Thème « école, instituteur »
Victor Kangourou a un problème dans la vie : à l'école, il voit partout se glisser des ombres dans le préau, des requins dans le sable et des serpents gluants sur le toit. Personne ne veut le croire. Jusqu'au jour où sa maîtresse lui fabrique une cocotte en papier qui veillera sur lui. Une cocotte magique...
Aujourd’hui commence mal : Pascaline la petite chauve-souris a 3 ans, et doit rentrer en classe, comme tout le monde. Mais elle refuse, résiste et crie si fort… que ses parents rétrécissent, et deviennent riquiquis comme des cacahuètes. Maintenant c’est leur tour d’aller à l’école. Pascaline les glisse sous son aile. On va bien rigoler. Mais que se passera-t-il à l’heure des parents ?
Maman, la maîtresse, le médecin, le marchand : ils veulent tous que je porte des lunettes parce que je ne vois pas au tableau ! D’accord, mais je veux au moins les choisir !
Les moins pires sont en forme d’étoiles.Mais Maman me prend les rondes, les plus nulles…
Au secours, à l’école, tout le monde va me traiter de serpent à lunettes !
Ça ne rate pas, et c’est la bagarre.
Je ne vais pas me laisser faire. Crac ! Boum! Aïe ! Mes lunettes toutes neuves et moches sont cassées… On pourrait peut-être en profiter pour les changer ?
Eh oui, même les fées vont à l‘école. Bon, il n’y a pas école tous les jours pour les fées, et leur maîtresse, Sorbonette, leur apprend principalement la magie. Et ce n’est pas facile la magie, surtout quand la baguette magique n’obéit pas !
Aujourd'hui, c'est la rentrée des classes et Maman accompagne Octave pour son premier jour. Mais aujourd'hui, allez savoir pourquoi, Octave dit NON ! NON à tout et à tout le monde : à Maman, à la maîtresse, à Jeanine et Raoul qui veulent jouer avec lui. NON, NON et NON !
Ce matin, tout le monde a eu 10/10 à l’interrogation de tables de multiplication. Tous sauf Simon. Il a dit : 3 x 2 = 4, les autres ont explosé de rire et l’affreux Ferdinand l’a traité de nul. Vexation + colère = Simon est très malheureux. Heureusement, grâce à un conseil de sa maman et à une idée géniale surgie au coeur de la nuit, Simon trouve un truc pour retenir, mais surtout pour comprendre ce qu’est une table, au juste. Et il va en profiter pour battre Ferdinand aux billes !
« Ce matin, pas de gym dehors, nous allons faire de la danse ! » dit la maîtresse. Piou Piou veut montrer à tout le monde ce qu'elle sait déjà faire, avec son tutu et sur la pointe des pieds.
« C'est nul, c'est pas comme ça qu'on danse » répliquent les autres. Pour Jules, danser c'est bouger les fesses. Pour Clotilde, c'est bouger les bras et puis les pieds. L'excitation monte et dehors l'orage gronde.
C’est le dernier jour de l’automne, un petit ours se promène dans la forêt. Au détour d’un chemin, il découvre un joli bonnet coloré.
Qu’est-ce que c’est, se demande-t-il. Puis il reprend son chemin en sautillant et sort de la forêt qu’il n’a jamais quittée.
Dans la cour de l’école, les enfants jouent. Tiens, se dit le petit ours, des copains ! La cloche sonne et une fillette le prend par la main pour entrer en classe…
À l’école, quand il est arrivé, tout le monde s’est moqué de lui. Parce qu’il était tout bleu et qu’il ne faisait que répéter « Pouet-Pouet ! » à tout bout de champ. Il se sentait ridicule, trop différent, mal aimé, rejeté. Même si, parfois, Mimie venait s’asseoir à côté de lui.
Mais quand le Poussinator a fait planer son ombre menaçante sur la cour de récré et que tout le monde criait et pleurait… qui lui a résisté ?
Simon aime Lou. Il en est fou. Hélas, Lou aime Mamadou. Alors Simon est jaloux. Mais voilà qu’un jour, Lou attrape des poux. Ça la chatouille, ça la gratouille. Cet idiot de Mamadou n’a que des moqueries à la bouche : « Lou, tête à poux ! »
Heureusement que Simon, lui, est beaucoup plus gentil ! Lou, il la console et la cajole. Il la rassure : « Un peu d’anti-poux, et tu n’en auras plus du tout ! » Devant tant de délicatesse, Lou donne à Simon… un bisou… mais ce n’est pas tout !
Tous les matins c'est la même chose, et Maman rouspète : « Rosalie, réveille-toi ! » « Rosalie, bois ton lait ! » « Rosalie, habille-toi ! »
Maman en a assez de rouspéter. Ce matin, elle est partie en laissant là sa fille chérie. Pas de panique, se dit Rosalie : un t-shirt, des chaussettes, des chaussures, une jupe... Et la voilà qui court vite, très vite, à l'école. Mais en s'habillant, elle a juste oublié un petit quelque chose. Maman aussi a oublié un petit quelque chose, un petit quelque chose de très important. Alors elle court, elle aussi, vite, très vite, à l'école.
Demain, sûrement, tout ira mieux : Maman n'oubliera pas d'embrasser sa fille chérie. Rosalie pensera à mettre une culotte. Et puis demain, il y aura vraiment école. Parce qu'aujourd'hui, c'est mercredi !
Gaspard le petit oiseau est arrivé un beau jour sur ma tête, sans rien dire. J’ai sauté, couru, pour voir ce qu’il ferait. Il était toujours là.
Les jours se sont écoulés et je me suis habitué. À l’école, personne ne le voyait. Je me demande quand même comment il est arrivé là.
C'est le premier jour d'école dans la savane. La maîtresse fait l'appel pour savoir si tout le monde est là . L'éléphanteau répond en barrissant, le rhinocéros en barétant. Quand vient le tour de la girafe, elle ne répond pas. Pourtant, elle est là . Mais on n'entend rien, pas un son. Tout le monde s'inquiète. La petite girafone sait-elle dire son nom ? Sait-elle au moins dire maman en langue girafe ? On l'emmène chez le crapaud, qui est le maître du coassement, puis chez le canari, le spécialiste des vocalises. Rien n'y fait. La girafone reste muette. Pourtant, quand sa maman et elle se parlent, elles se comprennent très bien... Elles se comprennent si bien, et c'est si tendre, que ça donne tout de suite envie de parler la même langue.
Marie-Anne et Louis viennent de vivre un jour affreux ! Celui de la rentrée des classes...
Mais leur grand-père, lui en a autrefois vécu un pire encore...
Papa et Maman Taupe prennent tranquillement leur petit-déjeuner quand on gratte à la porte.
Crich chrach ! Une patte se glisse par l’ouverture et une voix dit : Â« Je ne veux pas aller à l’école !
– Pas grave ! répondent Papa et Maman. De toute façon, à l’école, ils n’acceptent pas les petits monstres du matin. Celui-ci n’a qu’à garder la maison en notre absence. »
Et ils s’en vont. Voilà Louise bien embêtée. Quand tout à coup, on gratte à la porte et une voix dit : Â« Nous sommes les grands monstres du dehors »…
Louis reçoit de son oncle, pour son anniversaire, un têtard. Mais quel têtard ! Un têtard qui, bientôt, est bien trop grand pour son bocal, bien trop gros pour la baignoire, juste assez énorme pour la piscine du collège...















