Thème « école, instituteur »
Par la fenêtre, Léon regarde la nouvelle école. Demain c’est la rentrée des classes, rappelle Maman, mais Léon n’est pas prêt. L’école est trop loin pour ses petites jambes, puis ni Marcel ni Francis le poisson n’iront, et surtout, son doudou ne peut pas rester seul à la maison. Non ! demain, ce n’est vraiment pas le bon jour pour aller à l’école.
Andy est le petit dernier castor de la famille. Tout le monde est très occupé à scier des arbres, creuser dans la boue, pour fabriquer un barrage sur la rivière. Andy aimerait bien y participer mais il est encore trop jeune et dérange tout le monde. Heureusement il va bientôt aller à l’école, et pouvoir apprendre plein de choses. Mais à l’école, il faut rester sur sa chaise sans bouger ce qui n’est pas le fort d’Andy…
L'école des dragons est presque comme l'école des enfants, mais en plus, ils doivent apprendre à cracher du feu ce qui n'est pas si facile !
Pour mon premier jour d’école, j’ai tout préparé : mon cartable, mes crayons de couleurs, mon cahier. Maman m’a donné un conseil, papa m’a rassuré, grand-père m’a dit que j’allais bien m’amuser. À l’école, j’ai rencontré la maitresse, j’ai découvert ma classe, j’ai fait des choses qu’on ne fait pas à la maison, c’est ça la première fois qu’on va à l’école !
Quel plaisir de prendre le temps d’écouter la rivière, de grimper sur l’arbre tordu et de partager un goûter avec les canards. Mais à force de discuter avec les animaux qui restent au champ, les heures ont passé bien vite sur le chemin de l’école !
La petite oursonne aime son papa par-dessus tout. Il lui apprend à rouler à vélo, l'emmène camper dans la forêt et la conduit chaque jour à l'école. Mais un jour, un nouvel élève arrive dans la classe. Il s'appelle Simon. Il est gentil et courageux...
À part moi, personne ne fait attention à Marilyn. C’est presque comme si elle était invisible.
À l’école, personne ne vient lui parler. Lionel Hénon et sa bande ne lui proposent jamais de jouer avec eux. La bande d’Augustin non plus. Que ce soit en calcul ou en poésie, monsieur Varol oublie systématiquement de l’interroger. Parfois, même ses parents oublient de venir la chercher à la sortie.
Tu existes pour moi, ai-je dit à Marilyn, mais elle m’a répondu que cela ne suffisait pas.
Elle a beaucoup réfléchi et n’a trouvé qu’une seule issue. Je vais devenir célèbre, m’a-t-elle dit en sortant de sa poche un carnet à autographes et un stylo. Quand elle m’a expliqué son plan, j’ai pensé que cela ne marcherait jamais. Et pourtant…
La compétition, les mauvaises blagues, la loi du plus fort, Augustin connaît par coeur. Chez lui comme à l’école, la vie est un sport de combat. Un jour arrive dans sa classe Lily, une nouvelle élève, qui n’est vraiment, vraiment, vraiment pas comme les autres : elle a un sourire indélébile et elle est… gentille. Tout le temps, et avec tout le monde. Comment fait-elle, et quel est son secret ? Avec l’aide de son cousin Milos, Augustin est bien décidé à percer le mystère de Lily, pour lui permettre de résister dans ce monde injuste. Mais pour cela, il lui faudra s’accepter tel qu’il est.
À l’école, personne n’aime Nejma. Elle est nulle, méchante, moche et mal habillée. En plus, elle crache par terre. Mais on ne lui dit jamais rien, parce que tout le monde sait qu’il ne faut pas pousser à bout une personne qui n’a rien à perdre.
Aussi, le jour où Jonathan Suyckerbuck, grand amateur de catch, est retrouvé inconscient derrière la porte de la cantine, c’est Nejma qu’on accuse. Elle a beau se défendre, personne ne la croit. Elle fait une coupable idéale.
Mais Nejma n’est pas aussi seule qu’elle veut bien le croire. Au tour de son voisin et ami Rajanikanth, alias Raja, alias Freddy, de faire quelque chose pour Nejma, elle qui l’a toujours protégé.
Sans oublier Isidore, le vigile du supermarché dans lequel Nejma se réfugie après les cours. Isidore estime Nejma. Il la voit différemment. Il a même prononcé ces mots magiques : « Tu n’es pas grosse. Tu es puissante. »
« Sans broncher, car en réalité madame Lebailly était la sérénité incarnée, les élèves gagnèrent leur place. Très vite, le coeur battant, Mariette posa son dessin contre le tableau, dans la rainure où on met les craies, profitant de ce que madame Lebailly était restée dehors à échanger un dernier mot avec madame Pellay, la maîtresse du CM1. Puis elle alla s'asseoir. Vu du deuxième rang, le dessin paraissait tout petit, minable, et Mariette, tout à coup, se dit qu'elle avait fait une erreur, elle eut envie de bondir jusqu'au tableau pour réparer sa bêtise. Trop tard ! Madame Lebailly refermait la porte derrière elle, et s'avançait vers son bureau, l'air mauvais. »
Madame Lebailly, c'est l'institutrice de la classe de CM2 et Mariette Hennixon, l'héroïne de ce livre, pense, contrairement aux autres élèves de la classe, qu'elle est sévère mais juste. De toute façon il n'y a pas que madame Lebailly dans la vie, et Mariette a bien d'autres préoccupations, ses projets de week-end avec sa meilleure amie, Josée Halley, par exemple. Mais au fait, qu'est-ce qu'une meilleure amie ?
Chester Howard a survécu à pas mal d'établissements scolaires. Il a connu des uniformes qui grattent, la prière cinq fois par jour, des profs qui se prenaient pour des psychothérapeutes et même une école où personne ne parlait sa langue. Pourtant, il se demande comment il va survivre à Walbottle Manoir. Ici les élèves semblent tous décérébrés tellement ils sont mièvres, ici l'humour n'existe pas. Mlle Tate, l'institutrice, toute dégoulinante de sourires, accorde le droit d'effacer le tableau pendant une semaine comme elle offrirait un fabuleux trésor. Chester a peur de devenir fou. Heureusement, il trouve vite une raison de survivre : c'est son voisin de table, Joe Gardener. Joe est le plus phénoménal des cancres, mais c'est aussi un génie. Et ça, à part Chester, personne ne s'en est jamais aperçu. L'heure de la révolution a sonné.
Il est arrivé une catastrophe à l'école Jean-Moulin. Une, ou plutôt deux. D'abord, la directrice bien-aimée de tous, Madame Mervent, a fait une mauvaise chute dans l'escalier. Les pompiers sont venus pour l'emmener d'urgence à l'hôpital. Elle est dans le coma. Ensuite, son remplaçant est arrivé. Il n'est bien-aimé de personne, car il passe son temps à regarder tout le monde d'un air cruel et à distribuer des punitions et des brimades, à ceux qui parlent, à ceux qui crient, à ceux qui courent et même à ceux qui ont juste l'air heureux. Bref, c'est un tyran. Barbara, Arthur, Paul, Victor et Louise le surnomment très vite l'Ogre des écoles. Mais un surnom, même bien trouvé, ne suffit pas. Changer la vie, se débarrasser d'un tyran, ça s'appelle faire la révolution. Il faut donc commencer par se documenter sur les révolutions du passé pour bien préparer celle de l'avenir et la réussir. Le problème, c'est que quand on tape « Révolution » sur Internet, le moteur de recherche annonce 523 684 réponses correspondantes. Laquelle choisir ???
Revoilà Lino et toute sa bande. Cette fois, les conversations de cour de récré bruissent autour de la fête du siècle organisée par John-John pour son anniversaire, mais aussi d'une action collective pour sauver le saule de l'école, de l'atelier intergénérationnel qu'a imaginé la maîtresse Mme Carli et de la prochaine visite médicale... Entre angoisses et rigolades !
Au bout d’une heure passée avec son nouveau compagnon de chambre à l’internat, Joseph s’est rendu compte qu’il n’avait jamais rencontré quelqu’un de son âge avec autant de choses intéressantes à raconter.
Adrien est imbattable en science du déplacement. Il lit des livres aux titres incompréhensibles, comme Les Exoplanètes. Il maîtrise la cartographie du ciel.
En revanche, Adrien déteste l’école. Il a d’autres projets : il connaît le moyen d’entrer en contact avec les exoterriens, qui viendront le chercher dans leur vaisseau interstellaire. Si Joseph s’entraîne suffisamment, il pourra même accompagner son ami.
Mais Joseph se pose des questions au sujet d’Adrien : comment peut-on être nul et génial à la fois ? Comment peut-on s’intéresser autant au ciel et pas à la Terre ? Et si les exoterriens ne venaient jamais ? La décision de Joseph est prise : il est celui qui ramènera Adrien sur Terre.
Une chambre aussi blanche que sa mémoire. Quand il se réveille ce matin-là dans un lit inconnu, Ferdinand a tout oublié. Jusqu’à son prénom, jusqu’au langage, babillant comme un nourrisson un mot mystérieux : Moukajou. Cette amnésie pourrait être inquiétante s’il n’y avait à son chevet une belle dame inconnue, vêtue de blanc, au parfum délicieux et qui, elle, semble bien le connaître.
Voyageant entre veille et sommeil, le jeune garçon se voit alors délivrer la clé du mystère qui se dénouera à 15 000 kilomètres de là . La confirmation pour Ferdinand que les rêves peuvent bel et bien changer la réalité, à Moukajou comme ailleurs, pour lui-même et pour tous ses amis un peu spéciaux.
Mlle Mouette est vraiment chouette : dans sa classe, les huit élèves font un peu ce qu’ils veulent et progressent à leur rythme. Ferdinand n’en revient pas de s’y sentir aussi bien, lui qui jusqu’alors a fréquenté l’école en pointillé, obligé de déménager au gré des petits boulots de son grand-père. Et lorsque la minuscule main de Gaufrette se glisse dans la sienne, Ferdinand n’a plus qu’une envie : y rester le plus longtemps possible.
Mais son nouveau bonheur est fragile. La directrice est loin d’apprécier les méthodes éducatives plutôt originales de Mlle Mouette. Pour éviter la catastrophe, Ferdinand et ses nouveaux amis, Gaufrette, Babouche et un gros monsieur qui sent la bière, vont user de micropouvoirs pas si petits que ça. Des pouvoirs surnaturels qui leur sauveront la mise mais les placeront aussi dans des situations plus qu’embarrassantes…