Thème « Europe »
Pour la première fois de sa vie, Richie le petit poney prend le train et monte à Paris : Il vient voir la Tour Eiffel, Attention attention! Hélas, quand il arrive sur place, la tour Eiffel est fermée. On ne peut que la regarder par en dessous. Un vendeur de porte-clef le console, il y a tant à voir, à Paris… A travers cet album splendide, tendre, et riche comme un « cherchez Charlie », Claire Braud nous entraine dans la visite d’un Paris connu et inconnu, tout en surprises et en pas de côté. Et, pour ce qui veulent suivre la visite « en vrai », on trouvera un plan de la ville, annoté par Richie lui-même, en fin de livre !
Puccini vit dans l'oisellerie de Monsieur Emile. De tous les oiseaux, c'est lui qui chante le mieux, mais ses voisins sont si bruyants, que personne ne l'entend. Puccini est désespéré. Un jour que sa cage est mal fermée, il s'envole... Mais Paris est une bien grande ville pour un si petit canari !
« Mon nom est Shadé. Ma mère est née au Sénégal, mon père au Mali. Moi ? je suis née à Paris. Quartier de la Chapelle. » Shadé doit garder ses petits frères, Kofi, Koao et Kakou qui cassent tout. Devant leur mère, ils ont l'air d'anges; en vérité ils sont infernaux. Alors Shadé les laisse à Akomba sa soeur, en échange d'un exercice de maths qu'elle lui fera, et elle part se balader. C'est bientôt Noël, les rues sont pleines de gens et d'aventures.
Je vis à Londres, dans un quartier qui s’appelle Chelsea, un quartier très chic. Les maisons ressemblent à des guimauves, mais des guimauves affreusement chères. C’est pour ça que je n’habite pas dans une de ces maisons, mais sur un banc. En tout cas, jusqu’à ce que je rencontre ce garçon aux cheveux orange. Et Maggie. Et la mère de Tom, le garçon. Et le Premier ministre. Oui, certains jours, tout change...
Toute la journée, sous le grand soleil de Provence, un homme peignait comme un fou. Il s’appelait Vincent. Un été, une sauterelle s’est réfugiée auprès de lui. Elle s’appelait Tetti. Vincent travaillait vite et fort, comme s’il savait que sa vie serait courte. Tetti, elle, savait que sa vie ne durerait qu’un été. Ensemble, sans le savoir, ils ont partagé leur goût pour les paysages.
Embarquez dans une aventure magique, à bord du bus 84, glissez dans une coquille et entrez dans l’histoire, visitez un Paris transformé,
voyagez sur une fourmi de dix-huit mètres avec un chapeau sur la tête, partez à la découverte de monstres – dont ceux de Léopold Chauveau exposés au Musée d’Orsay – et surtout, ne vous fiez pas aux apparences… C’est tout cela, et bien plus encore, qui vous attend dans ce nouvel album plein d’étrangitude !
En coédititon avec le Musée d'Orsay 
"Il doit exister une meilleure école que l'école ", pensaient Frédéric et Albert. Il doit y avoir d'autres personnes à qui parler anglais que professeur d'anglais. Il y a un autre univers à explorer que la salle de classe et ses quatre murs. Alors hop! Faisons une fugue pour apprendre l'anglais, ce qui sert d'alibi pour tenter l'aventure. Gill Rosner est anglaise. Susie Morgenstern est américaine. Elles ont eu tant de plaisir à travailler ensemble en mangeant du chocolat pour innover et inventer des cours d'anglais à la Faculté des Sciences de Nice qu'elles ont continué à être complices pour écrire ce roman anglo-américain en français... et en anglais! Vous retrouverez Frédéric et Albert Papillon dans "New York Alibi" et "Europe Alibi"
Paris, 31 décembre 1929. Apollodore est un vagabond, un gamin abandonné sur le perron d'un hôtel, il y a une douzaine d'années. Il y vit aujourd'hui. Il s'est imaginé qu'il y retrouverait la trace de ses parents. Quelle naïveté ! Cet hôtel, personne n'y met plus les pieds, il est maudit, ça aussi tout le monde le sait. Mais c'est fini : ce soir, dans quelques heures, Apollodore s'en va. Il quitte Paris, le vieil hôtel, la misère et son métier de tapeur de vitres, et cap sur l'Amérique ! Un petit tour pour saluer ses trois voisins solitaires, et il file, d'ailleurs il est déjà en retard. À moins que…
C'était en 1903, j'avais neuf ans. Un soir, ma tante Arthémise était venue dîner et, comme c'était l'anniversaire de mon frère, elle lui avait offert un appareil photographique. « Ma chère Aurore, ne sois pas jalouse ! » Ma tante me taquinait. « J'ai aussi un cadeau pour toi ! Demain et pendant trois jours, je t'emmène chez Monsieur Méliès pour faire du cinématographe ! ». « Le cinématographe ? Qu'est-ce que c'est que cette invention ? » demanda mon papa en regardant sa sœur de travers. Je n'avais pas vu le temps passer, rêvant de ma rencontre avec Monsieur Méliès, le créateur des spectacles cinématographiques. C'était un grand magicien qui savait tout faire, aussi bien inventer des trucages géniaux, que de fabriquer sa première caméra... Et qui créa tous ces films féériques, mystérieux et drôlatiques dont j'ai encore la nostalgie. Pourquoi ces films ont-ils disparu ? J'aimerais tant les revoir !
1953. Alain Moret, huit ans, vit dans une petite ville française. Bientôt, ses parents achèteront leur première voiture et changeront d’appartement. Ils auront la télévision, le téléphone, un réfrigérateur, une salle de bains. Les années cinquante sont celles du passage à la modernité.
Avoir, comme Archie Brown, un père qui travaille au Bears Bazaar, le plus grand et le plus prestigieux magasin de jouets de Londres, a de quoi faire rêver n’importe quel enfant. Mais Bears Bazaar est aussi le magasin le plus cher et le père d’Archie refuse d’y acheter quoi que ce soit. Archie et ses soeurs doivent se contenter de déambuler dans les rayons en rêvant. Mais un soir de décembre, le garçon y fait une étrange découverte. Quel secret abrite le sous-sol du magasin ? Et que signifient tous ces vols à quelques jours de Noël ? Archie est bien loin d’imaginer ce qui l’attend et à quel point le sort du Bears Bazaar et celui de sa famille sont liés...
Gilbert ne supporte pas les oeufs. Absolument pas. Même à très, très petite dose, ils le font vomir. Beaucoup. Tout de suite. Certaines personnes connaissent le problème de Gilbert et ne lui servent pas d'oeufs, d'autres l'ignorent. Et puis, il y a la tante de Gilbert, sa méchante tante qui, elle, ne peut pas s'empêcher de mettre un tout petit peu d'oeuf dans ses boulettes de viande. Pour voir. Pour voir si c'est vraiment vrai. Si Gilbert n'exagère pas. S'il ne fait pas sa chochotte. Ce livre raconte comment Gilbert a voulu se venger de sa méchante tante. Pour voir... Ce livre nous parle aussi, avec un humour froid et décalé, du droit à la différence, de la compréhension et de l'acceptation de l'autre.
Pour échapper aux brimades et aux injustices, Jules s’est évadé de l’orphelinat. Et le voilà accusé de vol à la place d’un pickpocket ! Il doit s’enfuir encore et trouve refuge dans les coulisses du théâtre des Funambules. Là , il va lier amitié avec Charles, le fils du mime Deburau, le comédien vedette, et sa cousine Louise, assister à la première représentation de sa vie et découvrir tout un monde, exigeant et enchanteur. Embauché comme figurant, il réussira même, grâce à son sens de l’observation, à tirer son protecteur d’un mauvais pas.
Après le film de Marcel Carné, Les Enfants du paradis, après la pièce de Sacha Guitry, Deburau, voici un nouvel hommage au destin romanesque d’un homme unique dans le Paris de 1830.
Un caillou. L’île où vit Tino n’est pas beaucoup plus grande qu’un caillou. La plupart de ses 216 habitants sont vieux et jamais rien ne s’y passe. Tino rêve qu’un jour quelque chose vienne de la mer, comme une baleine ou un chercheur d’or. Ou bien qu’il découvre un caribou au milieu des fougères. Mais le bateau n’amène qu’une classe venue visiter l’île. Tino ne sait pas encore qu’il va faire la rencontre la plus extraordinaire de sa vie.
490. Clovis, le roi des Francs, est réputé pour sa main de fer. Afin d’étendre son pouvoir et ses possessions, il a décidé d’épouser Clotilde, la princesse burgonde, nièce du roi Gondebaud, qui est très pieuse. Par amour pour sa femme, Clovis le païen accepte que leur premier enfant soit baptisé. Mais l’enfant meurt et Clovis part en guerre contre les Alamans alliés aux Francs Rhénans. Il pourrait renier ce Dieu qui n’exauce pas toutes ses prières. Au contraire, il l’implore, remporte la victoire à la bataille de Tolbiac et, par gratitude, se fait baptiser à son tour, le jour de Noël. C’est le début du royaume de France…
Elles ont bien commencé, ces vacances en Bretagne : Antoine a été invité dans un manoir au bord de la mer avec ses trois meilleurs copains. Il va pouvoir emporter sa guitare électrique et jouer du rock gothique sans déranger personne. En échange, les quatre collégiens devront s’occuper d’un gamin de 8 ans, prénommé Galahad. Seulement voilà : à peine arrivés, ils se retrouvent avec un cochon dodu et bouclé sur les bras, et des sales types qui ont juré de leur trouer la peau…















