous reste donc plus qu'à trouver les joues roses et la dame qui va avec.
Voilà deux mois que Sylvie, la mère d'Émilien, fréquente un type fourbe et prétentieux qui téléphone sans arrêt à la maison. Voilà des semaines que Xavier Richard, le meilleur pote d'Émilien, passe son temps à se moquer de lui. De lui, mais aussi de Martine-Marie, l'amour de sa vie, celle qu'il épousera dans cinq ans et qui lui donnera quatre enfants, c'est décidé. Voilà quelque temps que Jocelyn, dit Joss, le nouveau de la classe, colle Émilien et ne parle qu'à lui. Joss fait peur. Il vit seul dans des odeurs de cages sales et de poils mouillés, il fait crever les bêtes autour de lui, l'une après l'autre. Il y a des jours où la vie paraît très moche et où l'on n'a qu'une envie : se plonger dans les jeux de rôle. Émilien en a un qui lui conseille de « retourner au clocher d'Abgall où vous êtes attendu ». Il obéirait bien. À condition que ce soit Martine-Marie qui l'attende...
Si Anoushka est devenue très forte en grammaire, c'est à cause de sa situation familiale. À force d'expliquer, par exemple : La dame avec laquelle mon papa habite, ou Le monsieur avec lequel ma maman habite, les relatifs compléments n'ont plus eu de secrets pour elle. Mais alors ont commencé les problèmes de vocabulaire : Tes demi-frères, passe encore, ils sont jumeaux et ils étaient si petits la première fois qu'Anoushka les a vus... c'était sans doute normal qu'on les appelle comme ça. Mais ton beau-père, ta belle-mère, quels mots étranges, vraiment ! Et comment faut-il l'appeler, celui que tout le monde surnomme Frog, qui est de la famille sans en être vraiment, qui a bien failli gâcher les vacances d'Anoushka, et à qui elle a quasiment sauvé la vie ?
Monsieur Blaireau vit seul avec ses enfants tandis que madame Renarde vit seule avec sa fille Roussette.
Mais un jour, des hommes la chassent de chez elle. Où se réfugier ? Le terrier de la famille Blaireau est assez vaste pour tous.
Mais les renards et les blaireaux sont-ils faits pour vivre ensemble ?