Thème « école, instituteur »
La compétition, les mauvaises blagues, la loi du plus fort, Augustin connaît par coeur. Chez lui comme à l’école, la vie est un sport de combat. Un jour arrive dans sa classe Lily, une nouvelle élève, qui n’est vraiment, vraiment, vraiment pas comme les autres : elle a un sourire indélébile et elle est… gentille. Tout le temps, et avec tout le monde. Comment fait-elle, et quel est son secret ? Avec l’aide de son cousin Milos, Augustin est bien décidé à percer le mystère de Lily, pour lui permettre de résister dans ce monde injuste. Mais pour cela, il lui faudra s’accepter tel qu’il est.
À l’école, personne n’aime Nejma. Elle est nulle, méchante, moche et mal habillée. En plus, elle crache par terre. Mais on ne lui dit jamais rien, parce que tout le monde sait qu’il ne faut pas pousser à bout une personne qui n’a rien à perdre.
Aussi, le jour où Jonathan Suyckerbuck, grand amateur de catch, est retrouvé inconscient derrière la porte de la cantine, c’est Nejma qu’on accuse. Elle a beau se défendre, personne ne la croit. Elle fait une coupable idéale.
Mais Nejma n’est pas aussi seule qu’elle veut bien le croire. Au tour de son voisin et ami Rajanikanth, alias Raja, alias Freddy, de faire quelque chose pour Nejma, elle qui l’a toujours protégé.
Sans oublier Isidore, le vigile du supermarché dans lequel Nejma se réfugie après les cours. Isidore estime Nejma. Il la voit différemment. Il a même prononcé ces mots magiques : « Tu n’es pas grosse. Tu es puissante. »
Chester Howard a survécu à pas mal d'établissements scolaires. Il a connu des uniformes qui grattent, la prière cinq fois par jour, des profs qui se prenaient pour des psychothérapeutes et même une école où personne ne parlait sa langue. Pourtant, il se demande comment il va survivre à Walbottle Manoir. Ici les élèves semblent tous décérébrés tellement ils sont mièvres, ici l'humour n'existe pas. Mlle Tate, l'institutrice, toute dégoulinante de sourires, accorde le droit d'effacer le tableau pendant une semaine comme elle offrirait un fabuleux trésor. Chester a peur de devenir fou. Heureusement, il trouve vite une raison de survivre : c'est son voisin de table, Joe Gardener. Joe est le plus phénoménal des cancres, mais c'est aussi un génie. Et ça, à part Chester, personne ne s'en est jamais aperçu. L'heure de la révolution a sonné.
Revoilà Lino et toute sa bande. Cette fois, les conversations de cour de récré bruissent autour de la fête du siècle organisée par John-John pour son anniversaire, mais aussi d'une action collective pour sauver le saule de l'école, de l'atelier intergénérationnel qu'a imaginé la maîtresse Mme Carli et de la prochaine visite médicale... Entre angoisses et rigolades !
Dans une classe, il y a les éléments perturbateurs, mais il y aussi les éléments perturbants. C'est le cas de Bérangère, la nouvelle élève de CM2 toute auréolée de mystères. Chaque matin, elle arrive à bord d'une voiture de luxe, accompagnée d'un homme en costard. Dans la classe de CM2 courent les hypothèses les plus folles. La nouvelle serait témoin clé dans une affaire de meurtre, elle aurait tué ses parents, elle serait la fille cachée du roi des Belges. Très vite, il y a les pro et les anti Bérangère...
Demain, c’est poésie. Nina se sent déjà mal. Apprendre, ça va, mais réciter… Quand tout le monde vous regarde, qu’on devient rouge comme une tomate ! Pour d’autres, comme sa copine Poppy, c’est facile, pas pour elle. Nina se demande aussi comment c’est pour Adnan, le nouveau. Il vient de Syrie, un pays ravagé par la guerre, et ne parle pas encore français. Pour lui aussi, ça doit être difficile d’être seul devant tous les regards.
Un nouveau est arrivé à l’école en plein hiver. Il s’appelle Vandam Pishar. Il prétend qu’il vient d’Inde. Pourtant, il parle très bien français. Il marche comme un robot et garde toujours ses gants, même en classe. Pourtant, il paraît qu’il est champion de ski. Il affirme aussi qu’il n’a pas le temps de se faire des amis. Pourtant, il a l’air de s’entendre très bien avec la maîtresse remplaçante. On dirait vraiment que Vandam Pishar vient d’une autre planète. Une autre planète ? Et pourquoi pas ?
Une malachite, vous savez-ce que c’est ? Lino, lui, n’en avait aucune idée jusqu’à ce que ce frimeur de John-John en apporte une à l’école. En gros, c’est un caillou vert qui ressemble à un chewing gum et qui vaut des millions. Et devinez ce qui est arrivé ? La malachite a disparu.
C’est qu’il s’en passe des choses, dans cette école. Entre les parties de foot avec Fatou, les clubs d’espions ultra-secrets auxquels il faut adhérer, l’anniversaire de Tulipe à ne pas rater, Lino n’arrête jamais. Heureusement, il y a les autres, ces copains sur qui il peut toujours compter.
Mais… mais qu’est-ce qui se passe, en ce moment ? Pome est d’une humeur terrible, Verte va s’enfermer dans sa chambre. On les connaît pourtant, cela ne leur ressemble pas du tout. Une crise d’adolescence ? Ce serait trop facile. La fatigue ? Certainement pas.
Lorsque Pome revient des cours avec un bleu au visage, le doute n’est plus permis : quelque chose ne va pas. Depuis l’arrivée d’une nouvelle au collège, tout semble détraqué.
Une nouvelle… quelle nouvelle ? Verte et Pome ne veulent absolument pas en parler. Dès que l’on prononce son nom, une scolopendre surgit !
Et que fait la police dans ces cas-là ?
Et que font les sorcières ?
Rose parle comme une nouille. Dans sa bouche, les grandes personnes deviennent des lampadaires, les bisous des ventouses et les chats des moustaches à cul. Les médecins disent que Rose est une petite fille très intelligente, très émotive, avec un énorme défaut de langage.
Alors elle s’entraîne sur le chemin de sa nouvelle école : « Bonjour, je m’appelle Rose et je suis nouvelle. » Mais face à la classe, ça donne : « Bon levant, je suis neuve, et mon nom d’avant est Rose. » Et tout le monde la regarde comme une bête curieuse.
Heureusement, une fois dans la cour, Rose se révèle très forte pour jouer à chat et ne se laisse pas ennuimerder par les Sixièmes qui adorent taper sur les petits. Ça impressionne. Il faut dire que Rose n’a pas la langue dans sa poche…
J’ai un an d’avance. Pourtant ma tête est normale, pas spécialement grosse. Et en classe, je suis normal, pas comme Thierry qui sait tout et qu’on prend pour un Martien. Dans ma vie, il y a les bons copains, les filles – bon, surtout Irène – et la quête, celle des vignettes de l’album Panini de la Coupe du monde. Jamais je n’aurais dû commencer cet album, mais un copain m’a donné ses doubles. Et c’était bien la seule façon que j’avais de me faire enfin remarquer. Malheureusement, les ennuis ne faisaient que commencer…