Thème « écologie, environnement »
Toutes les astuces et les solutions aux questions que l'on se pose pour protéger notre planète grâce aux petits dinos écolos. On peut commencer par trier les poubelles, protéger les abeilles, préserver les forêts et beaucoup d'autres idées pas si difficiles à appliquer et on devient un héros écolo !
Il y a (presque) tous les oiseaux du monde dans ce dico où l'on apprend encore une fois beaucoup de choses très intéressantes concernant les volatiles. Un exemple : le flamant rose est rose parce qu'il mange surtout des crevettes roses ! Amusant, non ?
Dans un pays lointain, un roi régnait sur le plus meveilleux des royaumes. Les oiseaux chantaient, les insectes butinaient, et l'air était rempli des odeurs les plus agréables. Mais un beau jour en se réveillant, le souverain se dit que les oiseaux noirs lui gâchent la vue du ciel, que les insectes ont tendance à piquer et que les mauvaises herbes sont de trop. Un tantinet despotique, il décide d'y mettre bon ordre. C'est oublier que l'équilibre écologique est chose fragile...
Plus une goutte d'eau ce matin ! Le lac où Frédéric va nager est complètement à sec. Comment résoudre le problème ? En remontant à la source. C'est là que Frédéric et ses amis canards découvrent, au sommet de la montagne, un projet fou de parc Aquasplouche qui capte toute l'eau ! Heureusement, ils tombent aussi sur un castor chef de chantier un peu zadiste sur les bords...
Benoît et ses amis veulent préparer un bon goûter aux fruits, mais de sales petites bêtes viennent les déranger. C'est décidé : il faut toutes les capturer ! Mais que deviendra la forêt sans ces mille bestioles à l'utilité insoupçonnée ?
Emily Gravett montre, avec talent et humour, combien les petites bêtes trop souvent mal-aimées sont en réalité indispensables.
Le phacochère adore son marigot qui respire l'amitié et le partage. Mais arrive un jour la sécheresse et le phacochère prend quelques décisions aux conséquences désastreuses... pour lui !
La forêt amazonienne possède la plus riche diversité de plantes et d’animaux de la planète, mais la déforestation menace ce paradis de la biodiversité. La communauté internationale tire la sonnette d’alarme mais elle peine à freiner cette destruction qui met en péril le monde de demain...
Les océans sont indispensables à notre survie, et pourtant, nous transformons jour après jour leurs fonds si précieux en véritable décharge.
Nos déchets, essentiellement des plastiques, tuent chaque année plus d’un million d’oiseaux et des milliers de tortues et de mammifères marins...
Plus que jamais, l’avenir des océans est entre nos mains !
Que faire pour sauver notre planète ? Il y a des choix à la portée de tous. On tourne les pages transparentes du livre, et hop, la voiture reste au garage et on prend le vélo, le pneu devient balançoire, et on rebondit sur le trampoline plutôt que de sauter d’une page web à l’autre. Maintenant, c’est à nous de jouer !
Meg et Ash sont deux pies très affairées. Pour que leurs futurs oisillons grandissent dans les meilleures conditions, elles ont décidé de leur construire un nid douillet. Le problème, c’est qu’elles accumulent beaucoup trop d’objets... Les pies sauront-elles s’arrêter ?
Louise vit au bout du monde, tout là-haut, dans une vallée belle et rude dont les rares habitants n’aiment pas se mélanger avec ceux « d’en bas ». Alors, quand un nouvel élève déboule dans la classe en cours d’année, Louise, comme les autres, pense à une erreur. Non seulement Chems n’est pas de la vallée, mais il est différent, avec ses cheveux longs, la couleur de sa peau, la vieille caravane dans laquelle il vit avec sa mère au milieu des bois…
C’est cette différence que Louise trouve attirante. Elle est bien la seule. Pour les autres, comme son père, un étranger n’a rien à faire dans la vallée où le travail manque, où la scierie du coin bat de l’aile.
Louise se sent coupée en deux. Mais Chems va prouver qu’il aime cet endroit comme s’il y était né. Quitte à le défendre au péril de sa vie.
Perchée dans les bras de son baobab, Adupa passe ses journées à écouter le chant de la jungle. Elle parle aux arbres. Elle est la fille de la forêt.
Cela fait sept ans qu’elle est arrivée au village indien des Mbayas, sur les bords de l’Orénoque, sept ans de séparation avec sa mère et de refuge contre la poitrine de la vieille Taoma, sept ans de moqueries. Adupa ne sert à rien, à part à recevoir les pierres lancées par les autres enfants du village. Pourtant, elle peut deviner les ombres des animaux et se laisser traverser par le vent. Elle est la fille de la forêt.
Adupa a vu ce que les autres ignorent encore. Le coeur de la jungle saigne depuis plusieurs semaines : le chemin de fer des Blancs détruit les arbres, les animaux, les Indiens, peut-être même le souffle du monde. Personne ne veut la croire. Personne, en dehors des babouins du baobab. Eux savent. C’est la guerre. Ils vont devoir agir. Adupa, la fille de la forêt, les attend.
« Dans une heure trente poser la main sur la poignée de la porte, l’ouvrir, franchir le seuil traverser le jardin dépasser le portillon, me retrouver dans la rue (…) partir vers la droite faire, quelques pas sur le trottoir, atteindre l’angle et la boulangerie, faire demi-tour rentrer. Alors... j’aurai réussi. Je serai « juste » sorti dans la rue. J’aurai « juste » marché quelques mètres dehors. Mais ce sera la première fois depuis six mois. »
Tout est parti d'une case de formulaire que Marin n'arrivait pas à remplir… Comment pourrait-il savoir quels sont ses antécédents médicaux alors qu'il ne connaît pas ses parents ? Enfin… ses parents biologiques. Marin est un enfant de la PMA. Il est né en 2016 grâce à un double don de sperme et d'ovocytes. Maintenant qu'il a dix-huit ans, il est en âge de consulter son dossier de naissance et d'apprendre l'identité des donneurs. Mais en a-t-il vraiment envie ? Et surtout est-ce le bon moment d'enquêter sur son passé alors que le présent lui tend les bras ? Paris où il vient de s'installer, ses études de cinéma, les rencontres inattendues dans les cafés… Mais le hasard est moqueur et les coïncidences parfois obstinées. Marin va devoir l'ouvrir, ce dossier.
Arthur Constable a été l'un des premiers défenseurs de l'environnement. Il a donné des conférences dans lesquelles il démontrait la nécessité de conserver la nature telle qu'elle est. Il a écrit un livre qui fait autorité sur les animaux en voie de disparition. Il a été jusqu'à créer dans sa vaste propriété de Roxmere Park, en Angleterre, un domaine dédié à la faune africaine. Aujourd'hui, c'est un vieil homme de soixante-dix ans dont le seul fils est artiste peintre. Il cherche désespérément un successeur à sa cause. Son petit-neveu, Henry Constable, est considéré comme un raté par toute sa famille. Sa mère a jeté un jour à son père qu'Henry était comme une écharde sous son ongle, et il l'a entendue. Henry n'est bon à rien, c'est la litanie qu'on lui sert tous les jours, avec la citronnade-maison, le pain sorti du four et les livres de la bibliothèque. Henry est fatigué. Aussi, quand arrive la lettre de l'oncle Arthur qui lui propose de venir passer ses vacances à Roxmere Park, on ne peut pas dire qu'il saute sur l'occasion. Tout juste qu'il se laisse faire. Par dépit. Une fois là-bas, il comprend qu'il tient peut-être la chance de sa vie...
Les bulldozers sont arrivés peu après sept heures du matin. Ils ont fait un grand détour par la route du bas pour s’installer le long de la butte en surplomb de la combe.. Les bulldozers ont pris position, juste devant la banderole délavée sur laquelle on peut encore lire : « Non à la spéculation immobilière, refusons la destruction des espaces naturels. » Leurs silhouettes se détachent très nettement du paysage, en cette matinée dépourvue de brouillard. Ils sont là. Tout est fini.
Dépité et furieux, Brian s’enfonce dans la forêt de son enfance en espérant que sa magie bienfaisante l’aidera à retrouver la sérénité. Mais ce jour-là, dans une clairière, une jeune fille en train de jouer de la harpe celtique semble l’attendre. Le début d’une nouvelle histoire, dont la plus belle partie reste à écrire…