Thème « dormir, coucher »
Pour convaincre Antoine d’aller dormir, maman doit trouver des arguments imparables !
Pourquoi aller au lit ? Parce que tout le monde le fait.
Et brosser les dents, mettre son pyjama, écouter une histoire ? Oui, ça aussi, tout le monde y passe. Même le soleil et la lune ? Oui !
Antoine multiplie les questions pour retarder le moment de fermer l’oeil, tant et si bien que sa maman commence à fatiguer…
Par cette belle nuit de lune, voici trois petits chatons qui ont envie de tout... sauf de dormir. Envie de sortir, de ramasser des bâtons dans la forêt, de monter dans une barque, de prendre la mer, d’escalader le Piton-Pointu de l’île déserte, de braver tous les dangers ! Et leur maman, que dit-elle de tout cela ? Rien. Elle veille. De l’autre côté de la porte de la chambre, elle se tient prête à bondir. En cas de besoin.
Une nouvelle aventure de Tromboline et Foulbazar, les poussins qui ont toujours une bonne idée en tête.
Zou n'a pas peur des films de fantômes. Mais ses parents croient que si. Alors ils l'envoient au lit. Dans son lit, caché sous son drap, Zou s'aperçoit qu'il fait un très bon fantôme. C'est l'occasion de faire une petite surprise à papa et maman et de voir si les grandes personnes sont aussi courageuses qu'elles le prétendent.
Il y a un crocodile dans la vie de Zuza. Quoi qu’elle fasse, il est là. Qu’elle veuille border tous ses bébés pour la nuit, qu’elle cherche à récupérer son dîner qui s’en est allé par la fenêtre, qu’elle prenne soin de se savonner jusqu’aux orteils dans sa baignoire… Crocodile… Crocodile ! Au début, il dérange, il gêne, il encombre. Mais, chaque fois, Zuza lui fait une petite (grande) place, le laisse jouer son rôle de crocodile familier, et tout finit par s’arranger !
Ce soir, les parents sortent, Boris et Céleste restent seuls. Boris doit veiller à nourrir sa petite sœur de légumes et à la coucher tôt. Ce n'est pas du tout ce qui arrive. Après le dîner de chips, Céleste réclame une histoire qui fait peur. Mais rien ne l'impressionne, ni monstres, ni fantômes… Et si c'était elle qui connaissait l'histoire la plus terrifiante ?
Quand il est l'heure d'aller se coucher, Éli le lionceau ne se fait pas prier. C'est parce qu'il a un matelas magique, grâce auquel il passe des nuits très intéressantes. Il lui suffit de faire un creux au centre du matelas, d'appuyer un peu dans ce creux, et alors, Éli passe de l'autre côté. L'autre côté, c'est par exemple la salle de classe. Éli y fait un petit passage, le temps de donner à Jenny la Gazelle la réponse à la devinette qu'elle lui a posée ce matin. Ce matin, Éli n'avait pas la réponse et Jenny s'est moquée de lui. Elle voudrait sûrement s'excuser, maintenant, mais c'est trop tard : Éli, grâce à son matelas, est déjà reparti. Il est allé rendre visite à la famille Coussin. La vieille madame Sofa est justement la grand-mère du matelas d'Éli. Pendant que le matelas prend de ses nouvelles, Éli joue avec ses neveux, les petits poufs, mais pas trop longtemps car on a besoin de lui à Bernardville. Le palais présidentiel est en feu. Éli arrive juste à temps: il sauve le président, sa femme et sa fille, et parvient même à arrêter les pyromanes, qui tentaient de s'enfuir discrètement. Tout le monde félicite Super Lionceau, même les pyromanes. Mais là non plus, Éli ne s'attarde pas. De l'autre côté, mauvaise pioche : il fait tout noir et un troupeau de monstres sans queue ni tête se lance à la poursuite d'Éli. Matelas! Matelas, où es-tu ?
Violette vit avec tous ses ours dans sa chambre. Il y a Golo, Ourson, Oursonne et Petit-Ours. Il y a aussi Klodé le chien et Tamanoir qu'il faut moucher tous les soirs. Violette dort avec tous ses ours dans sa chambre et choisit ceux qui dorment avec elle chaque nuit, il faut changer pour ne pas faire de jaloux. Violette rêve avec tous ses ours dans sa chambre et elle allume une veilleuse bleue pour que personne ne fasse de cauchemars. Cette nuit, les ours de Violette ont décidé d'aller faire un pique-nique au parc... Violette ? Tu dors ?
Au lit, on lit. Ensuite on dort. Mais soudain...On entend un grand cri : Papa ! Encore une histoire de monstre, mais celle-ci a vraiment, vraiment, quelque chose de spécial.








