Thème « écologie, environnement »
Quelque part dans l'océan, trois sardines nagent au milieu de leurs soeurs. Quand soudain... les voici séparées du groupe à cause d'une attaque de maquereaux. Trois sardines parcourent l'océan à la recherche de leurs soeurs perdues, visitent des recoins inconnus et rencontrent des créatures étranges. Mais l'océan est plein de dangers. Retrouveront-elles leurs soeurs ?
Eau, berceau de la vie, berceau de l'enfant à naître. Eau, sculpteur des montagnes, créateur de paysages. Eau, mère des climats, cycle ininterrompu depuis des milliards d'années. Eau des océans, des forêts et des déserts. Eau convoitée, eau catastrophe. Eau bue, exploitée, salie, souillée, trahie par les hommes. Eau généreuse, toujours nous aurons besoin de toi. Pierre Bertrand
Petite étendue d'eau de faible profondeur, la mare est un milieu où vivent de nombreuses espèces animales. Au fil des saisons, éphémères, gerris, libellules, mollusques, notonectes, poissons, scorpions d'eau, tourniquets... y cohabitent. En ce début de matinée printanière, un jeune têtard frétille à la recherche de nourriture. Quand soudain surgit Dytik, l'ogre de la mare... un redoutable prédateur qui règne en maître sur ce petit territoire pourtant si paisible... en apparence.
Le cactus saguaro est célèbre depuis qu'il a joué dans de nombreux films de cow-boys. Saviez-vous qu'il est aussi grand qu'un arbre, qu'il vit plus longtemps que nous et qu'il nourrit les animaux du désert, insectes, oiseaux et chauves-souris ? Mais, surtout, il offre, à tous les étages, des logis formidables pour les pics, les chouettes, les tourterelles, les chauves-souris et les rats. Sans le saguaro, beaucoup d'animaux ne pourraient pas vivre dans le désert.
Recommandé (À FonD la SciencE, no1, 1994).
Cette île était un paradis terrestre sans humains. Une famille de loups, des cerfs, des oiseaux, des insectes, des rongeurs, des végétaux en abondance. Un écosystème complet, une harmonie sauvage en équilibre. Mais un jour, les cinq louveteaux trouvent un radeau échoué sur le rivage et montent dessus pour jouer. Ils dérivent. Pour les rattraper, leurs parents nagent et tous se retrouvent sur la rive d’en face. Dans l’île désormais privée de loups, les cerfs prolifèrent et le déséquilibre s’installe peu à peu. Trop peu de végétaux, plus assez de lapins ni de souris, donc trop de renards et de hiboux. Partout la famine sévit. Heureusement, certains hivers sont si froids que l’eau gèle : si les loups pouvaient en profiter pour retraverser, et que tout recommençait comme avant ?
Ventraffamé est un Ogre pas comme les autres. Les Enfants, il les aime vraiment. Il aime les élever, les appeler par leur prénom, leur raconter des histoires et jouer avec eux, pas les engraisser, ni leur agrafer un numéro à l’oreille, ni les croquer. Mais le progrès fait rage dans le monde des Ogres. Il faut toujours travailler plus pour manger plus. Seul contre tous, Ventraffamé tente de résister. Sera-t-il le plus fort ? Non. L’aide dont il a besoin, c’est des Enfants qu’elle va venir.
Pierre habite à la campagne et il connaît par coeur le moindre caillou, la moindre brindille, le moindre insecte. Nina a beaucoup voyagé et la campagne, elle n’y connait rien. Cela ne l’empêche pas d’être curieuse, de poser des questions, et de s’enfoncer dans la forêt, malgré les conseils de Pierre de ne pas y aller toute seule. Il y aurait là une mare, et dans cette mare, des sorcières. Mais cela n’effraie pas Nina, au contraire.
Bête noire du jardinier qui lui mène une guerre à mort, voici la taupe révélée comme en plein jour, surprise au coeur de son intimité, suivie dans le détail de ses activités sous terre - et se gagnant au fil des pages la sympathie du lecteur.
Les illustrations rendent sensible la taupe « dans tous ses états ». Quelle scrupuleuse attention aux attitudes, au comportement de l'animal ! Quelle exactitude scientifique dans leur représentation, qui ne fige pas la vie, mais la rend présente ! (Hélène Bardou, Griffon, mai-juin 1993).
Il paraît que ça porte bonheur de marcher dedans. En tout cas, c’est comme ça que Jacques a eu son idée géniale, sur le trottoir, en sortant de chez son copain Octave après une après-midi d’ennui. Fonder un club pour éliminer les crottes de chiens, et par conséquent sauver la planète.
Tout le monde est cerné et concerné ! Tout le monde en a été victime un jour ou l’autre. Comment faire ?
Jacques et Octave réfléchissent, recrutent, organisent, se documentent, apprennent, argumentent, militent, arpentent, affichent... jusqu’au jour où la Mamie de Jacques débarque avec un cadeau plus original que jamais. Un cadeau empoisonné. À cause de lui, Jacques a l’impression de passer d’un seul coup du côté de l’ennemi...
17 mars 2020, forêt de Rambouillet. Zoé et Didier Risson, deux jeunes hérissons s'apprêtent à passer l'examen du code de la route. Il faut dire que lorsque l'on est un hérisson et que l'on doit traverser une route, mieux vaut mettre toutes les chances de son côté. Mais ce jour là, de façon inexpliquée, pas une voiture, pas un autocar, pas un camion ne pointe le bout de son capot. Le mystère de la départementale 24 va amener tous les animaux de la forêt à se poser une question inimaginable : Mais où sont passés les humains ? Zoé et Didier vont mener l'enquête et découvrir qu'un mal mystérieux serait à l'origine de cette disparition : la colique 19.
Vous le saviez, vous, que les sorcières étaient végétariennes ? Qu’elles descendaient en droite ligne des dragons de Komodo ? Qu’elles venaient d’une île du Pacifique engloutie par la montée des eaux ? Que c’est pour cela qu’elles s’étaient réfugiées sur les toits de Paris ? Que la plus jeune d’entre elles s’appelait Kaï ? Et qu’il était tout à fait possible de la confondre avec Marie-Astrid Caramel de Bellegarde, qui toute sa vie n’avait connu que les beaux quartiers ? Eh bien, le monde a changé. Et il est grand temps que vous l’appreniez.
Sara aime prêter attention aux plus fragiles. C’est pour cela qu’elle apprécie la compagnie et les histoires de sa grand-mère. Avec elle, dans son cabanon au fond du jardin, Sara apprend à respecter ce qui l’entoure, et à voir différemment. Les légumes, par exemple. A-t-on jamais pensé que le poireau est un ancien mammifère ? A-t-on jamais écouté le chant discret d’une aubergine ? Et si on les réunissait dans un parc pour leur rendre hommage ? Ce serait peut-être un exploit. Comme de regarder le monde avec les yeux de quelqu’un d’autre.
Quand il était petit, Martin Page n’avait qu’une idée en tête : « s’en sortir ». Dans ses romans, le monde est une fiction et l’imaginaire, une manière de résister à la réalité. À travers Le zoo des légumes, il nous montre comment regarder le monde avec intelligence et imagination pour mieux vivre le présent : « L’enfance n’est pas le bon moment pour vivre son enfance. Il faut la protéger, la préserver, la réserver. Et la vivre tout au long de notre vie. »
Les mauvaises herbes, on les extirpe, on les arrache, on les broie, on les brûle. On ne les aime pas. Pourtant, beaucoup d'entre elles sont comestibles : on en fait des salades, des soupes, des gâteaux, des boissons... Elles sont nos amies, pourvu que nous sachions les reconnaître ! Jadis, les mauvaises herbes sauvèrent souvent les populations de la famine. Elles sont bonnes, secourables et pleines de vertus de toute sorte. Elles nous parlent aussi de la vie d'autrefois. Alors, pitié pour les mauvaises herbes !
Quelle chance ! Louise part en voyage, en France mais au bout du monde ! Elle s'en va découvrir la Martinique, un département d'Outre-Mer, de l'autre côté de l'Atlantique, à 7000 kilomètres de la métropole. C'est loin, c'est fatigant, mais c'est beau ! Là-bas, il y a des fruits inconnus, des gens attachants, une drôle de langue poétique, un volcan terrible, des arbres gigantesques, la mer bleue et aussi une fleur mystérieuse que Papa a bien du mal à trouver...
Des parents ultrachics, une gouvernante, une liste interminable d’interdictions et une autre, aussi longue, d’obligations, l’éducation de Miranda est parfaite. Et sa vie parfaitement ennuyeuse. Une seule chose la sauve, la joyeuse famille Pétrus et sa légendaire pâtisserie. Miranda n’est d’ailleurs pas la seule à l’aimer. Il y aussi Wonderfood, le géant industriel. Mais pour d’autres raisons…
Vous entendez les informations qui arrivent de partout pour dire que la planète va mal. Vous êtes des enfants, vous possédez une grande quantité de neurones pour apprendre, comprendre et retenir. Vous êtes créatifs et courageux. Et vous ne pourrez pas faire comme certains de vos aînés : regarder ailleurs, vous boucher les oreilles et hausser les épaules. Vous n'aurez pas le choix. Il faut que vous conserviez quelques-unes de ces qualités, au lieu de les laisser s'éteindre en grandissant. Vous deviendrez de meilleurs adultes, pour vous, pour les autres et pour la planète.