Thème « école, instituteur »
Un drame se joue à l'école des Mimosas. Dans quelques heures, Mme Stylianos sera en retraite. Elle a bien du mal à retenir ses larmes, au milieu de la grande fête que tous ses élèves ont organisée pour elle. Elle n'a pas la moindre envie de faire la grasse matinée ou de jouer aux boules. Depuis quarante ans sa vie tient entre les quatre murs de sa classe. Mme Stylianos ne veut pas partir. Elle a décidé de suivre le conseil que vient de lui donner Gaëlle : faites toutes les bêtises que vous n'avez jamais osé faire. La première bêtise, c'est de désobéir.
Chacun ses particularités, ses complexes, ses difficultés. On a tous nos petites ou nos grandes différences, plus ou moins gênantes. On sait pourtant tous se parler, s’écouter et s’accepter, comprendre l’autre et s’entraider. Si on inventait un monde plus gai ?
Nour doit parcourir un long chemin dans le désert pour aller à l'école. Elle a pris l'habitude de partager des miettes de son goûter avec les oiseaux qui l'escortent. Aujourd'hui, bousculé par le passage d'un gros camion, l'un des petits oiseaux s'est étourdi. Nour vole à son secours, l'emporte avec précaution et le cache contre son coeur, bien à l'abri de son foulard. Dans la cour de l'école, tout le monde remarque le comportement bizarre de Nour et vient voir. Mais elle, ce qu'elle veut avant tout, c'est sauver son oiseau...
Alexandre est moyen. Juste moyen. À l’école, à la maison, avec ses amis ou avec sa famille, il ne se distingue en rien. Et cela pourrait continuer comme ça, jusqu’à la saint-glinglin… Mais Alexandre n’est pas satisfait, il voudrait vraiment se situer un petit peu au-dessus de la moyenne.
Un jour, une « CHOSE » arrive dans son appartement, offerte par son parrain. La CHOSE a un clavier noir et blanc, pèse trois cent cinquante kilos et ne repartira plus. Grâce à elle, la vie d’Alexandre va changer…
C’est arrivé comme ça, sans prévenir. Il est vrai que, depuis toujours, Thomas rêvassait en classe. « Encore dans les nuages, lui disait la maîtresse, Thomas tête en l’air, redescends sur Terre ! » Et ce jour-là , pleine classe, il s’est envolé. Vraiment.
Sous la mer comme sur terre, il y a des écoles et des écoliers. À la demande de Mme Mérou, leur institutrice, Roger le poisson rouge, Toni le calamar et Eugénie la seiche doivent préparer un exposé sur un vaste sujet : le cœur.
Eugénie, qui craint secrètement d’être née sans cœur, souhaite interroger un docteur. Mais Toni préfère aller voir sa grand-mère, qui est, paraît-il, un vrai cœur d’artichaut. Ils vont aussi croiser une huître très fermée et un bernard-l’hermite qui n’a plus le cœur à rien.
Leur enquête progresse… Mais ce qu’ils ignoraient tous trois, c’est qu’elle pourrait soudain s’avérer dangereuse.
Pour la classe d'Olga, le voyage de fin d'année va se faire à la mer… et les déguisements sont autorisés ! L'excitation est à son comble ! Sauf qu'après avoir erré dans les rayons du Super-Market et même essayé de se fabriquer un costume toute seule, c'est l'échec. Le jour du départ, Olga se retrouve déguisée en rien du tout. La honte… Mais l'aventure ne fait que commencer !
Les aventures de Louis et Fanfan, c’est l’histoire d’une belle amitié entre un petit loup et un petit cochon. Grâce à leur connivence, ils sont plus forts pour affronter les péripéties de la vie.
Ce recueil contient : Un monde de cochons, L'école est en feu, Le trésor de Louis (texte inédit) et enfin une sélection de pages extraites des carnets de croquis de Mario Ramos.
« Toute ressemblance avec notre monde moderne est bien évidemment due à une volonté humoristique. Le but est de faire une série appelée « Un monde de cochons », c’est-à -dire une histoire complète à chaque fois. Je voulais renouer avec le plaisir de la lecture en feuilleton. Lorsque j’étais petit, pendant les vacances, ma grand-mère me lisait chaque jour un chapitre de livre et j’adorais cela ! » Mario Ramos
Ce matin, dans la classe de Victoria, les absents sont si nombreux que la maîtresse a annoncé qu'il n'y aurait pas de numération, ni de grammaire, ni rien du tout. Tout le monde a attendu, partagé entre l'inquiétude et le bonheur de ne rien faire. Que va trouver la maîtresse pour remplir ce grand vide ? C'est alors qu'elle a prononcé une phrase terrible : "Vous écrirez en quelques lignes quel métier vous souhaiteriez faire plus tard".