Thème « fable et conte »
L'important, c'est ce qui n'est pas visible d'emblée, ce qui se cache, ce qu'on imagine : dans le loup, un Petit Chaperon rouge et sa grand-mère ou alors un gros tas de cailloux, selon le moment où l'on plonge dans le conte...
Personne ne veut aider la petite poule rousse à planter des graines, à faucher le blé, à le battre et à le moudre. Alors, qui mangera le bon pain ?
Connaît-on bien l’histoire du Petit Chaperon… Bleu ? Vert ? Rouge ? C’est quoi un « chaperon » ? Une robe ? Un pyjama ? De qui doit se méfier le Petit Chaperon dans la forêt ? D’un crocodile ? D’un serpent ? D’un loup ?
Des devinettes et des jeux pour raconter la véritable histoire du Petit Chaperon… Rouge.
Tiens, tiens… Il manque quelqu’un dans ce titre. Boucle d’Or ! Mais oui, c’est son histoire, racontée cette fois à la manière de Byron Barton, idéale pour les tout-petits.
Couleurs franches, personnages bien découpés, arbres ronds, style naïf : hmmm… la fumée en serpentin blanc qui sort de la cheminée comme celle qui monte des bols de chocolat !
De quoi redécouvrir avec des yeux tout neufs ce conte classique qu’on ne se lasse pas de relire, parce qu’il fait peur juste comme il faut, et rend gourmand juste comme on aime.
Une petite fille aux boucles blondes s'égare dans la forêt en cueillant des fleurs. Elle est fatiguée, elle a faim et elle pleure. Dans une clairière, elle découvre une étrange maison dont la cheminée fume. Elle s'approche d'une fenêtre et découvre alors une grande table avec, tout autour, trois chaises : une grande chaise, une moyenne chaise et une toute petite chaise. Et devant chaque chaise, un bol de soupe. Un grand bol devant la grande chaise, un moyen bol devant la moyenne chaise et un tout petit bol devant la toute petite chaise...
Gerda Muller rêvait de reprendre ce grand classique qu'elle avait déjà illustré il y a longtemps. Elle s'est offert ce cadeau... pour ses quatre-vingts ans. Et c'est avec le soin infini qu'on lui connaît et un immense plaisir qu'elle a caché partout dans les images, les grands, les moyens et les petits objets... pour que les tout jeunes lecteurs aient encore plus de plaisir à les trouver et les reconnaître.
À la naissance de ses petits, Madame Coincoin fut très déçue car elle les trouvait tous plus vilains les uns que les autres. Seul le plus jeune lui plaisait. Elle le prit tout de suite sous son aile: « Tu t'appelleras Martin, mon petit canard chéri. » Les autres canetons ne reçurent même pas de noms. Et quand ils pleuraient, leur mère s'écriait : « Moins de bruit, je parle avec Martin. » De l'avis de Madame Coincoin, Martin faisait tout bien. Il nageait merveilleusement et comprit tout de suite l'art de la pêche. Ses frères et soeurs, qui devaient se débrouiller sans conseils ni assistance, le prirent en grippe. « Martin Chouchou ! » criaient-ils. Mais à l'heure de vérité, un caneton trop couvé est bien défavorisé... pour ne pas dire carrément en danger. Et le meilleur moyen de rivaliser avec un chouchou, c'est finalement... de lui sauver la vie. Voilà qui devrait clouer le bec à Madame Coincoin. Au moins provisoirement.
Max est un incorrigible gourmand. Heureusement, Marie a toujours une bonne histoire pour tenter de remettre son petit frère dans le droit chemin. Cette fois-ci, elle lui raconte celle de Midas, qui avait horreur des légumes. À force de gourmandise, Midas transforma tous les membres de sa famille...en desserts.
Le gros papa ours, la grosse maman ours et le petit ourson sortent pour jardiner tandis que leurs bols de chocolat fumant les attendent. Mais qui voilà ? Un intrus, attiré par la bonne odeur, entre dans la maison et commence à y faire toute une série de bêtises. Et quand la famille ours revient, il court se cacher de peur de se faire… dévorer ? C’est tout autre chose qui arrive !
C'était un pauvre jeune homme, que son père avait envoyé chercher une épouse. Une petite souris le demanda en mariage, et le fit si gentiment qu'il répondit oui...
Rousse, la renarde, sort du bois, attirée par une bonne odeur, une odeur de poulailler. Dans sa maison, Octobre, le fermier, ne se doute de rien. Rousse s'approche encore et regarde Octobre, qui, bien tranquille dans sa maison, joue de la guitare assis sur un tabouret. « Quel drôle d'animal ! » se dit Rousse, ni chouette, ni grillon, peut-être un sanglier. Mais les poules sentent le danger et se mettent à caqueter. Alerté, Octobre cesse de chanter et aperçoit par la fenêtre une flamme rousse près du poulailler. Jamais il n'a vu une bête aussi belle. Il voudrait la caresser mais, pour protéger ses poules, il se met à crier. La renarde, effrayée, s'enfuit dans la forêt. Chacun, la nuit venue, regrette. Rousse pense au drôle de sanglier et Octobre songe à la belle crinière enflammée. Certaines histoires d'amour empruntent de mystérieux sentiers.
Magie et mystère se mêlent aux parfums d'automne, dans cet album qui bruisse aussi doucement qu'une promenade en forêt.
La petite vache Bukolla est l'unique trésor que possèdent les parents de Souk. Le jour où elle disparaît, c'est une immense catastrophe. Heureusement Souk n'est pas le garçon paresseux qu'on croit. Il a passé des heures à apprendre le langage des animaux, et cela va se révéler très utile.
Tout le monde connaît l'histoire des trois petits cochons, mais celle des trois petites cochonnes ? Elles quittent leur maman pour se chercher un mari... Le problème, c'est que le loup sait très bien se déguiser en cochon idéal.
Violette vivait heureuse dans la ferme de ses parents. Mais un jour, sa maman tomba gravement malade et Violette dut partir toute seule chercher le docteur. En chemin, elle rencontra Priska, la terrible sorcière mangeuse d'enfants ! Ses dons d'acrobate lui furent d'un grand secours pour échapper à la méchanceté de l'ogresse.
Comme toutes les histoires de fées, celle-ci commence par IL ETAIT UNE FOIS et finit par MORALITE. Mais, entre les deux, une histoire de fées pas comme les autres où il est question de diamants, de roses, de crapauds et de vipères, de belles paroles et d'eau puisée à la fontaine.
Philippe Dumas a réuni ici les éléments traditionnels d'un véritable conte de fées, et nous enchante une fois de plus... par ses dessins.
Les parents d’Octavio attendent un bébé. Ils cherchent un prénom. Octavio refuse de participer. Il n’en veut pas, lui, de ce rival ! Soudain, Maman loup salive. Elle a une envie. « Devinez quoi… » dit-elle à Papa loup et Octavio. « Ça se croque, c’est tendre, juteux et bien rouge ! » Papa loup et Octavio se mettent en route. Mais que veut croquer Maman ? Le Père Noël ? Ce serait dommage. Le Petit Chaperon rouge, alors ?
Avant Avant la télé, avant Nous, notre histoire, avant sa magistrale série sur les héros de la mythologie, Yvan Pommaux était déjà un original, narquois, idéaliste et précis et il mettait son indiscipline méticuleuse au service du polar pour enfants tout en bousculant les codes de la BD. Résultat ? John Chatterton, un chat noir détective en imper mastic, un Humphrey Bogart tonique défenseur de la veuve, de l'orphelin, de l'opprimé, du kidnappé, et de la vérité !