Thème « entraide, solidarité »
« Nous ne sommes encore que des enfants, mais des enfants quand même. Hier, dans notre classe, il y avait Kouik Mériadec. Aujourd’hui, il n’est plus là parce qu’il est sans papiers français. Si j’étais grand, je comprendrais sûrement qu’il faut des papiers d’identité pour vivre.
À l’école, nous n’avons que des feuilles de papier. Dans les rues, dans les campagnes, il y a les feuilles des arbres. Nous aimerions que tous les Français lancent demain, à dix heures, des feuilles d’automne par leurs fenêtres. Alors, tous ces papiers voleraient jusqu’à Kouik avant qu’il ne s’envole pour son ancien pays en guerre. »
Le menhir en a marre. Le voilà debout au milieu des bois depuis 3521 ans. C'est fatigant, à la fin. Il a envie d'une petite sieste. Pour l'aider à se coucher doucement, il appelle à la rescousse tous les costauds de la forêt : le sanglier, l'ours, le renard, le loup, le blaireau... Mais malgré tous leurs efforts, aucun d'entre eux ne réussit à le faire basculer. Et s'il avait eu tort de traiter par le mépris la proposition de la petite taupe ?
L'un de ces messieurs est grand, l'autre tout petit. La souris est minuscule, la girafe immense. Ils pensent que tout les oppose. L'un se croit le plus fort et l'autre le plus malin. L'un se moque de l'autre et vice versa. Jusqu'au jour où un grand danger les menace tous deux. Pour survivre, il leur faut se liguer. Cette fois, ils comprennent que leurs différences, en se complétant, peuvent leur sauver la vie.
Noah se réfugie souvent dans sa chambre pour observer le quartier avec ses jumelles. Ça l'aide à oublier. Ses parents se séparent, et pire encore : il risque de déménager ! Quitter sa maison, d'accord… mais abandonner sa bande avec Manoly et Diane ? Jamais ! Il leur faut un plan, et vite, pour empêcher ce désastre.
De la création du premier outil à l'invention de la fusée, Oliver Jeffers retrace les grandes étapes de notre évolution pour mieux se tourner vers notre avenir. Quelle histoire écrirons-nous pour les générations futures ?
Cet après-midi, l’éléphant, le tigre et l’oiseau sont invités pour le goûter. Ils s’enfoncent dans la forêt. Quelques minutes plus tard… ils sont perdus. « On est foutus !» dit l’oiseau. Derrière un buisson d’épines, les amis découvrent Colette endormie.
« Et si on la mangeait ? » chuchote le tigre. Mais Colette a tout entendu : « Il vaut mieux ne pas me manger, car moi, je sais où nous sommes. Je viens souvent ici avec mon p’tit Coco ! (C’est mon doudou.) D’ailleurs, il est où ? »
Un seul vautour est vénéré dans tout le Mexique. C’est Orlando, et il le mérite. Savez-vous pourquoi ? Orlando est un vautour original. Quand ses semblables ne pensent qu’à dévorer les malheureux perdus dans le désert, lui n’écoute que son bon cœur. C’est ainsi que, un jour, il survola un chercheur d’or évanoui. Le pauvre homme avait sur lui des photos de sa famille. Aussitôt, Orlando décida de prévenir sa femme et son fils. Et pour cela, il fallut traverser un continent et braver bien des dangers…
C’est dans les années soixante, après Les aventures de la famille Mellops que Tomi Ungerer entreprend, à New York, une série d’albums en l’honneur des animaux jusque-là mal aimés ou carrément absents des livres pour les enfants : un boa constrictor, Crictor ; une pieuvre, Émile ; une chauve-souris, Rufus ; un kangourou, Adélaïde et un vautour, Orlando, que voici. Ils font mentir leur réputation, incarnent le bien, sauvent des vies, et se révèlent plus humains que ceux qui les avaient d’abord rejetés.
Comment guérir d’une blessure ? Comment combler un vide ? Comment supporter une absence ? Comment survivre à la mort d’un être cher ? L’ours croit qu’il n’y arrivera pas. Qu’il restera inconsolable du départ de son ami le petit oiseau. Il ne se sépare plus du cercueil qu’il lui a fabriqué.
Mais c’est en acceptant de passer par toutes les étapes de la souffrance et du deuil – révolte, souvenirs, chagrin, solitude…– qu’il va enfin reprendre goût à la vie, et faire de nouvelles rencontres.
Ourson et Pinson sont les meilleurs amis du monde. Quand Pinson est malade, Ourson a plein d'idées pour qu'il aille mieux. Quand un des deux tombe dans un trou en se promenant, l'autre l'aide à en sortir. Et quand ils font la connaissance de Taupe, les meilleurs meilleurs amis se lancent dans un concours de blague et même dans une aventure en bateau
Pépin n'est pas plus grand que le pouce. Et voici qu'il découvre un petit oiseau tombé du nid. Si l'on ne fait rien, ce malheureux va mourir de faim ou dévoré par un gourmand. Vite, Pépin doit trouver une solution ! Mais comment faire quand on est si petit ? Les animaux de la forêt doivent l'aider ! Sauver un oiseau ? En voilà une drôle d'idée ! Pépin parviendra-t-il à convaincre les animaux d'aider le petit oiseau ?
Si vous trouvez un jour un pingouin devant votre porte, réfléchissez bien avant de le raccompagner chez lui, au pôle Nord. L'oiseau a peut-être une autre envie derrière la tête...
Petit-Bond emmène Petit-Ours à une chasse au trésor. Il creuse, creuse, creuse. Le trou est si profond qu'on ne voit plus Petit-Bond. Petit-Ours se penche et tombe. Il fait tout noir au fond du trou. Les deux amis se demandent comment ils vont sortir de là...
Pilotin était le seul petit poisson noir parmi des milliers de petits poissons rouges. Arriva un gros poisson féroce et affamé…
Clo aime peindre. Un jour, un chien sonne à sa porte. Il s’appelle Trotte et veut lui vendre des pommes. 1 530 kg de pommes. Mais la vieille dame n’a pas d’argent.
Vous avez signé un contrat, lui fait remarquer Trotte. Clo déchire le contrat. Elle est comme ça, Clo, faut pas l’embêter.
Que faire de toutes ces pommes qui envahissent la maison ? Ouvrir un restaurant ensemble ! Car, à force de se disputer, Clo et Trotte sont devenus amis.
Chez les Pozzis, c’est la fête ou plutôt la récréation. Au programme : concours du meilleur lanceur de boulettes-rectangles et du plus grand avaleur de potage.
Mais Abel, l’extra-lucideur qui voit mieux et plus loin que les autres Pozzis, n’a pas le cœur à s’amuser, ni même à danser avec la belle Adèle. A-t-il compris que son chef, Capone, était en danger ou bien est-il inquiet pour les bébés Pozzis ? À moins que le danger ne vienne du Lailleurs car le danger vient toujours du Lailleurs…
Mais flûtedezut, zutdeflûte, que se passe-t-il au pays si paisible des Pozzis ?
Rufus est une chauve-souris pas comme les autres. Depuis qu’il a vu, un soir, un film en Technicolor au cinéma en plein air, puis, au petit matin, le lever du soleil orange et rose, il a décidé de changer d’existence. Vivre le jour, peindre ses ailes noires aux couleurs des papillons !
Pris de peur en voyant tourbillonner ce volatile bizarre, des gens lui tirent dessus à coups de fusil. Rufus tombe, mais, par chance, c’est dans le jardin d’un homme formidable…
C’est dans les années soixante, après les aventures de la famille Mellops (republiées l’an dernier) que Tomi Ungerer entreprend, à New-York, une série d’albums en l’honneur des animaux jusque-là mal aimés ou carrément absents des livres pour les enfants : un boa constrictor, Crictor ; une pieuvre, Émile ; un vautour, Orlando ; un kangourou, Adélaïde ; et une chauve-souris, Rufus, que voici, pour la première fois en français. Ils font mentir leur réputation, incarnent le bien, sauvent des vies, se révèlent plus humains que les humains qui les avaient d’abord rejetés.